lundi 8 février 2016

Projet Justine / Sophie – phrases 63-64

¡Tal vez eso era lo que estaba sucediendo!, tal vez el polvo original, Dios, era finito, y no inagotable como siempre se pensó, y ya había dado todo lo que podía al mundo donde él vivía, y por eso no había más polvo en ese planeta. O tal vez todo era una ilusión, como en esas historias de conspiraciones gigantescas, y él siempre había vivido atrapado en un mundo falso y virtual como en el que se solía conectar, que no tenía los recursos computacionales para poder simular al polvo, el cual requería trillones de cálculos por segundo para representar con cierta corrección las millones de partículas que flotan en una nube de polvo o que se depositan en los muebles.

Traduction temporaire :
Peut-être était-ce ce qui se passait actuellement ! Peut-être la poussière originelle, Dieu, était-il fini et non inépuisable comme on l'avait toujours pensé, et avait-il déjà donné ce qu'il pouvait au monde où il vivait, et cela expliquait-il qu'il n'y ait plus de poussière sur cette planète. Ou peut-être tout n'était-il qu'illusion, comme dans ces histoires de conspirations gigantesques, et peut-être lui, avait-il toujours vécu pris dans les filets d'un monde faux et virtuel, à l'instar de celui où on avait l'habitude de se connecter, qui n'avait pas les moyens informatiques nécessaires pour simuler la poussière, qui requérait mille milliards de calculs par seconde pour représenter assez fidèlement les millions de particules flottant dans un nuage de poussière ou se déposant sur les meubles.  

10 commentaires:

Justine a dit…

Peut-être était-ce ce qui était en train de se passer ! Peut-être la poussière était-elle originale, Dieu était-il fini et non inépuisable comme on l'a toujours pensé, et avait-il déjà donné tout ce qu'il pouvait au monde où il vivait, raison pour laquelle, il n'y avait plus de poussière sur cette planète. Ou peut-être que tout n'était qu'illusion, comme dans ces histoires de conspirations gigantesques, et que lui avait toujours vécu, pris dans les filets d'un monde faux et virtuel comme dans celui où on avait l'habitude de se connecter, qui n'avait pas les moyens informatiques nécessaires pour simuler la poussière qui requérait mille milliards de calculs par seconde pour représenter assez justement les millions de particules qui flottent dans un nuage de poussière ou qui se déposent sur les meubles.

Tradabordo a dit…

Peut-être était-ce ce qui était [pas génial, les deux « était »] en train de se passer ! Peut-être la poussière était-elle [texte] originale, Dieu [virgule !] était-il fini et non inépuisable comme on l'a toujours pensé [ou PQP ? J'hésite], et avait-il déjà donné tout ce qu'il pouvait au monde où il vivait, raison pour laquelle, [sans virgule] il n'y avait plus de poussière sur cette planète. Ou peut-être que [une solution sans le « que »] tout n'était qu'illusion, comme dans ces histoires de conspirations gigantesques, et que lui avait [idem] toujours vécu,


pris dans les filets d'un monde faux et virtuel comme dans celui où on avait l'habitude de se connecter, qui n'avait pas les moyens informatiques nécessaires pour simuler la poussière qui requérait mille milliards de calculs par seconde pour représenter assez justement les millions de particules qui flottent dans un nuage de poussière ou qui se déposent sur les meubles.

Justine a dit…

Peut-être était-ce ce qui se passait actuellement ! Peut-être la poussière originale, Dieu, était fini et non inépuisable comme on l'avait toujours pensé, et avait-il déjà donné tout ce qu'il pouvait au monde où il vivait, raison pour laquelle il n'y avait plus de poussière sur cette planète. Ou peut-être tout n'était-il qu'illusion, comme dans ces histoires de conspirations gigantesques, et lui avait-il toujours vécu, pris dans les filets d'un monde faux et virtuel comme dans celui où on avait l'habitude de se connecter, qui n'avait pas les moyens informatiques nécessaires pour simuler la poussière qui requérait mille milliards de calculs par seconde pour représenter assez justement les millions de particules qui flottent dans un nuage de poussière ou qui se déposent sur les meubles.

Tradabordo a dit…

Peut-être était-ce ce qui se passait actuellement ! Peut-être la poussière originale, Dieu, était [« -t-il » ; adapte pour les autres verbes…] fini et non inépuisable comme on l'avait toujours pensé, et avait-il déjà donné tout ce qu'il pouvait au monde où il vivait, raison pour laquelle il n'y avait plus de poussière sur cette planète. Ou peut-être tout n'était-il qu'illusion, comme dans ces histoires de conspirations gigantesques, et lui avait-il toujours vécu, pris dans les filets d'un monde faux et virtuel comme dans celui où on avait l'habitude de se connecter, qui n'avait pas les moyens informatiques nécessaires pour simuler la poussière qui requérait mille milliards de calculs par seconde pour représenter assez justement les millions de particules qui flottent dans un nuage de poussière ou qui se déposent sur les meubles.

