samedi 20 février 2016

Projet Justine / Nadia / Élise – phrases 338-352

No había manera de competir —continuó Aníbal con una vaga sonrisa—. Si Marlon Brando hubiera vivido en Lima, con nosotros, quizá yo habría tenido una chance. Pero quedándose ahí, en la pantalla, arrasaba con cualquiera.
Creo que te estaba diciendo otra cosa —aventuré yo—. Si alguien te dice que está enamorado de un actor de cine, te ha querido decir definitivamente otra cosa.
¿Qué?
No lo sé. Yo ya estoy muy viejo para saberlo.
A mí me debe pasar lo mismo —dijo Aníbal.
Esas cosas se saben a una edad determinada o no se saben nunca —concluí.
Y después de un largo silencio, pregunté:
¿Y no te dijo nada del Pato Mesones?
Muy poco. Si mal no recuerdo, fue de lo primero que le hablé, y en un dos por tres me obligó a cambiar de tema: «No quiero saber de ese infeliz», me dijo en un tono carente de animosidad. «No me gusta la gente cobarde».

Traduction temporaire :

— Pas moyen de rivaliser, poursuivit Anibal avec un vague sourire. Si Marlon Brando avait vécu à Lima avec nous, j'aurais peut-être eu une chance. Mais en restant planté là, sur l'écran, il ne pouvait que rafler la mise.
— Je crois qu'elle essayait de te dire autre chose, hasardai-je. Si quelqu'un te sort qu'il est amoureux d'un acteur de cinéma, il veut clairement te faire passer un message !
— Lequel ?
— Aucune idée. Je suis trop vieux pour le savoir.
— J'imagine que moi aussi.
— Ces choses-là, on les découvre à un âge précis ou on ne les découvre jamais, conclus-je. Après un long silence, je demandai : Elle t'a balancé des infos sur Pat Mesones ?
— Presque rien. Si me je souviens bien, c'est le premier truc dont j'ai parlé, et en moins de deux, elle m'a obligé à changer de sujet : « Je ne veux rien entendre concernant ce malheureux ! », m'a-t-elle coupé sur un ton dépourvu d'animosité. « Je n'aime pas les lâches ! »

10 commentaires:

Justine a dit…

— On ne pouvait pas rivaliser, poursuivit Anibal, esquissant un vague sourire. Si Marlon Brando avait vécu avec nous à Lima, j'aurais peut-être eu une chance. Mais en restant planté là, dans l'écran, il la ruinait.
— Je crois qu'elle essayait de te dire autre chose, hasardai-je. Si quelqu'un te dit qu'il est amoureux d'un acteur de cinéma, il a définitivement voulu te dire autre chose !
— Quoi ?
— Je ne sais pas. Je suis trop vieux pour le savoir.
— J'imagine que c'est pareil pour moi, reprit Anibal.
— On découvre ces choses-là à un âge précis ou on ne les découvre jamais, conclus-je. Puis, après un long silence, je demandai :
— Elle ne t'a rien dit à propos de Pat Mesones ?
— Presque rien. Si me je souviens bien, c'est la première chose dont j'ai parlé, et en moins de deux, elle m'a obligé à changer de sujet : « Je ne veux rien savoir de ce malheureux », m'a-t-elle coupé sur un ton dépourvu d'animosité. « Je n'aime pas les lâches ».

Tradabordo a dit…

— On ne pouvait pas rivaliser, poursuivit Anibal, esquissant [laisse le simple « avec » ; attention de ne pas vouloir à tout prix caser du « beau style » / reste naturelle] un vague sourire. Si Marlon Brando avait vécu avec nous à Lima [remets comme en V.O.], j'aurais peut-être eu une chance. Mais en restant planté là, dans l'écran, il la ruinait [???????].
— Je crois qu'elle essayait de te dire autre chose, hasardai-je. Si quelqu'un te dit [tu viens de le mettre] qu'il est amoureux d'un acteur de cinéma, il a définitivement voulu te dire autre chose [peu naturel] !


Ce dialogue manque vraiment de naturel. Reprends ça et du coup, jette un œil à la suite.

— Quoi ?
— Je ne sais pas. Je suis trop vieux pour le savoir.
— J'imagine que c'est pareil pour moi, reprit Anibal.
— On découvre ces choses-là à un âge précis ou on ne les découvre jamais, conclus-je. Puis, après un long silence, je demandai :
— Elle ne t'a rien dit à propos de Pat Mesones ?
— Presque rien. Si me je souviens bien, c'est la première chose dont j'ai parlé, et en moins de deux, elle m'a obligé à changer de sujet : « Je ne veux rien savoir de ce malheureux », m'a-t-elle coupé sur un ton dépourvu d'animosité. « Je n'aime pas les lâches ».

