samedi 27 février 2016

Projet Justine / Déborah / Julie – phrases 275-284

Nunca supimos cuántas vidas salvamos esa tarde, ni cuántas se perdieron. Era cerca de la medianoche cuando por fin vinieron a relevarnos. Un verdadero ejército de androides desembarcó en el hospital y se hicieron cargo de los pacientes. Los montaron en vehículos flotantes y se los llevaron llenos de catéteres y otras conexiones cuya función hasta nosotros mismos desconocíamos.
Al final nos quedamos solos en el patio, luego de que embarcaran al último. Los otros doctores y enfermeras partieron de regreso a sus hogares, pero yo no tenía dónde ir.
—Usted no es como sus colegas, ¿no es cierto? —nos preguntó Norman saliendo desde las sombras.
—¿A qué se refiere? —respondimos a la defensiva, un poco intimidados.
—Usted entiende por qué lo hicimos. ¿No es cierto?

Traduction temporaire :

Nous n'avons jamais su combien de vies nous sauvâmes cet après-midi-là, ni combien furent perdues. Il était près de minuit quand la relève arriva enfin. Une véritable armada d’androïdes débarqua à l'hôpital et prit les patients en charge. Ils les montèrent dans des véhicules amphibies et les emmenèrent, avec des cathéters et d'autres branchements partout, et dont, même nous, nous ignorions la fonction. Le dernier parti, nous nous retrouvâmes seuls dans la cour. Les autres médecins et infirmières rentrèrent chez eux, mais moi, je n'avais nulle part où aller.
— Vous n'êtes pas comme vos collègues, n'est-ce pas ? nous apostropha Norman en sortant de l'ombre.
— Que voulez-vous dire ? répondîmes-nous, sur la défensive, un peu intimidés.
— Vous comprenez pourquoi nous faisons cela, n'est-ce pas ?

6 commentaires:

Justine a dit…

Nous n'avons jamais su combien de vies nous sauvâmes cet après-midi-là, ni combien furent perdues. Il était près de minuit quand la relève arriva enfin. Une véritable armada d’androïdes débarqua à l'hôpital et prit les patients en charge. Ils les montèrent dans des véhicules amphibies et les emmenèrent couverts de cathéters et d'autres branchements dont, même nous, nous ignorions la fonction. Finalement, après qu'ils ont embarqué le dernier, nous restâmes seuls dans la cour.
Les autres médecins et infirmières rentrèrent chez eux, mais moi, je n'avais nulle part où aller.
— Vous n'êtes pas comme vos collègues, n'est-ce pas ? nous apostropha Norman en sortant de l'ombre.
— Que voulez-vous dire ? répondîmes-nous sur la défensive, un peu intimidés.
— Vous comprenez pourquoi nous faisons cela. N'est-ce pas ?

Tradabordo a dit…

Nous n'avons jamais su combien de vies nous sauvâmes cet après-midi-là, ni combien furent perdues. Il était près de minuit quand la relève arriva enfin. Une véritable armada d’androïdes débarqua à l'hôpital et prit les patients en charge. Ils les montèrent dans des véhicules amphibies et les emmenèrent [virgule] couverts [bof : « avec des…………… partout » / « dans tous les sens »] de cathéters et d'autres branchements dont, même nous, nous ignorions la fonction. Finalement, après qu'ils ont embarqué le dernier [« le dernier parti » ?], nous restâmes [« se retrouver » ?] seuls dans la cour.
Les autres médecins et infirmières rentrèrent chez eux, mais moi, je n'avais nulle part où aller.
— Vous n'êtes pas comme vos collègues, n'est-ce pas ? nous apostropha Norman en sortant de l'ombre.
— Que voulez-vous dire ? répondîmes-nous [virgule] sur la défensive, un peu intimidés.
— Vous comprenez pourquoi nous faisons cela. [virgule] N'est-ce pas ?

Tu as une bonne période, là… C'est bien et tu vois, tu coup, on avance bien.

