mardi 23 février 2016

Projet Bianca – phrases 116-128

Cuando lo subieron en la ambulancia y le taparon la cabeza, tuve un impulso que marcó el final de mi adolescencia.
Llegué a la casa del loquito y toqué la puerta. Suponía que nadie me contestaría, así que di la vuelta y entré por el fondo. El olor me hizo tapar la nariz. Había platos de comida por toda la casa y ropa húmeda estirada en los sillones. Una cucaracha salió como disparada cuando corrí con el pie una lata grande de galletitas de esas que se ven en los almacenes.
Una de las puertas al final del pasillo estaba cerrada. No sabía con qué me iría a encontrar del otro lado pero estaba decidido. Algunos afirmaban que la abuela estaba como un vegetal y el loquito seguía cobrando su jubilación para comprar cartas de Magic. Otros, que la abuela nunca salía de la casa porque no pasaba por la puerta. Entré y la vi acostada con los ojos bien abiertos mirando al techo. Parecía muerta, pero respiraba.
¿Señora?”. No obtuve respuesta. “¿Señora?”.

Traduction temporaire :
Quand ils le mirent dans l'ambulance et lui recouvrirent la tête, je sentis une impulsion qui signa la fin de mon adolescence. 
J'arrivai chez le foldingue et sonnai. Supposant que personne ne viendrait m'ouvrir, je fis le tour et entrai par derrière. L'odeur me poussa à me boucher le nez. Il y avait des assiettes pleines de nourriture partout dans la maison et des vêtements humides étendus sur les fauteuils. Une cuillère apparut soudainement quand avec mon pied, j'écartai un gros paquets de biscuits, de ceux que l'on voit dans les épiceries.
Une des portes au bout du couloir était fermée. Je ne savais pas ce que j'allais découvrir de l'autre côté, mais j'étais déterminé. Certaines personnes affirmaient que sa grand-mère était un vrai légume et que le foldingue encaissait encore sa retraite pour acheter des cartes de Magic. D'autres soutenaient que sa grand-mère ne sortait jamais de chez elle parce qu'elle était trop grosse pour passer la porte. J'entrai et la vis, couchée, ses yeux grands ouverts fixant le plafond. Elle avait l'air morte, et pourtant, elle respirait.

« Madame ? » Je ne reçus aucune réponse. « Madame ? »

6 commentaires:

Bianca a dit…

Quand ils l'avaient mis dans l'ambulance et lui avaient recouvert la tête, je sentis une impulsion qui signa la fin de mon adolescence.
J'arrivai chez le foldingue et sonnai à la porte. Je supposais que personne ne viendrait m'ouvrir, donc je fis le tour et entrai par derrière. Je me couvris le nez à l'odeur. Il y avait des assiettes pleines de nourriture partout dans la maison et des vêtements humides étendus sur les fauteuils. Une cuillère apparut soudainement quand avec mon pied, j'écartai un de ces gros paquets de biscuits que l'on voit dans les épiceries.
Une des portes au bout du couloir était fermée. Je ne savais pas ce que j'allais découvrir de l'autre côté mais j'étais déterminé. Certaines personnes affirmaient que sa grand-mère était un vrai légume et que le foldingue encaissait encore sa pension de retraite afin d'acheter des cartes de Magic. D'autres soutenaient que sa grand-mère ne sortait jamais de chez elle parce qu'elle était trop grosse pour passer la porte. Je rentrai et la vis couchée, ses yeux grands ouverts fixant le plafond. Elle avait l'air morte, mais elle respirait.

« Madame ? ». Je ne reçus aucune réponse. « Madame ? ».

Tradabordo a dit…

Quand ils l'avaient mis dans l'ambulance et lui avaient recouvert [ou dans le sens « caché » ? J'hésite…] la tête, je sentis [ça ne va pas… Vous ne pouvez pas mettre le début au PQP et là au passé simple… car c'est simultané / il faut que vous choisissiez et ça, c'est en fonction du temps global du récit – quelle est l'intrigue « souche » ?] une impulsion qui signa la fin de mon adolescence.

Je vous laisse régler ça et, le cas échéant, adapter pour la suite de votre fragment… et je reprends.

J'arrivai chez le foldingue et sonnai à la porte. Je supposais que personne ne viendrait m'ouvrir, donc je fis le tour et entrai par derrière. Je me couvris le nez à l'odeur. Il y avait des assiettes pleines de nourriture partout dans la maison et des vêtements humides étendus sur les fauteuils. Une cuillère apparut soudainement quand avec mon pied, j'écartai un de ces gros paquets de biscuits que l'on voit dans les épiceries.
Une des portes au bout du couloir était fermée. Je ne savais pas ce que j'allais découvrir de l'autre côté mais j'étais déterminé. Certaines personnes affirmaient que sa grand-mère était un vrai légume et que le foldingue encaissait encore sa pension de retraite afin d'acheter des cartes de Magic. D'autres soutenaient que sa grand-mère ne sortait jamais de chez elle parce qu'elle était trop grosse pour passer la porte. Je rentrai et la vis couchée, ses yeux grands ouverts fixant le plafond. Elle avait l'air morte, mais elle respirait.
« Madame ? ». Je ne reçus aucune réponse. « Madame ? ».

Bianca a dit…

[oui en effet, je sentais que ça clochait... le tout au passé simple semble mieux]

Quand ils le mirent dans l'ambulance et lui recouvrirent la tête, je sentis une impulsion qui signa la fin de mon adolescence.

