jeudi 25 février 2016

Projet Fanny – phrases 255-266

El día que tres de los doctores me arrancaron de tu habitación y me llevaron al laboratorio, se cumplían cuatro meses de nuestra estancia en el hospital. Sus caras estaban pálidas y ojerosas, nadie descansaba allí, nadie estaba dispuesto a rendirse. Disponían de todo el dinero que necesitasen, del equipo y el personal que pidiesen… y nadie ponía límites éticos o morales a su trabajo.
Josef, tenemos un positivo —me dijo uno de ellos.
Un positivo era todo lo que yo necesitaba. Solamente uno. La posibilidad de que la esperanza existiese, de que hubiese una forma. Un solo embrión viable era suficiente para seguir hacia delante.
¿De cuánto tiempo? —pregunté.
Ochenta y dos horas. Ninguno había conseguido pasar de las cincuenta.
¿Podemos reproducir el proceso?

Traduction temporaire :
Le jour où trois des docteurs m'ont sorti de force de ta chambre et m'ont emmené au laboratoire, nous séjournions à l'hôpital depuis quatre mois. Leurs visages étaient pâles et leurs yeux cernés. Là-bas, personne ne se reposait, personne ne voulait abandonner. Ils disposaient de tout l'argent qu'ils désiraient, du matériel et du personnel qu'ils voulaient… et personne ne mettait de limites éthiques ou morales à son travail.
— Josef, nous en avons un positif, m'annonça l'un d'entre eux.
Un positif était la seule chose dont j'avais besoin. Rien qu'un. La possibilité que l'espoir existe, qu'il y ait un moyen. Un seul embryon viable était suffisant pour continuer d' avancer.
— De combien de temps ? demandais-je.
— Quatre-vingt deux heures. Aucun n'avait réussi à passer les cinquante heures. 

— On peut reproduire le processus ?

4 commentaires:

Fanny JAY a dit…

Le jour où les trois docteurs m'ont sorti de ta chambre et m'ont emmené au laboratoire, cela faisait quatre mois que nous séjournions à l'hôpital. Leurs visages étaient pâles et leurs yeux, cernés. Là-bas, personne ne se reposait, personne ne voulait se rendre. Ils disposaient de tout l'argent dont ils requéraient, du matériel et du personnel qu'ils voulaient… et personne ne posait de limites éthiques ou morales à son travail.
— Josef, nous en avons un positif, me dit l'un d'entre eux. Un positif était la seule chose dont j'avais besoin. Seulement un. La possibilité que l'espoir existe, qu'il y ait un moyen. Un seul embryon viable était suffisant pour continuer à avancer.
— De combien de temps ? demandais-je.
— Quatre-vingt deux heures. Aucun n'avait réussi à passer les cinquante heures.
— On peut reproduire le processus ?

Tradabordo a dit…

Le jour où les trois docteurs [pas ce que dit la V.O.] m'ont sorti [cheville : « de force » pour bien rendre la V.O.] de ta chambre et m'ont emmené au laboratoire, cela faisait [débrouillez-vous pour trouver une solution sans « faire »] quatre mois que nous séjournions à l'hôpital. Leurs visages étaient pâles et leurs yeux, [pas besoin de la virgule] cernés. Là-bas, personne ne se reposait, personne ne voulait se rendre [mal dit]. Ils disposaient de tout l'argent dont ils requéraient [incorrect ?], du matériel et du personnel qu'ils voulaient… et personne ne posait [« mettait » ?] de limites éthiques ou morales à son travail.
— Josef, nous en avons un positif, me dit [il y a mieux ici] l'un d'entre eux. Un positif était la seule chose dont j'avais besoin. Seulement [ou : « rien qu' » ? Comme vous avez « seul » après, ce serait mieux…] un. La possibilité que l'espoir existe, qu'il y ait un moyen. Un seul embryon viable était suffisant pour continuer à [« d' »] avancer.
— De combien de temps ? demandais-je.
— Quatre-vingt deux heures. Aucun n'avait réussi à passer les cinquante heures.
— On peut reproduire le processus ?

Fanny JAY a dit…

Le jour où trois des docteurs m'ont sorti de force de ta chambre et m'ont emmené au laboratoire, nous séjournions à l'hôpital depuis quatre mois. Leurs visages étaient pâles et leurs yeux cernés. Là-bas, personne ne se reposait, personne ne voulait abandonner. Ils disposaient de tout l'argent dont ils désiraient, du matériel et du personnel qu'ils voulaient… et personne ne mettait de limites éthiques ou morales à son travail.
— Josef, nous en avons un positif, m'annonça l'un d'entre eux. Un positif était la seule chose dont j'avais besoin. Rien qu'un. La possibilité que l'espoir existe, qu'il y ait un moyen. Un seul embryon viable était suffisant pour continuer d' avancer.
— De combien de temps ? demandais-je.
— Quatre-vingt deux heures. Aucun n'avait réussi à passer les cinquante heures.
— On peut reproduire le processus ?

Tradabordo a dit…

Le jour où trois des docteurs m'ont sorti de force de ta chambre et m'ont emmené au laboratoire, nous séjournions à l'hôpital depuis quatre mois. Leurs visages étaient pâles et leurs yeux cernés. Là-bas, personne ne se reposait, personne ne voulait abandonner. Ils disposaient de tout l'argent qu'ils désiraient, du matériel et du personnel qu'ils voulaient… et personne ne mettait de limites éthiques ou morales à son travail.
— Josef, nous en avons un positif, m'annonça l'un d'entre eux.
Un positif était la seule chose dont j'avais besoin. Rien qu'un. La possibilité que l'espoir existe, qu'il y ait un moyen. Un seul embryon viable était suffisant pour continuer d' avancer.
— De combien de temps ? demandais-je.
— Quatre-vingt deux heures. Aucun n'avait réussi à passer les cinquante heures.
— On peut reproduire le processus ?

J'ai corrigé une faute de grammaire et OK.