Justine a dit…

— Pas moyen de rivaliser, poursuivit Anibal avec un vague sourire. Si Marlon Brando avait vécu à Lima avec nous, j'aurais peut-être eu une chance. Mais en restant planté là, sur l'écran, il minait le terrain.
— Je crois qu'elle essayait de te dire autre chose, hasardai-je. Si quelqu'un te sort qu'il est amoureux d'un acteur de cinéma, il veut clairement te faire passer un message !
— Lequel ?
— Je ne sais pas. Je suis trop vieux pour le savoir.
— J'imagine que moi aussi, reprit Anibal.
— On découvre ces choses-là à un âge précis ou on ne les découvre jamais, conclus-je. Puis, après un long silence, je demandai :
— Elle ne t'a rien dit à propos de Pat Mesones ?
— Presque rien. Si me je souviens bien, c'est la première chose dont j'ai parlé, et en moins de deux, elle m'a obligé à changer de sujet : « Je ne veux rien savoir de ce malheureux », m'a-t-elle coupé sur un ton dépourvu d'animosité. « Je n'aime pas les lâches ! ».

Tradabordo a dit…

— Pas moyen de rivaliser, poursuivit Anibal avec un vague sourire. Si Marlon Brando avait vécu à Lima avec nous, j'aurais peut-être eu une chance. Mais en restant planté là, sur l'écran, il minait le terrain [pas sûre / demande à Elena – fais vite, elle est sur le départ, la lâcheuse !].
— Je crois qu'elle essayait de te dire autre chose, hasardai-je. Si quelqu'un te sort qu'il est amoureux d'un acteur de cinéma, il veut clairement te faire passer un message !
— Lequel ?
— Je ne [nécessaire ?] sais pas. Je suis trop vieux pour le savoir [essaie de changer le premier].
— J'imagine que moi aussi, reprit Anibal [supprime ; on sait qui parle].
— On découvre ces choses-là [commence par ça] à un âge précis ou on ne les découvre jamais, conclus-je. Puis, [supprime ; allège !] après un long silence, je demandai :
— [remonte-le ; c'est le même gars qui parle ]Elle ne t'a rien dit [NON] à propos de Pat Mesones ?
— Presque rien. Si me je souviens bien, c'est la première chose [« truc »] dont j'ai parlé, et en moins de deux, elle m'a obligé à changer de sujet : « Je ne veux rien savoir [on l'a déjà] de ce malheureux », m'a-t-elle coupé sur un ton dépourvu d'animosité. « Je n'aime pas les lâches ! ». [supprime le point puisque tu as déjà un !]

Justine a dit…

Merci, Elena !

— Pas moyen de rivaliser, poursuivit Anibal avec un vague sourire. Si Marlon Brando avait vécu à Lima avec nous, j'aurais peut-être eu une chance. Mais en restant planté là, sur l'écran, c'est lui qui ramassait le pactole.
— Je crois qu'elle essayait de te dire autre chose, hasardai-je. Si quelqu'un te sort qu'il est amoureux d'un acteur de cinéma, il veut clairement te faire passer un message !
— Lequel ?
— Je l'ignore. Je suis trop vieux pour le savoir.
— J'imagine que moi aussi.
— Ces choses-là, on les découvre à un âge précis ou on ne les découvre jamais, conclus-je. Après un long silence, je demandai : — Elle t'a balancé aucune info sur Pat Mesones ?
— Presque rien. Si me je souviens bien, c'est le premier truc dont j'ai parlé, et en moins de deux, elle m'a obligé à changer de sujet : « Je ne veux rien entendre concernant ce malheureux », m'a-t-elle coupé sur un ton dépourvu d'animosité. « Je n'aime pas les lâches !

Justine a dit…

— Pas moyen de rivaliser, poursuivit Anibal avec un vague sourire. Si Marlon Brando avait vécu à Lima avec nous, j'aurais peut-être eu une chance. Mais en restant planté là, sur l'écran, il raflait la mise.
— Je crois qu'elle essayait de te dire autre chose, hasardai-je. Si quelqu'un te sort qu'il est amoureux d'un acteur de cinéma, il veut clairement te faire passer un message !
— Lequel ?
— Aucune idée. Je suis trop vieux pour le savoir.
— J'imagine que moi aussi.
— Ces choses-là, on les découvre à un âge précis ou on ne les découvre jamais, conclus-je. Après un long silence, je demandai : — Elle t'as balancé des infos sur Pat Mesones ?
— Presque rien. Si me je souviens bien, c'est le premier truc dont j'ai parlé, et en moins de deux, elle m'a obligé à changer de sujet : « Je ne veux rien entendre concernant ce malheureux », m'a-t-elle coupé sur un ton dépourvu d'animosité. « Je n'aime pas les lâches ! »

