mercredi 10 février 2016

Projet Medea / Iris – phrases 18-21

Calló el mago, y de las pupilas del rey brotó un resplandor sombrío. Aquello que acababa de oír hizo nacer en su espíritu una idea que, vaga al principio, fue redondeándose y tomando cuerpo como la bola de nieve de la montaña. Con ademán terrible se echó sobre los hombros el manto de púrpura y llevando pintada en el rostro la demencia de la ira, subió a una de las torres de su maravilloso alcázar. Era una tibia mañana de primavera.

Traduction temporaire :
Le magicien se tut, et un éclat sombre jaillit dans les pupilles du roi. Ce qu'il venait d'entendre fit naître dans son esprit une idée qui, vague au début, se forma et prit corps, comme les boules de neige à la montagne. Avec un geste horrible, il jeta sur ses épaules son manteau pourpre et, une folle colère peinte sur son visage, il monta dans une des tours de son merveilleux alcazar. C'était une tiède journée de printemps.

15 commentaires:

Medea a dit…

Le magicien se tut, et un éclat sombre émana des pupilles du roi. Ce qu'il venait d'entendre fit naître dans son esprit une idée qui, vague au début, commença à se parfaire et à prendre forme comme les boules de neige à la montagne. Avec un geste horrible il mit sur ses épaules son manteau pourpre et lisant [j'ai du mal à traduire "llevando pintada"] sur son visage la démence de la colère, il monta dans une des tours de son merveilleux alcazar. C'était une tiède journée de printemps.

Tradabordo a dit…

Le magicien se tut, et un éclat sombre émana [pas tout à fait] des pupilles du roi. Ce qu'il venait d'entendre fit naître dans son esprit une idée qui, vague au début, commença à se parfaire [pas très naturel + pas certaine que vous ayez besoin de « commença »… surtout que je vois qu'après, vous passez par « prendre forme »] et à prendre forme [pourquoi pas littéral ?] [virgule] comme les boules de neige à la montagne. Avec un geste horrible [virgule puisque vous ne commencez pas par le sujet] il mit [plutôt « jeta »] sur ses épaules son manteau pourpre et lisant [j'ai du mal à traduire "llevando pintada" ; attention, c'est llevar, pas leer] sur son visage la démence de la colère, il monta dans une des tours de son merveilleux alcazar. C'était une tiède journée de printemps.

Medea a dit…

Le magicien se tut, et un éclat sombre jaillit dans les pupilles du roi. Ce qu'il venait d'entendre fit naître dans son esprit une idée qui, vague au début, vint à s'améliorer et à prendre corps, comme les boules de neige à la montagne. Avec un geste horrible, il jeta sur ses épaules son manteau pourpre et étant inscrite sur son visage la démence de la colère, il monta dans une des tours de son merveilleux alcazar. C'était une tiède journée de printemps.

Tradabordo a dit…

Le magicien se tut, et un éclat sombre jaillit dans les pupilles du roi. Ce qu'il venait d'entendre fit naître dans son esprit une idée qui, vague au début, vint à s'améliorer [« former » ici, du coup, non ?N] et à prendre corps, comme les boules de neige à la montagne. Avec un geste horrible, il jeta sur ses épaules son manteau pourpre et étant inscrite sur son visage la démence de la colère [charabia ;-))))))], il monta dans une des tours de son merveilleux alcazar. C'était une tiède journée de printemps.

Medea a dit…

Le magicien se tut, et un éclat sombre jaillit dans les pupilles du roi. Ce qu'il venait d'entendre fit naître dans son esprit une idée qui, vague au début, vint à se former et à prendre corps, comme les boules de neige à la montagne. Avec un geste horrible, il jeta sur ses épaules son manteau pourpre et étant inscrite sur son visage une colère noire, il monta dans une des tours de son merveilleux alcazar. C'était une tiède journée de printemps.

