mardi 23 février 2016

Projet Morgane 13 – phrase 116

En las noches en que mi memoria es invadida por la sonriente soledad de su imagen, no puedo dejarla de asociar a esa maquina chirriante, horizontal, obsoleta, negra como un fantasma cansado quizás por el tiempo al haber viajado tanto, que iba y venía siempre lanzando las bocanadas de humo gris que yo recuerdo como el tren.

Santa Berta, San Marcos 1980

Traduction temporaire :
Les nuits où ma mémoire est envahie par la souriante solitude de son image, je ne peux m'empêcher de l'associer à cette machine grinçante, horizontale, obsolète, noire comme un fantôme fatigué – peut-être par tout ce temps passé à voyager –, qui allait et venait en expulsant sans cesse des bouffées de fumée grise et que je me rappelle être le train. 


Santa Berta, San Marcos, 1980

4 commentaires:

Unknown a dit…

Les nuits au cours desquelles ma mémoire est envahie par la souriante solitude de cette image, je ne peux m'empêcher de l'associer à cette machine grinçante, horizontale, obsolète, noire comme un fantôme fatigué — peut-être par le temps passé à avoir autant voyagé —, qui allait et venait en expulsant sans cesse des bouffées de fumée grise et que je me rappelle être le train.

Santa Berta, San Marcos, 1980

Tradabordo a dit…

Les nuits au cours desquelles [ou avec juste un « où » ? Comme tu veux…] ma mémoire est envahie par la souriante solitude de cette [texte ?] image, je ne peux m'empêcher de l'associer à cette machine grinçante, horizontale, obsolète, noire comme un fantôme fatigué — peut-être par le temps passé à avoir autant voyagé [mal dit] —, qui allait et venait en expulsant sans cesse des bouffées de fumée grise et que je me rappelle être le train.

Santa Berta, San Marcos, 1980

Unknown a dit…

Les nuits où ma mémoire est envahie par la souriante solitude de son image, je ne peux m'empêcher de l'associer à cette machine grinçante, horizontale, obsolète, noire comme un fantôme fatigué — peut-être par tout ce temps passé à voyager —, qui allait et venait en expulsant sans cesse des bouffées de fumée grise et que je me rappelle être le train.

Santa Berta, San Marcos, 1980

Tradabordo a dit…

Les nuits où ma mémoire est envahie par la souriante solitude de son image, je ne peux m'empêcher de l'associer à cette machine grinçante, horizontale, obsolète, noire comme un fantôme fatigué – peut-être par tout ce temps passé à voyager –, qui allait et venait en expulsant sans cesse des bouffées de fumée grise et que je me rappelle être le train.

Santa Berta, San Marcos, 1980

OK.

Tu peux relire. Assure-toi bien qu'il ne manque pas des fragments du texte + remets la mise en page de la V.O.