vendredi 26 février 2016

Projet Bianca 2 – phrases 22-37

II.
Con mi prima Angélica éramos muy unidas de chicas. Apenas mi tía se acostaba a dormir la siesta, ojeábamos las revistas de moda que coleccionaba. Algunas las conseguía importadas en los kioscos grandes del centro. Habíamos prometido que las trataríamos con sumo cuidado; nada de escribir o arrugar las páginas, y menos recortar figuritas. No quedaría una sola revista que no hubiéramos leído mil veces. Cerrábamos la puerta de la habitación de Angélica, nos sacábamos las zapatillas y subíamos a su cama marinera. Ella dormía en la de arriba porque así lo había decidido el hermano mayor, que por las tardes cursaba taller en el industrial. Mi prima estiraba un brazo, agarraba una revista de la pila y la abría sobre la almohada (yo siempre me ponía del lado de la pared porque tenía miedo de caerme). Recuerdo que me encantaba sentir el olor del papel. Jugábamos a ser diseñadoras y copiábamos los modelos en un cuaderno de la escuela, empezando por la última página y avanzando de atrás hacia adelante. Los dibujos nos salían espantosos.
Pensar que ahora la veo poco y nada. La vida de casada te quita tiempo. Angélica está a punto de dar ese gran paso, el más importante de su vida. Me siento inmensamente feliz por ella y estoy segura de que ella también se va poner muy contenta cuando me vea con vestido nuevo. Siempre me está retando porque dice que no me arreglo, que es una lástima, que soy una linda mujer.

Traduction temporaire :
II.
Avec ma cousine Angélica, nous étions très proches petites. Aussitôt que ma tante allait se coucher pour la sieste, nous feuilletions les magazines de mode qu'elle collectionnait. Elle en trouvait certains, qui venaient de l'étranger, dans les grands kiosques du centre-ville. Nous avions promis de les manipuler avec un soin extrême ; hors de question d'écrire dessus ou de froisser les pages, et encore moins de découper des images. Il ne devait plus rester un seul magazine que nous n'ayons pas lu mille fois. Nous fermions la porte de la chambre d'Angélica, ôtions nos tennis et grimpions sur le lit superposé. Elle dormait dans celui du dessus parce que son frère aîné avait décidé que c'était comme ça ; lui qui, l'après-midi, étudiait la mécanique à l'Institut technique industriel. Ma cousine tendait le bras, saisissait un magazine dans la pile et l'ouvrait sur son oreiller (comme j'avais peur de tomber, je prenais toujours le côté du mur). Je me rappelle que j'adorais sentir l'odeur du papier. Nous jouions à faire semblant d'être des créatrices de mode et copions les modèles dans un cahier d'école, commençant par la dernière page et allant de la fin vers le début. Nos dessins étaient horribles.

Et dire que maintenant, je ne la vois que très peu ou jamais. La vie de femme mariée prend du temps. Angélica est sur le point de sauter le pas aussi, le plus important de sa vie. Je suis immensément heureuse pour elle et je suis sûre, elle aussi sera très contente quand elle me verra dans une nouvelle robe. Elle me gronde toujours car elle estime que je ne m'occupe pas assez de moi et que c'est dommage, que je suis une jolie femme.

6 commentaires:

Bianca a dit…

II.
Avec ma cousine Angélica, nous étions très proches depuis petites. Aussitôt que ma tante allait se coucher pour faire la sieste, nous feuilletions les magazines de mode qu'elle collectionnait. Elle en trouvait certains, importés, dans les grands kiosques du centre-ville. Nous avions promis de les manipuler avec un soin extrême ; hors de question d'écrire dessus ou de froisser les pages, et encore moins de découper des images. Il ne resterait plus un seul magazine que nous n'ayons pas lus mille fois. Nous fermions la porte de la chambre d'Angélica, ôtions nos tennis et grimpions sur le lit superposé. Elle dormait dans celui du dessus parce qu'ainsi l'avait décidé son frère aîné qui, les après-midis, étudiait la mécanique à l'institut technique industriel. Ma cousine tendait le bras, saisissait un magazine sur la pile et l'ouvrait sur son oreiller (moi, je prenais toujours le côté du mur parce que j'avais peur de tomber). Je me rappelle que j'adorais sentir l'odeur du papier. Nous jouions à faire semblant d'être des créatrices de mode et copions les modèles dans un cahier d'école, commençant par la dernière page et allant de l'arrière vers l'avant. Nos dessins étaient horribles.

Dire que maintenant je ne la vois que très peu ou jamais. La vie de femme mariée prend du temps. Angélica est sur le point de sauter le pas aussi, le pas le plus important de sa vie. Je suis extrêmement heureuse pour elle et je suis sûre qu'elle aussi sera très contente quand elle me verra avec une nouvelle robe. Elle me gronde tout le temps parce qu'elle estime que je ne m'arrange pas et que c'est dommage, que je suis une jolie femme.