Medea a dit…

Le magicien se tut, et un éclat sombre jaillit dans les pupilles du roi. Ce qu'il venait d'entendre fit naître dans son esprit une idée qui, vague au début, vint à se former et à prendre corps, comme les boules de neige à la montagne. Avec un geste horrible, il jeta sur ses épaules son manteau pourpre et étant inscrite sur son visage une folle colère, il monta dans une des tours de son merveilleux alcazar. C'était une tiède journée de printemps.

Tradabordo a dit…

Le magicien se tut, et un éclat sombre jaillit dans les pupilles du roi. Ce qu'il venait d'entendre fit naître dans son esprit une idée qui, vague au début, vint à [pas besoin] se former et à prendre [du coup, le passé simple] corps, comme les boules de neige à la montagne. Avec un geste horrible, il jeta sur ses épaules son manteau pourpre et étant inscrite sur son visage une folle colère [il faut mettre ça au début], il monta dans une des tours de son merveilleux alcazar. C'était une tiède journée de printemps.

Medea a dit…

Le magicien se tut, et un éclat sombre jaillit dans les pupilles du roi. Ce qu'il venait d'entendre fit naître dans son esprit une idée qui, vague au début, se forma et prit corps, comme les boules de neige à la montagne. Avec un geste horrible, il jeta sur ses épaules son manteau pourpre et avec une folle colère inscrite sur son visage une folle colère, il monta dans une des tours de son merveilleux alcazar. C'était une tiède journée de printemps.

Tradabordo a dit…

Le magicien se tut, et un éclat sombre jaillit dans les pupilles du roi. Ce qu'il venait d'entendre fit naître dans son esprit une idée qui, vague au début, se forma et prit corps, comme les boules de neige à la montagne. Avec un geste horrible, il jeta sur ses épaules son manteau pourpre et avec [supprimez et mettez une virgule à la place] une folle colère inscrite [littéral] sur son visage une folle colère [attention, quand on change quelque chose, il ne faut pas oublier de supprimer la version d'avant :-)], il monta dans une des tours de son merveilleux alcazar. C'était une tiède journée de printemps.

Medea a dit…

Le magicien se tut, et un éclat sombre jaillit dans les pupilles du roi. Ce qu'il venait d'entendre fit naître dans son esprit une idée qui, vague au début, se forma et prit corps, comme les boules de neige à la montagne. Avec un geste horrible, il jeta sur ses épaules son manteau pourpre et, une folle colère peinte sur son visage, il monta dans une des tours de son merveilleux alcazar. C'était une tiède journée de printemps.Répondre

Tradabordo a dit…

Le magicien se tut, et un éclat sombre jaillit dans les pupilles du roi. Ce qu'il venait d'entendre fit naître dans son esprit une idée qui, vague au début, se forma et prit corps, comme les boules de neige à la montagne. Avec un geste horrible, il jeta sur ses épaules son manteau pourpre et, une folle colère peinte sur son visage, il monta dans une des tours de son merveilleux alcazar. C'était une tiède journée de printemps.

OK.

Iris ?

Unknown a dit…

Oui

Unknown a dit…

Oui c'est bien, par contre moi je peux pas me connecter tous les jours et pour moi faire une traduction même si c'est qu'une petite phrase implique beaucoup de temps et j'arrive qu'à valider en faite et c'est pas équitable.

Unknown a dit…

.

Tradabordo a dit…

« pas équitable » ; c'est un bien grand mot, non ? Il s'agit juste d'un problème technique et de timing qui fait que Medea a la possibilité / capacité d'avancer rapidement. Elle, elle n'a pas de raison de se brider. Il n'en reste pas moins que quand vous venez sur Tradabordo et que vous validez, pourquoi ne pas aller à la phrase d'après pour apporter votre pierre à l'édifice en même temps ????? Ça n'est pas parce que Medea a proposé sa traduction que vous êtes exclue de la section, au contraire – ou alors il y a quelque chose qui n'a pas été clair dans mes explications en cours.