vendredi 26 février 2016

Projet Marion – phrases 82-93

En la casa de los Domínguez había que orar antes de dormir, todas las noches, y confesar a los padres los pecados del día. Paulina nunca se confesaba: la hermana mayor no pecaba. Pero Mariela sí; y si la madre consideraba que los pecados eran muy graves, la castigaba. La hacía limpiar la habitación, o lavar los platos después de cada comida durante una semana, o le prohibía usar Internet. Cuando Verónica trataba de ayudarla, la detenían: “Tiene que cumplir con Dios ella sola”, le decían.
Mariela no se quejaba. Una noche, cuando terminó de rasquetear una olla que había pasado demasiado tiempo sobre el fuego, pidió permiso para quedarse un rato en el patio antes de ir a dormir: la noche estaba cálida y hermosa. Los padres la dejaron. Mariela y Verónica se sentaron al borde de la pileta, con los pies dentro del agua, para refrescarse. Un poco de viento movía los rosales sin flores; iba a llover.
—Es horrible que te castiguen así, dijo Verónica. Cada vez que veía a su amiga trabajar después de confesarse, sentía que la ahogaba el enojo, la injusticia.
Mariela se rio.

Traduction temporaire :
Chez les Domínguez, il fallait prier avant de dormir, tous les soirs, et confesser ses péchés de la journée aux parents. Paulina, elle, ne se confessait jamais : l'aînée ne péchait pas. Mariela, si ; et si sa mère considérait ses péchés très graves, elle la punissait : pendant une semaine, elle l'obligeait à nettoyer sa chambre ou laver la vaisselle après chaque repas, ou elle la privait d'Internet. Quand Verónica tentait de l'aider, on la coupait dans son élan, arguant : « Elle doit s'acquitter seule de ses obligations envers Dieu ». Mariela ne se plaignait pas. Un soir, quand elle eut fini de gratter une marmite restée trop longtemps sur le feu, elle demanda la permission de passer un moment dans le patio avant d'aller se coucher. La nuit était chaude et belle. Ses parents acceptèrent. Mariela et Verónica s'assirent au bord de la piscine, les pieds dans l'eau, pour se rafraîchir. Un petit vent agitait les rosiers sans fleurs ; il allait pleuvoir.
— C'est horrible qu'ils te punissent comme ça ! s'écria Verónica.
Chaque fois qu'elle voyait son amie de corvées après s'être confessée, elle sentait la colère et l'injustice l'étouffer.
Mariela rit.

4 commentaires:

Justine a dit…

Chez les Domínguez, il fallait prier avant de dormir, tous les soirs, et confesser ses péchés de la journée aux parents. Paulina ne se confessait jamais : la sœur aînée ne péchait pas. Mariela, elle, si, par contre ; et si sa mère considérait ses péchés comme très graves, elle la punissait. Elle lui faisait nettoyer sa chambre ou laver la vaisselle après chaque repas, pendant une semaine, ou elle la privait d'Internet. Quand Verónica tentait de l'aider, on la coupait dans son élan, arguant : « Elle doit s'acquitter de ses obligations envers Dieu toute seule ». Mariela ne se plaignait pas. Un soir, quand elle eut fini de gratter une marmite restée trop longtemps sur le feu, elle demanda la permission de passer un moment dans le patio avant d'aller se coucher. La nuit étaient chaude et belle. Ses parents acceptèrent. Mariela et Verónica s'assirent au bord de la piscine, les pieds dans l'eau, pour se rafraîchir. Un petit vent remuait les rosiers sans fleurs ; il allait pleuvoir.
— C'est horrible qu'ils te punissent comme ça ! s'exclama Verónica.
Chaque fois qu'elle voyait son amie de corvées après s'être confessée, elle sentait la colère et l'injustice l'étouffer.
Mariela rit.

