mercredi 17 février 2016

Projet Camille / Angélique 2 – phrase 5

El mozo vino con la botella y dos vasos grandes y hielo: -"Cigarrillos -le dijo él-, Máspero"; el mozo recibió la orden sin mover la cabeza, pasó la servilleta por la superficie manchada de la mesa, donde colocó después los vasos; en el salón casi todas las mesas estaban vacías; detrás de una kentia gigantesca escribía el patrón en las hojas de un bibliorato; en una mesa del extremo rincón hablaban dos hombres, las cabezas descubiertas, uno con bigote recortado y grueso, el otro rasurado, repugnante, calvo y amarillento; no se oía, en el salón, el vuelo de una mosca; el más joven de los dos hombres del extremo rincón hablaba precipitadamente, haciendo pausas bruscas; el patrón levantaba los ojos y lo miraba, escuchaba ese hablar rudo e irregular, luego volvía a hundirse en los números; eran las siete.

Traduction temporaire :
Le garçon revint avec une bouteille, deux grands verres et des glaçons : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon prit sa commande sans bouger la tête, passa un coup de torchon sur la surface tachée de la table, où il les posa ; dans la salle, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un gigantesque kentia, le patron écrivait sur les feuilles d'un classeur ; à une table, dans le recoin au fond, deux hommes parlaient, têtes découvertes, l'un avec une moustache taillée et drue, l'autre rasé, répugnant, chauve et avec le teint jaunâtre ; on n'entendait pas une mouche voler dans la salle ; le plus jeune des deux hommes parlait précipitamment, en effectuant des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, écoutant ce discours grossier et haché, puis replongeait dans ses comptes ; il était sept heures.

12 commentaires:

Unknown a dit…

Le garçon vint avec une bouteille et deux grands vases et de la glace : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon pris la commande sans bouger la tête, passa la serviette sur la superficie tachée de la table, où il plaça après les vases ; dans le salon, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un kentia gigantesque le patron écrivait sur les feuilles d'un dossier ; sur une table à l'extrémité du coin, parlaient deux hommes, têtes découvertes, un avec une moustache taillée et épaisse, l'autre rasé, répugnant, chauve et jaunâtre ; on n'entendait pas une mouche volée dans le salon ; le plus jeune des deux hommes, à l'extrémité du coin, parlait précipitamment, en faisant des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, écoutait celui-ci parler avec rudesse et irrégularité, puis replongeait dans les numéros ; il était sept heure.

Tradabordo a dit…

Le garçon vint [« revint » ?] avec une bouteille et [virgule] deux grands vases [FS ! Hum hum… J'inscris ça dans la colonne des moins] et de la glace [« glaçons » ? Comme vous voulez] : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon pris [grammaire… Attention de ne pas travailler trop vite] la [possessif ?] commande sans bouger la tête, passa la serviette [inexact ?] sur la superficie [mal dit] tachée de la table, où il plaça après les vases [FS + mal dit] ;

Reprenons déjà ça… et éventuellement, relisez la suite.

dans le salon, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un kentia gigantesque le patron écrivait sur les feuilles d'un dossier ; sur une table à l'extrémité du coin, parlaient deux hommes, têtes découvertes, un avec une moustache taillée et épaisse, l'autre rasé, répugnant, chauve et jaunâtre ; on n'entendait pas une mouche volée dans le salon ; le plus jeune des deux hommes, à l'extrémité du coin, parlait précipitamment, en faisant des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, écoutait celui-ci parler avec rudesse et irrégularité, puis replongeait dans les numéros ; il était sept heure.

Unknown a dit…

Le garçon revint avec une bouteille, deux grands verres et des glaçons : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon prit sa commande sans bouger la tête, passa un coup de [cheville, c'est une expression] torchon sur la partie tachée de la table, où ensuite il posa les verres ; dans la salle, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un gigantesque kentia, le patron écrivait sur les feuilles d'un classeur ; sur une table du fond, dans un recoin, deux hommes parlaient, têtes découvertes, l'un avec une moustache taillée et épaisse, l'autre rasé, répugnant, chauve et jaunâtre ; on n'entendait pas une mouche voler dans la salle ; le plus jeune des deux hommes du recoin du fond parlait précipitamment [si on veut éviter l'adverbe, peut-on dire "à vau-de-route" ? je ne sais pas si c'est trop suranné ou pas], en faisant des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, il écoutait ce discours grossier et incohérent [il se peut que je fasse un CS, je ne sais pas s'il parle du discours de l'homme, "ese hablar", ou de l'homme lui même comme Camille l'a écrit], puis replongeait dans ses comptes [je pense qu'il fait ses comptes dans son classeur] ; il était sept heure.