Tradabordo a dit…

II.
Avec ma cousine Angélica, nous étions très proches depuis [est-ce que vous ne changez pas le sens en faisant cet ajout ?] petites. Aussitôt que ma tante allait se coucher pour faire [nécessaire ?] la sieste, nous feuilletions les magazines de mode qu'elle collectionnait. Elle en trouvait certains, importés [clair pour le lecteur francophone ou besoin de cheville ? J'hésite…], dans les grands kiosques du centre-ville [nécessaire ajout de « ville » ? J'hésite… Je vous laisse trancher]. Nous avions promis de les manipuler avec un soin extrême ; hors de question d'écrire dessus ou de froisser les pages, et encore moins de découper des images. Il ne resterait [« ne devait plus rester » ?] plus un seul magazine que nous n'ayons pas lus [grammaire ?] mille fois. Nous fermions la porte de la chambre d'Angélica, ôtions nos tennis et grimpions sur le lit superposé. Elle dormait dans celui du dessus parce qu'ainsi l'avait décidé [pas du tout naturel… Ayez toujours en tête la nécessité de l'équilibre entre sens et fluidité] son frère aîné qui, les après-midis [ou au singulier ?], étudiait la mécanique à l'institut [majuscule ?] technique industriel. Ma cousine tendait le bras, saisissait un magazine sur [« dans », pour éviter les deux « sur » ou vraiment trop artificiel ?] la pile et l'ouvrait sur son oreiller (moi, je prenais toujours le côté du mur parce que [vous avez un « parce que » plus haut ; construisez cette phrase avec un « comme » placé au début] j'avais peur de tomber). Je me rappelle que j'adorais sentir l'odeur du papier. Nous jouions à faire semblant d'être des créatrices de mode et copions les modèles dans un cahier d'école, commençant par la dernière page et allant de l'arrière [« fin » ?] vers l'avant [« début » ?]. Nos dessins étaient horribles.
[cheville : « et »] Dire que maintenant [virgule] je ne la vois que très peu ou jamais. La vie de femme mariée prend du [« laisse peu de » ? Comme vous voulez] temps. Angélica est sur le point de sauter le pas aussi, le pas le plus important de sa vie. Je suis extrêmement [texte ; pas de raison de changer] heureuse pour elle et je suis sûre qu'elle aussi [« , elle »] sera très contente quand elle me verra avec [« dans » ?] une nouvelle robe. Elle me gronde tout le temps [vous l'avez un peu plus haut ; essayez de ne pas répéter] parce qu'[ce sera le 3e dans la section]elle estime que je ne m'arrange pas [ambigu, non ?] et que c'est dommage, que je suis une jolie femme.

Bianca a dit…

II.
Avec ma cousine Angélica, nous étions très proches petites. Aussitôt que ma tante allait se coucher pour la sieste, nous feuilletions les magazines de mode qu'elle collectionnait. Elle en trouvait certains, qui venaient de l'étranger, dans les grands kiosques du centre-ville. Nous avions promis de les manipuler avec un soin extrême ; hors de question d'écrire dessus ou de froisser les pages, et encore moins de découper des images. Il ne devait plus rester un seul magazine que nous n'ayons pas lu mille fois. Nous fermions la porte de la chambre d'Angélica, ôtions nos tennis et grimpions sur le lit superposé. Elle dormait dans celui du dessus parce que c'était son frère aîné qui l'avait décidé ; lui qui, l'après-midi, étudiait la mécanique à l'Institut technique industriel. Ma cousine tendait le bras, saisissait un magazine dans la pile et l'ouvrait sur son oreiller (comme moi j'avais peur de tomber, je prenais toujours le côté du mur ). Je me rappelle que j'adorais sentir l'odeur du papier. Nous jouions à faire semblant d'être des créatrices de mode et copions les modèles dans un cahier d'école, commençant par la dernière page et allant de la fin vers le début. Nos dessins étaient horribles.
Et dire que maintenant, je ne la vois que très peu ou jamais. La vie de femme mariée prend du temps. Angélica est sur le point de sauter le pas aussi, le pas le plus important de sa vie. Je suis immensément heureuse pour elle et je suis sûre, elle aussi sera très contente quand elle me verra dans une nouvelle robe. Elle me gronde toujours car elle estime que je ne m'occupe pas de moi [sinon "je ne prends pas soin de moi" mais il y a "soin" au debout du paragraphe] et que c'est dommage, que je suis une jolie femme.

