vendredi 7 octobre 2016

Projet Nathalie / Florence – phrases 70-74

La idea de una civilización regida por animales domésticos ya había sido explorada por la ciencia ficción, entre otros por el escritor norteamericano Clifford D. Simack en Ciudad, una novela que imagina un mundo donde los perros han tomado el control. Ésta y otras lecturas, como las fábulas de Esopo, Samaniego y Lafontaine, fueron esgrimidas por el ala blanda de la rebelión, comandada por un pomerania llamado Sirio, para intentar apaciguar los ánimos en las asambleas que se realizaban en los foros de Animalia. “La paloma”, tal como fue calificado Sirio por los partidarios de Olaf, era también un lector de Orwell, pero insistía en no soslayar el final sombrío de Rebelión en la granja. Su respuesta ante los comentarios despectivos no se hizo esperar: “Soy un humanista”, escribió.

Traduction temporaire :
L'idée d'une civilisation régie par des animaux domestiques avait déjà été explorée par la science-fiction, en particulier par l'écrivain nord-américain Clifford D.Simakdans, dans « Demain les chiens », un roman qui imagine un monde où les chiens ont pris le contrôle. Ce texte, et d'autres, comme les fables d'Esope, Samaniego et Lafontaine, furent brandis par la branche modérée de la révolte, dirigée par un spitz nain appelé Sirio, pour tenter de calmer les esprits dans les assemblées qui se tenaient sur les forums d'Animalia. « La colombe », comme fut baptisé Sirio par les partisans d'Olaf, avait beau lui aussi être un lecteur d'Orwell, il tenait à ne pas édulcorer le dénouement funeste de La ferme des animaux. Sa réponse aux commentaires méprisants ne se fit pas attendre : « Je suis un humaniste », écrivit-il.

5 commentaires:

Unknown a dit…

L'idée d'une civilisation régie par des animaux domestiques avait déjà été explorée par la science fiction, en particulier par l'écrivain nord-américain Clifford D.Simakdans dans « Demain les chiens », un roman qui imagine un monde où les chiens ont pris le contrôle. Ce texte et d'autres, comme les fables d'Esope, Samaniego et Lafontaine, furent brandis par la branche modérée de la révolte, dirigée par un spitz nain appelé Sirio, pour tenter de calmer les esprits dans les assemblées qui avaient lieu sur les forums d'Animalia. « La colombe », comme fut surnommé Sirio par les partisans d'Olaf, était lui aussi un lecteur d'Orwell, toutfois, il tenait à ne pas édulcorer le dénouement funeste de La ferme des animaux.Sa réponse aux commentaires méprisants ne se fit pas attendre: « Je suis un humaniste »,écrivit-il.

Tradabordo a dit…

L'idée d'une civilisation régie par des animaux domestiques avait déjà été explorée par la science fiction [tiret ? Vérifiez], en particulier par l'écrivain nord-américain Clifford D.Simakdans [virgule] dans « Demain les chiens » [vous traduisez depuis l'espagnol ou vous avez vérifié quel titre on lui a effectivement donné en français ?], un roman qui imagine un monde où les chiens ont pris le contrôle. Ce texte [virgule ?] et d'autres, comme les fables d'Esope, Samaniego et Lafontaine, furent brandis par la branche modérée de la révolte, dirigée par un spitz nain appelé Sirio, pour tenter de calmer les esprits dans les assemblées qui avaient lieu [bof] sur les forums d'Animalia. « La colombe », comme fut surnommé [vous avez quelque chose de plus naturel en stock ?] Sirio par les partisans d'Olaf, était lui aussi un lecteur d'Orwell, toutfois [coquille ; cela dit, je me demande si vous n'aurez pas intérêt à passer par « avoir beau » / essayez et voyez si ça fonctionne], il tenait à ne pas édulcorer le dénouement funeste de La ferme des animaux.[espace]Sa réponse aux commentaires méprisants ne se fit pas attendre[espace]: « Je suis un humaniste »,[espace]écrivit-il.

Unknown a dit…

L'idée d'une civilisation régie par des animaux domestiques avait déjà été explorée par la science-fiction, en particulier par l'écrivain nord-américain Clifford D.Simakdans, dans « Demain les chiens »,(j'ai vérifié) un roman qui imagine un monde où les chiens ont pris le contrôle. Ce texte, et d'autres, comme les fables d'Esope, Samaniego et Lafontaine, furent brandis par la branche modérée de la révolte, dirigée par un spitz nain appelé Sirio, pour tenter de calmer les esprits dans les assemblées qui se tenaient sur les forums d'Animalia. « La colombe », comme fut baptisé Sirio par les partisans d'Olaf, avait beau lui aussi être un lecteur d'Orwell, il tenait à ne pas édulcorer le dénouement funeste de La ferme des animaux. Sa réponse aux commentaires méprisants ne se fit pas attendre : « Je suis un humaniste », écrivit-il.

Tradabordo a dit…

L'idée d'une civilisation régie par des animaux domestiques avait déjà été explorée par la science-fiction, en particulier par l'écrivain nord-américain Clifford D.Simakdans, dans « Demain les chiens », un roman qui imagine un monde où les chiens ont pris le contrôle. Ce texte, et d'autres, comme les fables d'Esope, Samaniego et Lafontaine, furent brandis par la branche modérée de la révolte, dirigée par un spitz nain appelé Sirio, pour tenter de calmer les esprits dans les assemblées qui se tenaient sur les forums d'Animalia. « La colombe », comme fut baptisé Sirio par les partisans d'Olaf, avait beau lui aussi être un lecteur d'Orwell, il tenait à ne pas édulcorer le dénouement funeste de La ferme des animaux. Sa réponse aux commentaires méprisants ne se fit pas attendre : « Je suis un humaniste », écrivit-il.

OK.

Florence ?

Unknown a dit…

Ok !