Justine a dit…

Pourvu que ça dure !!!

Nous n'avons jamais su combien de vies nous sauvâmes cet après-midi-là, ni combien furent perdues. Il était près de minuit quand la relève arriva enfin. Une véritable armada d’androïdes débarqua à l'hôpital et prit les patients en charge. Ils les montèrent dans des véhicules amphibies et les emmenèrent, avec des cathéters partout et d'autres branchements dont, même nous, nous ignorions la fonction. Finalement, le dernier parti, nous nous retrouvâmes seuls dans la cour.
Les autres médecins et infirmières rentrèrent chez eux, mais moi, je n'avais nulle part où aller.
— Vous n'êtes pas comme vos collègues, n'est-ce pas ? nous apostropha Norman en sortant de l'ombre.
— Que voulez-vous dire ? répondîmes-nous, sur la défensive, un peu intimidés.
— Vous comprenez pourquoi nous faisons cela, n'est-ce pas ?

Tradabordo a dit…

Ça ne tient qu'à toi… et à ton degré d'attention.

Nous n'avons jamais su combien de vies nous sauvâmes cet après-midi-là, ni combien furent perdues. Il était près de minuit quand la relève arriva enfin. Une véritable armada d’androïdes débarqua à l'hôpital et prit les patients en charge. Ils les montèrent dans des véhicules amphibies et les emmenèrent, avec des cathéters partout [placé après, car c'est pour les deux + peut-être faudrait-il ajouter un « et » / je te laisse voir] et d'autres branchements dont, même nous, nous ignorions la fonction. Finalement [nécessaire ? Ou alors placé après], le dernier parti, nous nous retrouvâmes seuls dans la cour.
Les autres médecins et infirmières rentrèrent chez eux, mais moi, je n'avais nulle part où aller.
— Vous n'êtes pas comme vos collègues, n'est-ce pas ? nous apostropha Norman en sortant de l'ombre.
— Que voulez-vous dire ? répondîmes-nous, sur la défensive, un peu intimidés.
— Vous comprenez pourquoi nous faisons cela, n'est-ce pas ?

Justine a dit…

Nous n'avons jamais su combien de vies nous sauvâmes cet après-midi-là, ni combien furent perdues. Il était près de minuit quand la relève arriva enfin. Une véritable armada d’androïdes débarqua à l'hôpital et prit les patients en charge. Ils les montèrent dans des véhicules amphibies et les emmenèrent, avec des cathéters et d'autres branchements partout, et dont, même nous, nous ignorions la fonction. Le dernier parti, nous nous retrouvâmes seuls dans la cour.
Les autres médecins et infirmières rentrèrent chez eux, mais moi, je n'avais nulle part où aller.
— Vous n'êtes pas comme vos collègues, n'est-ce pas ? nous apostropha Norman en sortant de l'ombre.
— Que voulez-vous dire ? répondîmes-nous, sur la défensive, un peu intimidés.
— Vous comprenez pourquoi nous faisons cela, n'est-ce pas ?

Tradabordo a dit…

Nous n'avons jamais su combien de vies nous sauvâmes cet après-midi-là, ni combien furent perdues. Il était près de minuit quand la relève arriva enfin. Une véritable armada d’androïdes débarqua à l'hôpital et prit les patients en charge. Ils les montèrent dans des véhicules amphibies et les emmenèrent, avec des cathéters et d'autres branchements partout, et dont, même nous, nous ignorions la fonction. Le dernier parti, nous nous retrouvâmes seuls dans la cour.
Les autres médecins et infirmières rentrèrent chez eux, mais moi, je n'avais nulle part où aller.
— Vous n'êtes pas comme vos collègues, n'est-ce pas ? nous apostropha Norman en sortant de l'ombre.
— Que voulez-vous dire ? répondîmes-nous, sur la défensive, un peu intimidés.
— Vous comprenez pourquoi nous faisons cela, n'est-ce pas ?

OK.