Tradabordo a dit…

Chez les Domínguez, il fallait prier avant de dormir, tous les soirs, et confesser ses péchés de la journée aux parents. Paulina [cheville : « , elle » ? Comme tu veux…] ne se confessait jamais : la sœur [nécessaire ?] aînée ne péchait pas. Mariela, elle [je supprimerais celui-ci], si, par contre [pas nécessaire] ; et si sa mère considérait ses péchés comme [nécessaire ?] très graves, elle la punissait. [deux points ?] Elle lui faisait [ou avec « obliger » ?] nettoyer sa chambre ou laver la vaisselle après chaque repas, pendant une semaine [mets-le au début], ou elle la privait d'Internet. Quand Verónica tentait de l'aider, on la coupait dans son élan, arguant [nécessaire ?] : « Elle doit s'acquitter de ses obligations envers Dieu toute [nécessaire] seule [peut-être après le « doit »] ». Mariela ne se plaignait pas. Un soir, quand elle eut fini de gratter une marmite restée trop longtemps sur le feu, elle demanda la permission de passer un moment dans le patio avant d'aller se coucher. La nuit étaient [grammaire] chaude et belle. Ses parents acceptèrent. Mariela et Verónica s'assirent au bord de la piscine, les pieds dans l'eau, pour se rafraîchir. Un petit vent remuait [bof] les rosiers sans fleurs ; il allait pleuvoir.
— C'est horrible qu'ils te punissent comme ça ! s'exclama [« s'écria » ?] Verónica.
Chaque fois qu'elle voyait son amie de corvées après s'être confessée, elle sentait la colère et l'injustice l'étouffer.
Mariela rit.

Justine a dit…

Chez les Domínguez, il fallait prier avant de dormir, tous les soirs, et confesser ses péchés de la journée aux parents. Paulina, elle, ne se confessait jamais : l'aînée ne péchait pas. Mariela, si ; et si sa mère considérait ses péchés très graves, elle la punissait : pendant une semaine, elle l'obligeait à nettoyer sa chambre ou laver la vaisselle après chaque repas, ou elle la privait d'Internet. Quand Verónica tentait de l'aider, on la coupait dans son élan, arguant : « Elle doit s'acquitter seule de ses obligations envers Dieu ». Mariela ne se plaignait pas. Un soir, quand elle eut fini de gratter une marmite restée trop longtemps sur le feu, elle demanda la permission de passer un moment dans le patio avant d'aller se coucher. La nuit était chaude et belle. Ses parents acceptèrent. Mariela et Verónica s'assirent au bord de la piscine, les pieds dans l'eau, pour se rafraîchir. Un petit vent agitait les rosiers sans fleurs ; il allait pleuvoir.
— C'est horrible qu'ils te punissent comme ça ! s'écria Verónica.
Chaque fois qu'elle voyait son amie de corvées après s'être confessée, elle sentait la colère et l'injustice l'étouffer.
Mariela rit.

Tradabordo a dit…

Chez les Domínguez, il fallait prier avant de dormir, tous les soirs, et confesser ses péchés de la journée aux parents. Paulina, elle, ne se confessait jamais : l'aînée ne péchait pas. Mariela, si ; et si sa mère considérait ses péchés très graves, elle la punissait : pendant une semaine, elle l'obligeait à nettoyer sa chambre ou laver la vaisselle après chaque repas, ou elle la privait d'Internet. Quand Verónica tentait de l'aider, on la coupait dans son élan, arguant : « Elle doit s'acquitter seule de ses obligations envers Dieu ». Mariela ne se plaignait pas. Un soir, quand elle eut fini de gratter une marmite restée trop longtemps sur le feu, elle demanda la permission de passer un moment dans le patio avant d'aller se coucher. La nuit était chaude et belle. Ses parents acceptèrent. Mariela et Verónica s'assirent au bord de la piscine, les pieds dans l'eau, pour se rafraîchir. Un petit vent agitait les rosiers sans fleurs ; il allait pleuvoir.
— C'est horrible qu'ils te punissent comme ça ! s'écria Verónica.
Chaque fois qu'elle voyait son amie de corvées après s'être confessée, elle sentait la colère et l'injustice l'étouffer.
Mariela rit.

OK.