mardi 23 février 2016

Projet Hadjer / Cécilia – phrases 22-25

Quizá esa noche regresemos de nuevo; no hay que atracarse con dolor del bueno, del exquisito. Hace mucho que aprendimos a ser moderadas. Otro día seguimos a un hombre, aún joven, con barba crecida y unos pantalones gastados. Nos gusta acecharlos en los supermercados, en las gasolineras, en esos espacios de nadie y libres de censura, en los que podemos observar sin llamar la atención.

Traduction temporaire :
Peut-être, ce soir nous reviendrons ; il n’y a pas besoin de s’empiffrer de la douleur bonne et exquise. Cela fait longtemps que nous avons appris à être modérées. Un autre jour, nous suivons un homme, encore jeune, qui porte une longue barbe et un pantalon usé. Nous aimons les guetter dans les supermarchés, les stations essence, dans ces espaces publics et sans censure, dans lesquels nous pouvons observer sans attirer l’attention.

12 commentaires:

Unknown a dit…

Peut-être que ce soir nous reviendrons de nouveau ; il n’y a pas besoin de s’empiffrer de la bonne, de l'exquise douleur. Il y a longtemps que nous avons appris à nous modérer. Un autre jour, nous suivons un homme, jeune encore, qui portait une grande barbe et un pantalon usé. Nous aimons les traquer dans les supermarchés, les stations essence, les lieux publics, dans lesquels nous pouvons observer sans attirer l’attention.

Cécilia Solvez a dit…

Peut-être que cette nuit, nous reviendrons de nouveau ; il ne faut s'empiffrer avec douleur de ce qui est bon, de l'exquis. Cela fait longtemps que nous avons appris à être modérées.
Un autre jour, nous suivions un homme, encore jeune, qui avait une longue barbe et un certain pantalon usé. Nous aimons les guetter dans les supermarchés, dans les stations de service, dans les lieux publics, dans lesquels nous pouvons observer sans attirer l'attention.

Tradabordo a dit…

Peut-être que ce soir nous reviendrons de nouveau [revenir + de nouveau : redondant ;-) Débrouillez-vous pour trouver une solution sans le « que »] ; il n’y a pas besoin de s’empiffrer de la bonne, de l'exquise douleur [je pense que vous devriez le mettre avant]. Il y a longtemps que nous avons appris à nous modérer [ce qui est dommage, là, c'est que du coup, on passe à côté du féminin + pluriel / voyez si vous avez une solution où il pourrait apparaître]. Un autre jour, nous suivons un homme, jeune encore [dans l'autre sens ?], qui portait [temps ?] une grande [« longue » ? Je vous laisse réfléchir…] barbe et un pantalon usé. Nous aimons les traquer dans les supermarchés, les stations essence, les lieux publics [vous trichez ; essayez de revenir à la V.O. ; d'autant plus qu'il vous manque un petit bout], dans lesquels nous pouvons observer sans attirer l’attention.

Unknown a dit…

Ce soir nous reviendrons peut-être de nouveau; il n’y a pas besoin de s’empiffrer de la douleur, bonne ou exquise. Cela fait longtemps que nous avons appris à être modérées. Un autre jour, nous suivons un homme, encore jeune, qui porte une longue barbe et un pantalon usé. Nous aimons les traquer dans les supermarchés, les stations essence, ces espaces déserts libres de censure, dans lesquels nous pouvons observer sans attirer l’attention.

Unknown a dit…


Ce soir nous reviendrons peut-être; il n’y a pas besoin de s’empiffrer de la douleur, bonne ou exquise. Cela fait longtemps que nous avons appris à être modérées. Un autre jour, nous suivons un homme, encore jeune, qui porte une longue barbe et un pantalon usé. Nous aimons les traquer dans les supermarchés, les stations essence, ces espaces déserts libres de censure, dans lesquels nous pouvons observer sans attirer l’attention.



[ désolé, j'ai collé le "de nouveau" par inadvertance, voici la bonne version]

Cécilia Solvez a dit…

Ce soir, nous reviendrons peut-être à nouveau ; il n’y a pas besoin de s’empiffrer de la douleur bonne et exquise. Cela fait longtemps que nous avons appris à être modérées. Un autre jour, nous suivons un homme, encore jeune, qui porte une longue barbe et un pantalon usé. Nous aimons les traquer ( je pense que ça serait mieux "guetter" car je pense pas qu'on traque des pantalons, de plus j'ai trouvé que la traduction de "acechar"= guetter) dans les supermarchés, les stations essence, ces espaces où il n'y a personne et libre de censure dans lesquels nous pouvons observer sans attirer l’attention.

Tradabordo a dit…

Je prends la version de Cécilia – parce que les espaces sont correctement mis.

Ce soir, nous reviendrons peut-être à nouveau [déjà commenté – ce matin à 8:51] ; il n’y a pas besoin de s’empiffrer de la douleur bonne et exquise. Cela fait longtemps que nous avons appris à être modérées. Un autre jour, nous suivons un homme, encore jeune, qui porte une longue barbe et un pantalon usé. Nous aimons les traquer ( je pense que ça serait mieux "guetter" car je pense pas qu'on traque des pantalons, de plus j'ai trouvé que la traduction de "acechar"= guetter // OK) dans les supermarchés, les stations essence, ces espaces où il n'y a personne [pas ce que dit la V.O.] et libre de censure [mal dit] dans lesquels nous pouvons observer sans attirer l’attention.

Cécilia Solvez a dit…

Peut-être, ce soir nous reviendrons une fois de plus ; il n’y a pas besoin de s’empiffrer de la douleur bonne et exquise. Cela fait longtemps que nous avons appris à être modérées. Un autre jour, nous suivons un homme, encore jeune, qui porte une longue barbe et un pantalon usé. Nous aimons les guetter dans les supermarchés, les stations essence, dans ces espaces publics et sans censure, dans lesquels nous pouvons observer sans attirer l’attention.

Tradabordo a dit…

Peut-être, ce soir nous reviendrons une fois de plus [redondant = monter en haut / descendre en bas… DONC : supprimez tout court] ; il n’y a pas besoin de s’empiffrer de la douleur bonne et exquise. Cela fait longtemps que nous avons appris à être modérées. Un autre jour, nous suivons un homme, encore jeune, qui porte une longue barbe et un pantalon usé. Nous aimons les guetter dans les supermarchés, les stations essence, dans ces espaces publics et sans censure, dans lesquels nous pouvons observer sans attirer l’attention.

Cécilia Solvez a dit…

Peut-être, ce soir nous reviendrons ; il n’y a pas besoin de s’empiffrer de la douleur bonne et exquise. Cela fait longtemps que nous avons appris à être modérées. Un autre jour, nous suivons un homme, encore jeune, qui porte une longue barbe et un pantalon usé. Nous aimons les guetter dans les supermarchés, les stations essence, dans ces espaces publics et sans censure, dans lesquels nous pouvons observer sans attirer l’attention.

Tradabordo a dit…

Peut-être, ce soir nous reviendrons ; il n’y a pas besoin de s’empiffrer de la douleur bonne et exquise. Cela fait longtemps que nous avons appris à être modérées. Un autre jour, nous suivons un homme, encore jeune, qui porte une longue barbe et un pantalon usé. Nous aimons les guetter dans les supermarchés, les stations essence, dans ces espaces publics et sans censure, dans lesquels nous pouvons observer sans attirer l’attention.

OK.

Hadjer ?

Unknown a dit…

Ok.