Tradabordo a dit…

Le garçon revint avec une bouteille, deux grands verres et des glaçons : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon prit sa commande sans bouger la tête, passa un coup de torchon sur la partie [FS] tachée de la table, où ensuite [je le mettrais après « posa » ; essayez et voyez ce qui est mieux…] il posa les verres [un moyen de ne pas répéter ?] ; dans la salle, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un gigantesque kentia, le patron écrivait sur les feuilles d'un classeur ; sur [comme on a un « sur » juste avant… déplacez ce fragment un peu plus loin dans la phrase – histoire de camoufler…] une table du fond [pas sûre de l'interprétation], dans un recoin, deux hommes parlaient [tiens, peut-être que ça pourrait marcher en commençant par ça…], têtes découvertes [« nues » ? Je ne sais plus ce qu'on dit quand on ne porte pas de chapeau… Vérifiez], l'un avec une moustache taillée et épaisse [« drue » ? Vérifiez], l'autre rasé, répugnant, chauve et jaunâtre ;

Faisons déjà ça.

on n'entendait pas une mouche voler dans la salle ; le plus jeune des deux hommes du recoin du fond parlait précipitamment [si on veut éviter l'adverbe, peut-on dire "à vau-de-route" ? je ne sais pas si c'est trop suranné ou pas], en faisant des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, il écoutait ce discours grossier et incohérent [il se peut que je fasse un CS, je ne sais pas s'il parle du discours de l'homme, "ese hablar", ou de l'homme lui même comme Camille l'a écrit], puis replongeait dans ses comptes [je pense qu'il fait ses comptes dans son classeur] ; il était sept heure.

Unknown a dit…

Le garçon revint avec une bouteille, deux grands verres et des glaçons : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon prit sa commande sans bouger la tête, passa un coup de torchon sur la zone tachée de la table, où il les posa ensuite ; dans la salle, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un gigantesque kentia, le patron écrivait sur les feuilles d'un classeur ; à [ mieux que "sur" ? Et comme cela on pourrait garder la syntaxe de la phrase ] la table au bout du coin, dans un recoin, deux hommes parlaient, têtes découvertes, l'un avec une moustache taillée et drue, l'autre rasé, répugnant, chauve et jaunâtre ;

Faisons déjà ça.

on n'entendait pas une mouche voler dans la salle ; le plus jeune des deux hommes du recoin du fond parlait précipitamment [si on veut éviter l'adverbe, peut-on dire "à vau-de-route" ? je ne sais pas si c'est trop suranné ou pas], en faisant des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, il écoutait ce discours grossier et incohérent [il se peut que je fasse un CS, je ne sais pas s'il parle du discours de l'homme, "ese hablar", ou de l'homme lui même comme Camille l'a écrit], puis replongeait dans ses comptes [je pense qu'il fait ses comptes dans son classeur] ; il était sept heure.

Tradabordo a dit…

Le garçon revint avec une bouteille, deux grands verres et des glaçons : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon prit sa commande sans bouger la tête, passa un coup de torchon sur la zone [superficie = surface] tachée de la table, où il les posa ensuite [nécessaire ? En fait, on se doute qu'il le fait après…] ; dans la salle, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un gigantesque kentia, le patron écrivait sur les feuilles d'un classeur ; à la [« una » en esp. Important de laisser, sinon, ça veut dire qu'il y en a une seule] table au bout du coin [je pense que c'est plutôt dans le sens de « le coin le plus en retrait » ou un truc comme ça], dans un recoin, deux hommes parlaient, têtes découvertes, l'un avec une moustache taillée et drue, l'autre rasé, répugnant, chauve et [cheville : « le teint » ? Comme vous voulez…] jaunâtre ;

Faisons déjà ça.

on n'entendait pas une mouche voler dans la salle ; le plus jeune des deux hommes du recoin du fond parlait précipitamment [si on veut éviter l'adverbe, peut-on dire "à vau-de-route" ? je ne sais pas si c'est trop suranné ou pas], en faisant des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, il écoutait ce discours grossier et incohérent [il se peut que je fasse un CS, je ne sais pas s'il parle du discours de l'homme, "ese hablar", ou de l'homme lui même comme Camille l'a écrit], puis replongeait dans ses comptes [je pense qu'il fait ses comptes dans son classeur] ; il était sept heure.

Unknown a dit…

Le garçon revint avec une bouteille, deux grands verres et des glaçons : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon prit sa commande sans bouger la tête, passa un coup de torchon sur la surface tachée de la table, où il les posa ; dans la salle, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un gigantesque kentia, le patron écrivait sur les feuilles d'un classeur ; à une table, dans un recoin isolé, deux hommes parlaient, têtes découvertes, l'un avec une moustache taillée et drue, l'autre rasé, répugnant, chauve et avec le teint jaunâtre ;

Faisons déjà ça.

on n'entendait pas une mouche voler dans la salle ; le plus jeune des deux hommes du recoin du fond parlait précipitamment [si on veut éviter l'adverbe, peut-on dire "à vau-de-route" ? je ne sais pas si c'est trop suranné ou pas], en faisant des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, il écoutait ce discours grossier et incohérent [il se peut que je fasse un CS, je ne sais pas s'il parle du discours de l'homme, "ese hablar", ou de l'homme lui même comme Camille l'a écrit], puis replongeait dans ses comptes [je pense qu'il fait ses comptes dans son classeur] ; il était sept heure.