Justine a dit…

— Pas moyen de rivaliser, poursuivit Anibal avec un vague sourire. Si Marlon Brando avait vécu à Lima avec nous, j'aurais peut-être eu une chance. Mais en restant planté là, sur l'écran, il raflait la mise.
— Je crois qu'elle essayait de te dire autre chose, hasardai-je. Si quelqu'un te sort qu'il est amoureux d'un acteur de cinéma, il veut clairement te faire passer un message !
— Lequel ?
— Aucune idée. Je suis trop vieux pour le savoir.
— J'imagine que moi aussi.
— Ces choses-là, on les découvre à un âge précis ou on ne les découvre jamais, conclus-je. Après un long silence, je demandai : — Elle t'a balancé des infos sur Pat Mesones ?
— Presque rien. Si me je souviens bien, c'est le premier truc dont j'ai parlé, et en moins de deux, elle m'a obligé à changer de sujet : « Je ne veux rien entendre concernant ce malheureux », m'a-t-elle coupé sur un ton dépourvu d'animosité. « Je n'aime pas les lâches ! »

Tradabordo a dit…

— Pas moyen de rivaliser, poursuivit Anibal avec un vague sourire. Si Marlon Brando avait vécu à Lima avec nous, j'aurais peut-être eu une chance. Mais en restant planté là, sur l'écran, il [cheville : « ne pouvait que »] raflait la mise.
— Je crois qu'elle essayait de te dire autre chose, hasardai-je. Si quelqu'un te sort qu'il est amoureux d'un acteur de cinéma, il veut clairement te faire passer un message !
— Lequel ?
— Aucune idée. Je suis trop vieux pour le savoir.
— J'imagine que moi aussi.
— Ces choses-là, on les découvre à un âge précis ou on ne les découvre jamais, conclus-je. Après un long silence, je demandai : — [supprime le tiret] Elle t'as balancé des infos sur Pat Mesones ?
— Presque rien. Si me je souviens bien, c'est le premier truc dont j'ai parlé, et en moins de deux, elle m'a obligé à changer de sujet : « Je ne veux rien entendre concernant ce malheureux [point d'excl] », m'a-t-elle coupé sur un ton dépourvu d'animosité. « Je n'aime pas les lâches ! »

Justine a dit…

— Pas moyen de rivaliser, poursuivit Anibal avec un vague sourire. Si Marlon Brando avait vécu à Lima avec nous, j'aurais peut-être eu une chance. Mais en restant planté là, sur l'écran, il ne pouvait que rafler la mise.
— Je crois qu'elle essayait de te dire autre chose, hasardai-je. Si quelqu'un te sort qu'il est amoureux d'un acteur de cinéma, il veut clairement te faire passer un message !
— Lequel ?
— Aucune idée. Je suis trop vieux pour le savoir.
— J'imagine que moi aussi.
— Ces choses-là, on les découvre à un âge précis ou on ne les découvre jamais, conclus-je. Après un long silence, je demandai : Elle t'a balancé des infos sur Pat Mesones ?
— Presque rien. Si me je souviens bien, c'est le premier truc dont j'ai parlé, et en moins de deux, elle m'a obligé à changer de sujet : « Je ne veux rien entendre concernant ce malheureux ! », m'a-t-elle coupé sur un ton dépourvu d'animosité. « Je n'aime pas les lâches ! »

Tradabordo a dit…

— Pas moyen de rivaliser, poursuivit Anibal avec un vague sourire. Si Marlon Brando avait vécu à Lima avec nous, j'aurais peut-être eu une chance. Mais en restant planté là, sur l'écran, il ne pouvait que rafler la mise.
— Je crois qu'elle essayait de te dire autre chose, hasardai-je. Si quelqu'un te sort qu'il est amoureux d'un acteur de cinéma, il veut clairement te faire passer un message !
— Lequel ?
— Aucune idée. Je suis trop vieux pour le savoir.
— J'imagine que moi aussi.
— Ces choses-là, on les découvre à un âge précis ou on ne les découvre jamais, conclus-je. Après un long silence, je demandai : Elle t'a balancé des infos sur Pat Mesones ?
— Presque rien. Si me je souviens bien, c'est le premier truc dont j'ai parlé, et en moins de deux, elle m'a obligé à changer de sujet : « Je ne veux rien entendre concernant ce malheureux ! », m'a-t-elle coupé sur un ton dépourvu d'animosité. « Je n'aime pas les lâches ! »

OK.