lundi 6 octobre 2014

Projet Élodie 9 – phrases 67-71

Raúl sale corriendo y se encierra en su cuarto, prende la televisión y pone fuerte el volumen, como si quisiera aturdirse. En este momento recuerdo lo que dice mi psicóloga, Costanza.
Tenés que tomar conciencia de que sos violenta, de que el abuso que viviste te convirtió en esta persona que sos ahora, pero podés revertirlo. —Se sienta a mi lado en el sillón y me acaricia despacio, me habla un rato largo; quizá tiene razón: me transformé en un monstruo, golpeo a quienes más amo, a mis hijos. ¿Y si eso era lo que le pasaba a papa, será así, que golpeas a las personas más amadas.

Traduction temporaire :
Raúl s'en va en courant et s'enferme dans sa chambre où il allume la télévision et met le son très fort, comme s'il voulait s'étourdir. À ce moment-là, je me rappelle ce que dit Costanza, ma psychologue.
— Tu dois prendre conscience que tu es violente, que les abus que tu as subis t'ont transformée en cette personne que tu es maintenant. Mais tu peux changer.

Elle s'assied à côté de moi sur le fauteuil, me caresse doucement et me parle un long moment. Elle a peut-être raison : je suis devenue un monstre, je frappe ceux que j'aime le plus, mes enfants. Et si c'était ce qu'il se passait pour papa ? Ce sera donc toujours comme ça ? Tu frappes les personnes que tu aimes le plus ?

6 commentaires:

Elodie a dit…

Raúl sort en courant et s'enferme dans sa chambre, il allume la télévision et met le son très fort, comme s'il voulait s'étourdir. À ce moment-là, je me rappelle ce que dit ma psychologue, Costanza.
— Tu dois prendre conscience que tu es violente, que les abus que tu as vécus t'ont transformée en cette personne que tu es maintenant, mais tu peux le changer. — Elle s'assied à côté de moi sur le fauteuil et me caresse doucement, elle me parle un long moment. Elle a peut-être raison : je me suis transformée en monstre, je frappe ceux que j'aime le plus, mes enfants. Et si c'était ce qu'il se passait pour papa, ce serai pareil, tu frappes les personnes que tu aimes le plus ?

Tradabordo a dit…

Raúl sort [ou « s'en va » ? Comme tu veux] en courant et s'enferme dans sa chambre, il allume la télévision et met le son très fort, comme s'il voulait s'étourdir. À ce moment-là, je me rappelle ce que dit ma psychologue, Costanza [ou en inversant ? Essaie et vois ce qui est mieux].
— Tu dois prendre conscience que tu es violente, que les abus que tu as vécus [« subis »] t'ont transformée en cette personne que tu es maintenant, mais tu peux le changer [mal dit]. — Elle s'assied à côté de moi sur le fauteuil et me caresse doucement, elle [nécessaire ?] me parle un long moment. Elle a peut-être raison : je me suis transformée [mal dit ici] en monstre, je frappe ceux que j'aime le plus, mes enfants. Et si c'était ce qu'il se passait pour papa, ce serai pareil, tu frappes les personnes que tu aimes le plus ? [reprends la fin]

Elodie a dit…

Raúl s'en va en courant et s'enferme dans sa chambre, il allume la télévision et met le son très fort, comme s'il voulait s'étourdir. À ce moment-là, je me rappelle ce que dit Costanza ma psychologue.
— Tu dois prendre conscience que tu es violente, que les abus que tu as subis t'ont transformée en cette personne que tu es maintenant, mais tu peux changer. — Elle s'assied à côté de moi sur le fauteuil, me caresse doucement et me parle un long moment. Elle a peut-être raison : je suis devenue un monstre, je frappe ceux que j'aime le plus, mes enfants. Et si c'était ce qu'il se passait pour papa ? Ce sera donc toujours comme ça ? Tu frappes les personnes que tu aimes le plus ?

Tradabordo a dit…

Raúl s'en va en courant et s'enferme dans sa chambre, [« où » ? Comme tu veux…] il allume la télévision et [virgule ?] met le son très fort, comme s'il voulait s'étourdir. À ce moment-là, je me rappelle ce que dit Costanza [virgule] ma psychologue.
— Tu dois prendre conscience que tu es violente, que les abus que tu as subis t'ont transformée en cette personne que tu es maintenant, [point ?] mais tu peux changer. — Elle s'assied à côté de moi sur le fauteuil, me caresse doucement et me parle un long moment. Elle a peut-être raison : je suis devenue un monstre, je frappe ceux que j'aime le plus, mes enfants. Et si c'était ce qu'il se passait pour papa ? Ce sera donc toujours comme ça ? Tu frappes les personnes que tu aimes le plus ?

Elodie a dit…

Raúl s'en va en courant et s'enferme dans sa chambre où il allume la télévision et, met le son très fort, comme s'il voulait s'étourdir. À ce moment-là, je me rappelle ce que dit Costanza, ma psychologue.
— Tu dois prendre conscience que tu es violente, que les abus que tu as subis t'ont transformée en cette personne que tu es maintenant. Mais tu peux changer. — Elle s'assied à côté de moi sur le fauteuil, me caresse doucement et me parle un long moment. Elle a peut-être raison : je suis devenue un monstre, je frappe ceux que j'aime le plus, mes enfants. Et si c'était ce qu'il se passait pour papa ? Ce sera donc toujours comme ça ? Tu frappes les personnes que tu aimes le plus ?

Tradabordo a dit…

Raúl s'en va en courant et s'enferme dans sa chambre où il allume la télévision et met le son très fort, comme s'il voulait s'étourdir. À ce moment-là, je me rappelle ce que dit Costanza, ma psychologue.
— Tu dois prendre conscience que tu es violente, que les abus que tu as subis t'ont transformée en cette personne que tu es maintenant. Mais tu peux changer.
Elle s'assied à côté de moi sur le fauteuil, me caresse doucement et me parle un long moment. Elle a peut-être raison : je suis devenue un monstre, je frappe ceux que j'aime le plus, mes enfants. Et si c'était ce qu'il se passait pour papa ? Ce sera donc toujours comme ça ? Tu frappes les personnes que tu aimes le plus ?

OK