vendredi 24 octobre 2014

Projet Julie – phrases 135-139

La decrépita pareja de enviados permaneció clavada en el sendero. Uno se rascó la cabeza; el otro, la barbilla… Y, cuando vieron que una luz se encendía en lo alto de la cúpula, tras la cual se refugiaba el apetitoso mortal, se relamieron gustosos, restregándose las bocas anhelantes y torcidas.
Mientras tanto, la luna ascendía lenta en el cielo ventoso, derramando su presencia cadavérica sobre una noche que prometía ser larga…

¡Muy, muy larga!

Traduction temporaire :
Le duo délabré d'émissaires resta planté au beau milieu du chemin. L'un se gratta la tête, l'autre le menton… Puis, lorsqu'ils virent qu'une lumière s'allumait au sommet de la coupole – derrière laquelle se réfugiait l'appétissant mortel –, ils se léchèrent les babines avec délectation, frottant leur bouche avide et tordue. Pendant ce temps, la lune montait doucement dans le ciel venteux, distillant sa présence cadavérique sur une nuit qui promettait d'être longue… Très, très longue !

7 commentaires:

Julie Sanchez a dit…

Le couple délabré d'émissaires resta planté au beau milieu du chemin. L'un se gratta la tête, l'autre le menton… Puis, lorsqu'ils virent qu'une lumière s'allumait au sommet de la coupole – derrière laquelle se réfugiait l'appétissant mortel –, ils se léchèrent les babines avec plaisir, frottant leur bouche avide et tordue. Pendant ce temps-là, la lune montait doucement dans le ciel venteux, distillant sa présence cadavérique sur une nuit qui promettait d'être longue… Très, très longue !

Tradabordo a dit…

Le couple [bof en français… / « duo » ?] délabré d'émissaires resta planté au beau milieu du chemin. L'un se gratta la tête, l'autre le menton… Puis, lorsqu'ils virent qu'une lumière s'allumait au sommet de la coupole – derrière laquelle se réfugiait l'appétissant mortel –, ils se léchèrent les babines avec plaisir, frottant [ou « s'essuyer » ? Vérifie] leur bouche avide et tordue. Pendant ce temps-là [«-là », nécessaire ?], la lune montait doucement dans le ciel venteux, distillant sa présence cadavérique sur une nuit qui promettait d'être longue… Très, très longue !

Julie Sanchez a dit…

Le duo délabré d'émissaires resta planté au beau milieu du chemin. L'un se gratta la tête, l'autre le menton… Puis, lorsqu'ils virent qu'une lumière s'allumait au sommet de la coupole – derrière laquelle se réfugiait l'appétissant mortel –, ils se léchèrent les babines avec plaisir, frottant leur bouche avide et tordue. Pendant ce temps, la lune montait doucement dans le ciel venteux, distillant sa présence cadavérique sur une nuit qui promettait d'être longue… Très, très longue !

D'après la définition de la RAE pour "restregarse", ça se rapporterai plus à "frotter" en français. Qui serait un peu plus fort qu"essuyer". Voilà la définition : Estregar o frotar mucho y con ahínco algo con otra cosa.

Tradabordo a dit…

Le duo délabré d'émissaires resta planté au beau milieu du chemin. L'un se gratta la tête, l'autre le menton… Puis, lorsqu'ils virent qu'une lumière s'allumait au sommet de la coupole – derrière laquelle se réfugiait l'appétissant mortel –, ils se léchèrent les babines avec plaisir [« délectation » ? Comme tu préfères…], frottant leur bouche avide et tordue. Pendant ce temps, la lune montait doucement dans le ciel venteux, distillant sa présence cadavérique sur une nuit qui promettait d'être longue… Très, très longue !

Julie Sanchez a dit…

Le duo délabré d'émissaires resta planté au beau milieu du chemin. L'un se gratta la tête, l'autre le menton… Puis, lorsqu'ils virent qu'une lumière s'allumait au sommet de la coupole – derrière laquelle se réfugiait l'appétissant mortel –, ils se léchèrent les babines avec délectation, frottant leur bouche avide et tordue. Pendant ce temps, la lune montait doucement dans le ciel venteux, distillant sa présence cadavérique sur une nuit qui promettait d'être longue… Très, très longue !

Ah oui, avec délectation c'est bien !

Tradabordo a dit…

Le duo délabré d'émissaires resta planté au beau milieu du chemin. L'un se gratta la tête, l'autre le menton… Puis, lorsqu'ils virent qu'une lumière s'allumait au sommet de la coupole – derrière laquelle se réfugiait l'appétissant mortel –, ils se léchèrent les babines avec délectation, frottant leur bouche avide et tordue. Pendant ce temps, la lune montait doucement dans le ciel venteux, distillant sa présence cadavérique sur une nuit qui promettait d'être longue… Très, très longue !

OK.

Tradabordo a dit…

Bon, à toi de relire, maintenant… Fais bien attention qu'il ne manque rien. J'ai eu des problèmes avec l'enregistrement des trads. Envoie par mail quand c'est prêt.