jeudi 9 octobre 2014

Projet Justine 3 – phrases 18-20

Sólo Camila conseguía sacarme de ese mundo de cifras para meterme en otro más ligero, flotante y vital. Me llevaba al cine, a la playa, o a tomar una cerveza en cualquier bar. Lo mismo le daba el Superba de Lince, lleno de borrachos enternados, o La Noche, poblada de chiquillos y también de artistas y escritores y periodistas a muchos de los cuales Camila conocía y que tenían en común con los parroquianos de los bares de Lince el estar también siempre borrachos.

Traduction temporaire :
Seule Camila parvenait à me tirer de cet univers peuplé de chiffres, pour me faire plonger dans un autre monde, plus léger, flottant, plein de vie. Elle m’emmenait au cinéma, à la plage, ou boire une bière n'importe où. Pour elle, cela revenait au même d'aller au el Superba de Lince, bourré d’ivrognes invétérés, ou au La Noche, envahi de jeunes gens, mais aussi d’artistes, d’écrivains et de journalistes, que, pour la plupart, elle connaissait – et qui avaient un point commun avec les habitués des établissements de Lince : leur ébriété perpétuelle.

9 commentaires:

Justine a dit…

Seule Camila parvenait à me sortir de cet univers peuplé de chiffres, pour me faire plonger dans un autre monde plus léger, flottant, plein de vie. Elle m’emmenait au cinéma, à la plage, ou boire une bière dans n’importe quel bar. Pour elle, aller au el Superba de Lince, rempli d’ivrognes invétérés, ou au La Noche, envahi de jeunes gens, mais aussi d’artistes, d’écrivains et de journalistes dont elle connaissait la plupart – et qui avaient en commun avec les habitués des bars de Lince, le fait d’être toujours ivres – revenait au même.

Tradabordo a dit…

Seule Camila parvenait à me sortir [ou « tirer » ? J'hésite] de cet univers peuplé de chiffres, pour me faire plonger dans un autre monde [virgule] plus léger, flottant, plein de vie. Elle m’emmenait au cinéma, à la plage, ou boire une bière dans n’importe quel bar [naturel ?]. Pour elle, aller au el Superba de Lince, rempli d’ivrognes invétérés, ou au La Noche, envahi de jeunes gens, mais aussi d’artistes, d’écrivains et de journalistes dont elle connaissait la plupart – et qui avaient en commun avec les habitués des bars de Lince, le fait d’être toujours ivres – revenait au même [carrément pas clair ; reprends cette phrase].

Justine a dit…

Seule Camila parvenait à me tirer de cet univers peuplé de chiffres, pour me faire plonger dans un autre monde, plus léger, flottant, plein de vie. Elle m’emmenait au cinéma, à la plage, ou boire une bière n'importe où. Pour elle, cela revenait au même d'aller au el Superba de Lince, rempli d’ivrognes invétérés, ou au La Noche, envahi de jeunes gens, mais aussi d’artistes, d’écrivains et de journalistes qu'elle connaissait pour la plupart – et qui avaient un point commun avec les habitués des bars de Lince, à savoir : leur ébriété perpétuelle.

Tradabordo a dit…

Seule Camila parvenait à me tirer de cet univers peuplé de chiffres, pour me faire plonger dans un autre monde, plus léger, flottant, plein de vie. Elle m’emmenait au cinéma, à la plage, ou boire une bière n'importe où. Pour elle, cela revenait au même d'aller au el Superba de Lince, rempli [« bourré » ?] d’ivrognes invétérés, ou au La Noche, envahi de jeunes gens, mais aussi d’artistes, d’écrivains et de journalistes qu'elle connaissait pour la plupart [avance-le] – et qui avaient un point commun avec les habitués des bars [« établissements »] de Lince, à savoir [pas besoin] : leur ébriété perpétuelle.

Justine a dit…

Seule Camila parvenait à me tirer de cet univers peuplé de chiffres, pour me faire plonger dans un autre monde, plus léger, flottant, plein de vie. Elle m’emmenait au cinéma, à la plage, ou boire une bière n'importe où. Pour elle, cela revenait au même d'aller au el Superba de Lince, bourré d’ivrognes invétérés, ou au La Noche, envahi de jeunes gens, mais aussi d’artistes, d’écrivains et de journalistes que pour la plupart, elle connaissait pour la plupart – et qui avaient un point commun avec les habitués des établissements de Lince, : leur ébriété perpétuelle.

Tradabordo a dit…

Seule Camila parvenait à me tirer de cet univers peuplé de chiffres, pour me faire plonger dans un autre monde, plus léger, flottant, plein de vie. Elle m’emmenait au cinéma, à la plage, ou boire une bière n'importe où. Pour elle, cela revenait au même d'aller au el Superba de Lince, bourré d’ivrognes invétérés, ou au La Noche, envahi de jeunes gens, mais aussi d’artistes, d’écrivains et de journalistes, que, pour la plupart, elle connaissait pour la plupart [relis-toi ; tu commences à laisser les coquilles, etc. Attention] – et qui avaient un point commun avec les habitués des établissements de Lince, : leur ébriété perpétuelle.

Justine a dit…

Seule Camila parvenait à me tirer de cet univers peuplé de chiffres, pour me faire plonger dans un autre monde, plus léger, flottant, plein de vie. Elle m’emmenait au cinéma, à la plage, ou boire une bière n'importe où. Pour elle, cela revenait au même d'aller au el Superba de Lince, bourré d’ivrognes invétérés, ou au La Noche, envahi de jeunes gens, mais aussi d’artistes, d’écrivains et de journalistes, que, pour la plupart, elle connaissait – et qui avaient un point commun avec les habitués des établissements de Lince : leur ébriété perpétuelle.

Tradabordo a dit…

Seule Camila parvenait à me tirer de cet univers peuplé de chiffres, pour me faire plonger dans un autre monde, plus léger, flottant, plein de vie. Elle m’emmenait au cinéma, à la plage, ou boire une bière n'importe où. Pour elle, cela revenait au même d'aller au el Superba de Lince, bourré d’ivrognes invétérés, ou au La Noche, envahi de jeunes gens, mais aussi d’artistes, d’écrivains et de journalistes, que, pour la plupart, elle connaissait – et qui avaient un point commun avec les habitués des établissements de Lince : leur ébriété perpétuelle.

OK.

Tradabordo a dit…

Seule Camila parvenait à me tirer de cet univers peuplé de chiffres, pour me faire plonger dans un autre monde, plus léger, flottant, plein de vie. Elle m’emmenait au cinéma, à la plage, ou boire une bière n'importe où. Pour elle, cela revenait au même d'aller au el Superba de Lince, bourré d’ivrognes invétérés, ou au La Noche, envahi de jeunes gens, mais aussi d’artistes, d’écrivains et de journalistes, que, pour la plupart, elle connaissait – et qui avaient un point commun avec les habitués des établissements de Lince : leur ébriété perpétuelle.

OK.