Justine a dit…

Peut-être était-ce ce qui se passait actuellement ! Peut-être la poussière originale, Dieu, était-il fini et non inépuisable comme on l'avait toujours pensé, et avait-il déjà donné tout ce qu'il pouvait au monde où il vivait, raison pour laquelle il n'y avait plus de poussière sur cette planète. Ou peut-être tout n'était-il qu'illusion, comme dans ces histoires de conspirations gigantesques, et lui, avait-il toujours vécu, pris dans les filets d'un monde faux et virtuel comme dans celui où on avait l'habitude de se connecter, qui n'avait pas les moyens informatiques nécessaires pour simuler la poussière qui requérait mille milliards de calculs par seconde pour représenter assez justement les millions de particules qui flottent dans un nuage de poussière ou qui se déposent sur les meubles.

Tradabordo a dit…

Peut-être était-ce ce qui se passait actuellement ! Peut-être la poussière originale, Dieu, était-il fini et non inépuisable comme on l'avait toujours pensé, et avait-il déjà donné tout ce qu'il pouvait au monde où il vivait, raison pour laquelle [« et cela expliquait-il »] il n'y avait plus de poussière sur cette planète. Ou peut-être tout n'était-il qu'illusion, comme dans ces histoires de conspirations gigantesques, et lui, [nécessaire, au fait ?] avait-il toujours vécu, [sans la virgule… sinon, ça ne va pas…] pris dans les filets d'un monde faux et virtuel comme [« , à l'instar de »] dans celui où on avait l'habitude de se connecter, qui n'avait pas les moyens informatiques nécessaires pour simuler la poussière [virgule] qui requérait mille milliards de calculs par seconde pour représenter assez justement [sûre ?] les millions de particules qui flottent [« flottant »] dans un nuage de poussière ou qui se déposent sur les meubles.

Justine a dit…

Peut-être était-ce ce qui se passait actuellement ! Peut-être la poussière originale, Dieu, était-il fini et non inépuisable comme on l'avait toujours pensé, et avait-il déjà donné tout ce qu'il pouvait au monde où il vivait, et cela expliquait-il qu'il n'y ait plus de poussière sur cette planète. Ou peut-être tout n'était-il qu'illusion, comme dans ces histoires de conspirations gigantesques, et lui, [nécessaire, au fait ? Oui, je pense que là on parle du personnage principal, plus de Dieu] avait-il toujours vécu pris dans les filets d'un monde faux et virtuel, à l'instar de celui où on avait l'habitude de se connecter, qui n'avait pas les moyens informatiques nécessaires pour simuler la poussière, qui requérait mille milliards de calculs par seconde pour représenter assez fidèlement les millions de particules flottant dans un nuage de poussière ou qui se déposent sur les meubles.

Tradabordo a dit…

Peut-être était-ce ce qui se passait actuellement ! Peut-être la poussière originale [« originelle », au fait ? Vérifie], Dieu, était-il fini et non inépuisable comme on l'avait toujours pensé, et avait-il déjà donné tout [nécessaire ? Tu en as un juste après] ce qu'il pouvait au monde où il vivait, et cela expliquait-il qu'il n'y ait plus de poussière sur cette planète. Ou peut-être tout n'était-il qu'illusion, comme dans ces histoires de conspirations gigantesques, et lui, [nécessaire, au fait ? Oui, je pense que là on parle du personnage principal, plus de Dieu /// dans ce cas répète le « peut-être »] avait-il toujours vécu pris dans les filets d'un monde faux et virtuel, à l'instar de celui où on avait l'habitude de se connecter, qui n'avait pas les moyens informatiques nécessaires pour simuler la poussière, qui requérait mille milliards de calculs par seconde pour représenter assez fidèlement les millions de particules flottant dans un nuage de poussière ou qui se déposent [« ou se déposant » ; il fallait adapter ici… n'oublie pas la consigne : quand tu changes quelque chose dans une phrase, il faut t'assurer que ça ne fait pas bouger des choses autour…] sur les meubles.

Justine a dit…

Peut-être était-ce ce qui se passait actuellement ! Peut-être la poussière originelle, Dieu, était-il fini et non inépuisable comme on l'avait toujours pensé, et avait-il déjà donné ce qu'il pouvait au monde où il vivait, et cela expliquait-il qu'il n'y ait plus de poussière sur cette planète. Ou peut-être tout n'était-il qu'illusion, comme dans ces histoires de conspirations gigantesques, et peut-être lui, avait-il toujours vécu pris dans les filets d'un monde faux et virtuel, à l'instar de celui où on avait l'habitude de se connecter, qui n'avait pas les moyens informatiques nécessaires pour simuler la poussière, qui requérait mille milliards de calculs par seconde pour représenter assez fidèlement les millions de particules flottant dans un nuage de poussière ou se déposant sur les meubles.

Tradabordo a dit…

Peut-être était-ce ce qui se passait actuellement ! Peut-être la poussière originelle, Dieu, était-il fini et non inépuisable comme on l'avait toujours pensé, et avait-il déjà donné ce qu'il pouvait au monde où il vivait, et cela expliquait-il qu'il n'y ait plus de poussière sur cette planète. Ou peut-être tout n'était-il qu'illusion, comme dans ces histoires de conspirations gigantesques, et peut-être lui, avait-il toujours vécu pris dans les filets d'un monde faux et virtuel, à l'instar de celui où on avait l'habitude de se connecter, qui n'avait pas les moyens informatiques nécessaires pour simuler la poussière, qui requérait mille milliards de calculs par seconde pour représenter assez fidèlement les millions de particules flottant dans un nuage de poussière ou se déposant sur les meubles.

OK.