Tradabordo a dit…

Le garçon revint avec une bouteille, deux grands verres et des glaçons : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon prit sa commande sans bouger la tête, passa un coup de torchon sur la surface tachée de la table, où il les posa ; dans la salle, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un gigantesque kentia, le patron écrivait sur les feuilles d'un classeur ; à une table, dans un recoin isolé [j'ai hésité, parce que c'est satisfaisant, mais il faut rester objectif et ça n'est pas ce que dit le texte. Contentons-nous d'un truc du genre : « au fond »], deux hommes parlaient, têtes découvertes, l'un avec une moustache taillée et drue, l'autre rasé, répugnant, chauve et avec le teint jaunâtre ;

no se oía, en el salón, el vuelo de una mosca; el más joven de los dos hombres del extremo rincón hablaba precipitadamente, haciendo pausas bruscas; el patrón levantaba los ojos y lo miraba, escuchaba ese hablar rudo e irregular, luego volvía a hundirse en los números; eran las siete.

on n'entendait pas une mouche voler dans la salle ; le plus jeune des deux hommes du recoin [supprimez, du coup] du fond parlait précipitamment [si on veut éviter l'adverbe, peut-on dire "à vau-de-route" ? je ne sais pas si c'est trop suranné ou pas //// peu usité, donc en décalage par rapport à la V.O. On peut laisser l'adverbe en -ment ; sauf erreur de ma part, nous n'en avons pas tant que ça depuis le début… C'est un truc qu'on garde en tête, mais qui ne doit pas devenir une obsession (j'ai eu ma période ; alors j'essaie de vous faire gagner du temps sur les différents types de maladies par lesquels le traducteur peut passer dans sa carrière…)], en faisant [ça passe, mais pas une idée de verbe plus intéressant ici ?] des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, il écoutait [« écoutant » ?] ce discours grossier et incohérent [je pense que c'est plutôt dans le sens de saccadé, pas en continu quoi… « haché » ?], puis replongeait dans ses comptes ; il était sept heure [grammaire].

Unknown a dit…

Le garçon revint avec une bouteille, deux grands verres et des glaçons : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon prit sa commande sans bouger la tête, passa un coup de torchon sur la surface tachée de la table, où il les posa ; dans la salle, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un gigantesque kentia, le patron écrivait sur les feuilles d'un classeur ; à une table, dans un recoin au fond, deux hommes parlaient, têtes découvertes, l'un avec une moustache taillée et drue, l'autre rasé, répugnant, chauve et avec le teint jaunâtre ; on n'entendait pas une mouche voler dans la salle ; le plus jeune des deux hommes parlait précipitamment, en effectuant des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, écoutant ce discours grossier et haché, puis replongeait dans ses comptes ; il était sept heures.

Tradabordo a dit…

Le garçon revint avec une bouteille, deux grands verres et des glaçons : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon prit sa commande sans bouger la tête, passa un coup de torchon sur la surface tachée de la table, où il les posa ; dans la salle, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un gigantesque kentia, le patron écrivait sur les feuilles d'un classeur ; à une table, dans un [« le »] recoin au fond, deux hommes parlaient, têtes découvertes, l'un avec une moustache taillée et drue, l'autre rasé, répugnant, chauve et avec le teint jaunâtre ; on n'entendait pas une mouche voler dans la salle ; le plus jeune des deux hommes parlait précipitamment, en effectuant des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, écoutant ce discours grossier et haché, puis replongeait dans ses comptes ; il était sept heures.

Unknown a dit…

Le garçon revint avec une bouteille, deux grands verres et des glaçons : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon prit sa commande sans bouger la tête, passa un coup de torchon sur la surface tachée de la table, où il les posa ; dans la salle, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un gigantesque kentia, le patron écrivait sur les feuilles d'un classeur ; à une table, dans le recoin au fond, deux hommes parlaient, têtes découvertes, l'un avec une moustache taillée et drue, l'autre rasé, répugnant, chauve et avec le teint jaunâtre ; on n'entendait pas une mouche voler dans la salle ; le plus jeune des deux hommes parlait précipitamment, en effectuant des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, écoutant ce discours grossier et haché, puis replongeait dans ses comptes ; il était sept heures.

Tradabordo a dit…

Le garçon revint avec une bouteille, deux grands verres et des glaçons : « Cigarettes, lui dit-il, Máspero » ; le garçon prit sa commande sans bouger la tête, passa un coup de torchon sur la surface tachée de la table, où il les posa ; dans la salle, presque toutes les tables étaient vides ; derrière un gigantesque kentia, le patron écrivait sur les feuilles d'un classeur ; à une table, dans le recoin au fond, deux hommes parlaient, têtes découvertes, l'un avec une moustache taillée et drue, l'autre rasé, répugnant, chauve et avec le teint jaunâtre ; on n'entendait pas une mouche voler dans la salle ; le plus jeune des deux hommes parlait précipitamment, en effectuant des pauses brusques ; le patron levait les yeux et le regardait, écoutant ce discours grossier et haché, puis replongeait dans ses comptes ; il était sept heures.

OK.