Tradabordo a dit…

II.
Avec ma cousine Angélica, nous étions très proches petites. Aussitôt que ma tante allait se coucher pour la sieste, nous feuilletions les magazines de mode qu'elle collectionnait. Elle en trouvait certains [j'hésite : est-ce que ce ne serait pas mieux en commençant la phrase par « Certains, qui venaient… » Essayez et voyez ce qui est mieux…], qui venaient de l'étranger, dans les grands kiosques du centre-ville. Nous avions promis de les manipuler avec un soin extrême ; hors de question d'écrire dessus ou de froisser les pages, et encore moins de découper des images. Il ne devait plus rester un seul magazine que nous n'ayons pas lu mille fois. Nous fermions la porte de la chambre d'Angélica, ôtions nos tennis et grimpions sur le lit superposé. Elle dormait dans celui du dessus parce que c'était son frère aîné qui l'avait décidé [« parce que son frère avait décidé que c'était comme ça » ? Je vous laisse regarder] ; lui qui, l'après-midi, étudiait la mécanique à l'Institut technique industriel. Ma cousine tendait le bras, saisissait un magazine dans la pile et l'ouvrait sur son oreiller (comme moi [nécessaire ?] j'avais peur de tomber, je prenais toujours le côté du mur [espace en trop]). Je me rappelle que j'adorais sentir l'odeur du papier. Nous jouions à faire semblant d'être des créatrices de mode et copions les modèles dans un cahier d'école, commençant par la dernière page et allant de la fin vers le début. Nos dessins étaient horribles.
Et dire que maintenant, je ne la vois que très peu ou jamais. La vie de femme mariée prend du temps. Angélica est sur le point de sauter le pas aussi, le pas [nécessaire ?] le plus important de sa vie. Je suis immensément heureuse pour elle et je suis sûre, elle aussi sera très contente quand elle me verra dans une nouvelle robe. Elle me gronde toujours car elle estime que je ne m'occupe pas [cheville : « assez » ?] de moi et que c'est dommage, que je suis une jolie femme.

Bianca a dit…

II.
Avec ma cousine Angélica, nous étions très proches petites. Aussitôt que ma tante allait se coucher pour la sieste, nous feuilletions les magazines de mode qu'elle collectionnait. Elle en trouvait certains [Certains, qui venaient de l'étranger, elle les trouvait dans ...? // Hummm, je ne sais pas, je trouve que ça ne fait pas naturel, trop proche de l'espagnol...], qui venaient de l'étranger, dans les grands kiosques du centre-ville. Nous avions promis de les manipuler avec un soin extrême ; hors de question d'écrire dessus ou de froisser les pages, et encore moins de découper des images. Il ne devait plus rester un seul magazine que nous n'ayons pas lu mille fois. Nous fermions la porte de la chambre d'Angélica, ôtions nos tennis et grimpions sur le lit superposé. Elle dormait dans celui du dessus parce que son frère aîné avait décidé que c'était comme ça ; lui qui, l'après-midi, étudiait la mécanique à l'Institut technique industriel. Ma cousine tendait le bras, saisissait un magazine dans la pile et l'ouvrait sur son oreiller (comme j'avais peur de tomber, je prenais toujours le côté du mur). Je me rappelle que j'adorais sentir l'odeur du papier. Nous jouions à faire semblant d'être des créatrices de mode et copions les modèles dans un cahier d'école, commençant par la dernière page et allant de la fin vers le début. Nos dessins étaient horribles.
Et dire que maintenant, je ne la vois que très peu ou jamais. La vie de femme mariée prend du temps. Angélica est sur le point de sauter le pas aussi, le plus important de sa vie. Je suis immensément heureuse pour elle et je suis sûre, elle aussi sera très contente quand elle me verra dans une nouvelle robe. Elle me gronde toujours car elle estime que je ne m'occupe pas assez de moi et que c'est dommage, que je suis une jolie femme.

Tradabordo a dit…

II.
Avec ma cousine Angélica, nous étions très proches petites. Aussitôt que ma tante allait se coucher pour la sieste, nous feuilletions les magazines de mode qu'elle collectionnait. Elle en trouvait certains, qui venaient de l'étranger, dans les grands kiosques du centre-ville. Nous avions promis de les manipuler avec un soin extrême ; hors de question d'écrire dessus ou de froisser les pages, et encore moins de découper des images. Il ne devait plus rester un seul magazine que nous n'ayons pas lu mille fois. Nous fermions la porte de la chambre d'Angélica, ôtions nos tennis et grimpions sur le lit superposé. Elle dormait dans celui du dessus parce que son frère aîné avait décidé que c'était comme ça ; lui qui, l'après-midi, étudiait la mécanique à l'Institut technique industriel. Ma cousine tendait le bras, saisissait un magazine dans la pile et l'ouvrait sur son oreiller (comme j'avais peur de tomber, je prenais toujours le côté du mur). Je me rappelle que j'adorais sentir l'odeur du papier. Nous jouions à faire semblant d'être des créatrices de mode et copions les modèles dans un cahier d'école, commençant par la dernière page et allant de la fin vers le début. Nos dessins étaient horribles.
Et dire que maintenant, je ne la vois que très peu ou jamais. La vie de femme mariée prend du temps. Angélica est sur le point de sauter le pas aussi, le plus important de sa vie. Je suis immensément heureuse pour elle et je suis sûre, elle aussi sera très contente quand elle me verra dans une nouvelle robe. Elle me gronde toujours car elle estime que je ne m'occupe pas assez de moi et que c'est dommage, que je suis une jolie femme.

OK.