J'arrivai chez le foldingue et sonnai à la porte. Je supposais que personne ne viendrait m'ouvrir, donc je fis le tour et entrai par derrière. Je me couvris le nez à l'odeur. Il y avait des assiettes pleines de nourriture partout dans la maison et des vêtements humides étendus sur les fauteuils. Une cuillère apparut soudainement quand avec mon pied, j'écartai un de ces gros paquets de biscuits que l'on voit dans les épiceries.
Une des portes au bout du couloir était fermée. Je ne savais pas ce que j'allais découvrir de l'autre côté mais j'étais déterminé. Certaines personnes affirmaient que sa grand-mère était un vrai légume et que le foldingue encaissait encore sa pension de retraite afin d'acheter des cartes de Magic. D'autres soutenaient que sa grand-mère ne sortait jamais de chez elle parce qu'elle était trop grosse pour passer la porte. Je rentrai et la vis couchée, ses yeux grands ouverts fixant le plafond. Elle avait l'air morte, mais elle respirait.
« Madame ? ». Je ne reçus aucune réponse. « Madame ? ».

Tradabordo a dit…

Quand ils le mirent dans l'ambulance et lui recouvrirent la tête, je sentis une impulsion qui signa la fin de mon adolescence.
J'arrivai chez le foldingue et sonnai à la porte [nécessaire ? D'autant que vous l'avez après]. Je supposais [« Supposant » ; ce sera plus facile d'articuler la suite] que personne ne viendrait m'ouvrir, donc [supprimez] je fis le tour et entrai par derrière. Je me couvris [vous avez « recouvrir » au début] le nez à l'odeur [??????? Pourquoi ce changement, en plus ?]. Il y avait des assiettes pleines de nourriture partout dans la maison et des vêtements humides étendus sur les fauteuils. Une cuillère apparut soudainement quand avec mon pied, j'écartai un de ces gros paquets [inexact ?] de biscuits que l'on voit dans les épiceries [sûre ?].
Une des portes au bout du couloir était fermée. Je ne savais pas ce que j'allais découvrir de l'autre côté [virgule avant « mais »] mais j'étais déterminé. Certaines personnes affirmaient que sa grand-mère était un vrai légume et que le foldingue encaissait encore sa pension de [nécessaire ?] retraite afin [si on ne l'a pas avant, je pense que « pour » serait mieux] d'acheter des cartes de Magic. D'autres soutenaient que sa grand-mère ne sortait jamais de chez elle parce qu'elle était trop grosse pour passer la porte. Je rentrai [« J'entrai »] et la vis [virgule] couchée, ses yeux grands ouverts fixant le plafond. Elle avait l'air morte, mais [vous en avez un juste avant ; essayez de trouver une autre solution… ici ou pour le 1e] elle respirait.
« Madame ? ». [pas de point puisque vous avez un point d'interrogation] Je ne reçus aucune réponse. « Madame ? ». [idem]

Bianca a dit…

Quand ils le mirent dans l'ambulance et lui recouvrirent la tête, je sentis une impulsion qui signa la fin de mon adolescence.
J'arrivai chez le foldingue et sonnai. Supposant que personne ne viendrait m'ouvrir, je fis le tour et entrai par derrière. L'odeur me poussa à me boucher le nez. Il y avait des assiettes pleines de nourriture partout dans la maison et des vêtements humides étendus sur les fauteuils. Une cuillère apparut soudainement quand avec mon pied, j'écartai un gros paquets de biscuits, de ceux que l'on voit dans les épiceries [Oui je pense: Am. Tienda donde se venden artículos domésticos de primera necesidad. (RAE)].
Une des portes au bout du couloir était fermée. Je ne savais pas ce que j'allais découvrir de l'autre côté, [aaaaaaaaah ! Je l'oublie tout le temps celle-là!] mais j'étais déterminé. Certaines personnes affirmaient que sa grand-mère était un vrai légume et que le foldingue encaissait encore sa retraite pour acheter des cartes de Magic. D'autres soutenaient que sa grand-mère ne sortait jamais de chez elle parce qu'elle était trop grosse pour passer la porte. J'entrai et la vis, couchée, ses yeux grands ouverts fixant le plafond. Elle avait l'air morte, et pourtant, elle respirait.
« Madame ? » Je ne reçus aucune réponse. « Madame ? »

Tradabordo a dit…

Quand ils le mirent dans l'ambulance et lui recouvrirent la tête, je sentis une impulsion qui signa la fin de mon adolescence.
J'arrivai chez le foldingue et sonnai. Supposant que personne ne viendrait m'ouvrir, je fis le tour et entrai par derrière. L'odeur me poussa à me boucher le nez. Il y avait des assiettes pleines de nourriture partout dans la maison et des vêtements humides étendus sur les fauteuils. Une cuillère apparut soudainement quand avec mon pied, j'écartai un gros paquets de biscuits, de ceux que l'on voit dans les épiceries.
Une des portes au bout du couloir était fermée. Je ne savais pas ce que j'allais découvrir de l'autre côté, mais j'étais déterminé. Certaines personnes affirmaient que sa grand-mère était un vrai légume et que le foldingue encaissait encore sa retraite pour acheter des cartes de Magic. D'autres soutenaient que sa grand-mère ne sortait jamais de chez elle parce qu'elle était trop grosse pour passer la porte. J'entrai et la vis, couchée, ses yeux grands ouverts fixant le plafond. Elle avait l'air morte, et pourtant, elle respirait.
« Madame ? » Je ne reçus aucune réponse. « Madame ? »

OK.