dimanche 21 février 2016

Projet Alexia – phrases 33-46

Stephen King y yo nos sentamos a conversar. Yo le hablé de mi cuento con título suyo, pero aclaré que no se trataba ni mucho menos de un cuento kingniano. (Vacilé, recuerdo, antes de usar el adjetivo).
En realidad, “Yo fui un adolescente ladrón de tumbas” era una ensalada de referencias que bastante poco le debía a King. Se cruzaban allí, según recuerdo: Lovecraft, Safo, Rimbaud, Virginia Woolf, Julián del Casal, e incluso, muy lejanamente: yo mismo, Paul Auster y un autor soviético y anfibio, de ciencia-ficción, llamado Alexander Beliaev.
No es una relación de la que me sienta orgulloso.
—Y dime, ¿cómo patinan los escritores cubanos?
Su expresión: fucking cuban writers.
La pregunta me cogió por sorpresa.
—¿Quiere decir patinar... en el hielo?
Me di cuenta de que había dicho una estupidez. Hacía frío en Maine.
—Quiero decir patinar, muchacho. Patinar sobre cualquier superficie.

Traduction temporaire :

Stephen King et moi, nous nous sommes assis pour discuter. Je lui ai parlé de ma nouvelle intitulée comme la sienne, mais j’ai précisé qu’il ne s’agissait ni de près ni de loin, d’un texte kingnien (Je me souviens d’avoir hésité à employer cet adjectif).
En réalité, « J’ai été un adolescent pilleur de tombes » était un cocktail de références qui devait assez peu à King. Dans mon souvenir, elles se croisaient là : Lovecraft, Sappho, Rimbaud, Virginia Wolf, Julian del Casal, et même, très lointainement, moi-même, Paul Auster et un auteur de science-fiction, soviétique et amphibien, appelé Alexander Beliaev.
Ce n’est pas une relation dont je suis fier.
— Et dis-moi, comment patinent les écrivains cubains ?
Son expression était : fucking cuban writers.
La question m’a pris par surprise.
— Comment ça patiner… sur la glace ?
Je me suis rendu compte que j’avais sorti une ânerie. Il faisait froid dans le Maine.
— Eh bien patiner, mon garçon. Patiner sur n’importe quelle surface.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Stephen King et moi, nous nous sommes assis pour discuter. Je lui ai parlé du conte qui portait le titre du sien, mais j’ai précisé qu’il ne s’agissait, pas de près ou de loin, d’un conte kingnien (Je me souviens avoir hésité à employer cet adjectif).
En réalité, « J’ai été un adolescent pilleur de tombes » était une macédoine de références que je devais assez peu à King. Dans mes souvenirs, elles se croisaient là : Lovecraft, Sappho, Rimbaud, Virginia Wolf, Julian del Casal, et même, très lointainement : moi-même, Paul Auster et un auteur de science-fiction, soviétique et amphibien, appelé Alexander Beliaev.
Ce n’est pas une relation qui me rende fier.
- Et dis-moi, comment patinent les écrivains cubains ?
L’expression qu’il a utilisé était: fucking cuban writers.
La question m’a pris par surprise.
- Vous voulez dire patiner… sur la glace ?
Je me suis rendu compte que j’avais dit une ânerie. Il faisait froid dans le Maine.
- Je veux dire patiner, mon garçon. Patiner sur n’importe quelle superficie.

Tradabordo a dit…

Stephen King et moi, nous nous sommes assis pour discuter. Je lui ai parlé du [pourquoi avoir supprimé le possessif ?] conte [le dirait-on comme ça en français ?] qui portait le titre du sien [cf ce qu'il y a avant ; est-ce que le titre est le même ou un passage de King ? Vérifiez], mais j’ai précisé qu’il ne s’agissait, [virgule ?????] pas [cheville : « ni » ?] de près ou [« ni » ?] de loin, d’un conte [« texte », histoire de ne pas répéter ?] kingnien (Je me souviens [se souvenir DE] avoir hésité à employer cet adjectif).
En réalité, « J’ai été un adolescent pilleur de tombes » était une macédoine [bof] de références que je [?] devais assez peu à King. Dans mes souvenirs [au pluriel ?], elles se croisaient là : Lovecraft, Sappho, Rimbaud, Virginia Wolf, Julian del Casal, et même, très lointainement : [pas deux points au mieux de déjà deux points] moi-même, Paul Auster et un auteur de science-fiction, soviétique et amphibien, appelé Alexander Beliaev.
Ce n’est pas une relation qui me rende [ou : « dont je sois » ? Je vous laisse voir ce qui est mieux] fier.
- [tiret les plus longs pour les dialogues = — Vous harmoniserez…] Et dis-moi, comment patinent les écrivains cubains ?
L’expression qu’il a utilisé était[pourquoi ces ajouts ?][espace]: fucking cuban writers.
La question m’a pris par surprise.
- Vous voulez dire [vous l'avez un peu plus haut ; ne conservez qu'un des deux] patiner… sur la glace ?
Je me suis rendu compte que j’avais dit [X3] une ânerie. Il faisait froid dans le Maine.
- Je veux dire [X4] patiner, mon garçon. Patiner sur n’importe quelle superficie.

Unknown a dit…


Stephen King et moi, nous nous sommes assis pour discuter. Je lui ai parlé de ma nouvelle intitulée comme la sienne, mais j’ai précisé qu’il ne s’agissait ni de près ni de loin, d’un texte kingnien (Je me souviens d’avoir hésité à employer cet adjectif).
En réalité, « J’ai été un adolescent pilleur de tombes » était une salade de références qui devait assez peu à King. Dans mon souvenir, elles se croisaient là : Lovecraft, Sappho, Rimbaud, Virginia Wolf, Julian del Casal, et même, très lointainement, moi-même, Paul Auster et un auteur de science-fiction, soviétique et amphibien, appelé Alexander Beliaev.
Ce n’est pas une relation dont je suis fier.
— Et dis-moi, comment patinent les écrivains cubains ?
Son expression était : fucking cuban writers.
La question m’a pris par surprise.
— Comment ça patiner… sur la glace ?
Je me suis rendu compte que j’avais sorti une ânerie. Il faisait froid dans le Maine.
— Eh bien patiner, mon garçon. Patiner sur n’importe quelle superficie.

Tradabordo a dit…

Stephen King et moi, nous nous sommes assis pour discuter. Je lui ai parlé de ma nouvelle intitulée comme la sienne, mais j’ai précisé qu’il ne s’agissait ni de près ni de loin, d’un texte kingnien (Je me souviens d’avoir hésité à employer cet adjectif).
En réalité, « J’ai été un adolescent pilleur de tombes » était une salade [« cocktail » ? Comme vous préférez…] de références qui devait assez peu à King. Dans mon souvenir, elles se croisaient là : Lovecraft, Sappho, Rimbaud, Virginia Wolf, Julian del Casal, et même, très lointainement, moi-même, Paul Auster et un auteur de science-fiction, soviétique et amphibien, appelé Alexander Beliaev.
Ce n’est pas une relation dont je suis fier.
— Et dis-moi, comment patinent les écrivains cubains ?
Son expression était : fucking cuban writers.
La question m’a pris par surprise.
— Comment ça patiner… sur la glace ?
Je me suis rendu compte que j’avais sorti une ânerie. Il faisait froid dans le Maine.
— Eh bien patiner, mon garçon. Patiner sur n’importe quelle superficie [« surface » ?].

Unknown a dit…

Stephen King et moi, nous nous sommes assis pour discuter. Je lui ai parlé de ma nouvelle intitulée comme la sienne, mais j’ai précisé qu’il ne s’agissait ni de près ni de loin, d’un texte kingnien (Je me souviens d’avoir hésité à employer cet adjectif).
En réalité, « J’ai été un adolescent pilleur de tombes » était un cocktail de références qui devait assez peu à King. Dans mon souvenir, elles se croisaient là : Lovecraft, Sappho, Rimbaud, Virginia Wolf, Julian del Casal, et même, très lointainement, moi-même, Paul Auster et un auteur de science-fiction, soviétique et amphibien, appelé Alexander Beliaev.
Ce n’est pas une relation dont je suis fier.
— Et dis-moi, comment patinent les écrivains cubains ?
Son expression était : fucking cuban writers.
La question m’a pris par surprise.
— Comment ça patiner… sur la glace ?
Je me suis rendu compte que j’avais sorti une ânerie. Il faisait froid dans le Maine.
— Eh bien patiner, mon garçon. Patiner sur n’importe quelle surface.

Tradabordo a dit…

Stephen King et moi, nous nous sommes assis pour discuter. Je lui ai parlé de ma nouvelle intitulée comme la sienne, mais j’ai précisé qu’il ne s’agissait ni de près ni de loin, d’un texte kingnien (Je me souviens d’avoir hésité à employer cet adjectif).
En réalité, « J’ai été un adolescent pilleur de tombes » était un cocktail de références qui devait assez peu à King. Dans mon souvenir, elles se croisaient là : Lovecraft, Sappho, Rimbaud, Virginia Wolf, Julian del Casal, et même, très lointainement, moi-même, Paul Auster et un auteur de science-fiction, soviétique et amphibien, appelé Alexander Beliaev.
Ce n’est pas une relation dont je suis fier.
— Et dis-moi, comment patinent les écrivains cubains ?
Son expression était : fucking cuban writers.
La question m’a pris par surprise.
— Comment ça patiner… sur la glace ?
Je me suis rendu compte que j’avais sorti une ânerie. Il faisait froid dans le Maine.
— Eh bien patiner, mon garçon. Patiner sur n’importe quelle surface.

OK.