jeudi 9 octobre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 141-152

Llamaron a muchos de los jóvenes a participar de ella, pero él no lo era más. Ahora tenía un hijo y una hija que le habían dado una nieta de grandes ojos. Pero a Varenska le pareció una gran oportunidad trabajar en la nueva planta. Alaiksei presintió que su familia no volvería a ser la misma desde ese momento. Entonces se sabía poco o nada de Hiroshima. Alaiksei recordó a los soldados con máscaras el día de la evacuación. ¿Radiación? ¿Qué era eso? ¿Dónde estaba? Desde que la planta se construyó, la ganadería y la agricultura se incentivaron en la ciudad. Incluso el comercio se estableció con muchas ciudades cercanas, entre ellas Kiev a ciento treinta kilómetros de la ciudad. Anya estaba contenta porque el manzano del jardín había crecido lo suficiente para que pudiera trepar sobre él. ¿Acaso todo eso no llegó con la planta?

Traduction temporaire :
Beaucoup de jeunes gens furent invités à s’y investir. Seulement voilà, lui, il n’en faisait plus partie. Désormais, il était père, d’un fils et d’une fille, qui lui avait elle-même donné une petite-fille avec de grands yeux. Mais pour Varenska, travailler dans la nouvelle centrale semblait une belle opportunité. Aliaksei avait pressenti qu’à partir de ce moment-là, sa famille ne serait plus jamais comme avant. À cette époque, on ne savait pratiquement rien, ou même rien du tout, à propos d'Hiroshima. Aliaksei se souvint des soldats portant des masques le jour de l’évacuation. Radiations ? Qu’est-ce que c’était ? Où étaient-elles ? Depuis la construction de la centrale, l’élevage et l’agriculture s’étaient développés dans le coin. Jusqu'au commerce qui avait prospéré au contact des nombreuses villes environnantes, dont Kiev, à cent trente kilomètres de là. Anya était heureuse de voir que le pommier dans le jardin avait suffisamment poussé pour pouvoir y grimper. Tout cela n’était pas arrivé avec la centrale, peut-être ?

8 commentaires:

Hélène a dit…

Beaucoup de jeunes furent invités à venir s’investir, seulement il n’en faisait plus partie. Désormais, il était père, d’un fils et d’une fille qui lui avaient donné une petite-fille aux grands yeux. Mais pour Varenska, travailler dans la nouvelle centrale apparut comme une grande opportunité. Aliaksei pressentit qu’à partir de ce moment, sa famille ne serait plus jamais comme avant. À cette époque, on ne savait pratiquement rien ou rien sur Hiroshima. Aliaksei se souvint des soldats portant des masques le jour de l’évacuation. Radiations ? Qu’est-ce que c’était ? Où étaient-elles ? Depuis la construction de la centrale, l’élevage et l’agriculture s’étaient développés dans la cité. Même le commerce avait prospéré avec de nombreuses villes environnantes, parmi lesquelles Kiev, à cent trente kilomètres de là. Anya était heureuse car le pommier dans le jardin avait suffisamment poussé pour qu’elle puisse y grimper. Tout cela n’était pas arrivé avec la centrale, peut-être ?

Tradabordo a dit…

Beaucoup de jeunes [« gens » ou quelque chose comme ça ; en tout cas, ne le laisse jamais seul… Ça fait pub pour téléphone portable : « Hé, le jeune, vient chercher bonheur… » ;-)] furent invités à venir [nécessaire ?] s’investir, [point] seulement [cheville : « , lui, »] il n’en faisait plus partie. Désormais, il était père, d’un fils et d’une fille [virgule] qui lui avaient [cheville : « , elle-même, » ? Comme tu veux…] donné une petite-fille aux grands yeux. Mais pour Varenska, travailler dans la nouvelle centrale apparut [mal dit + temps] comme une grande opportunité. Aliaksei pressentit [idem : temps ?] qu’à partir de ce moment [« - là » ?], sa famille ne serait plus jamais comme avant.


À cette époque, on ne savait pratiquement rien ou rien sur Hiroshima. Aliaksei se souvint des soldats portant des masques le jour de l’évacuation. Radiations ? Qu’est-ce que c’était ? Où étaient-elles ? Depuis la construction de la centrale, l’élevage et l’agriculture s’étaient développés dans la cité. Même le commerce avait prospéré avec de nombreuses villes environnantes, parmi lesquelles Kiev, à cent trente kilomètres de là. Anya était heureuse car le pommier dans le jardin avait suffisamment poussé pour qu’elle puisse y grimper. Tout cela n’était pas arrivé avec la centrale, peut-être ?

Hélène a dit…

Beaucoup de jeunes gens furent invités à s’investir. Seulement, lui, il n’en faisait plus partie. Désormais, il était père, d’un fils et d’une fille, qui lui avait, elle-même, donné une petite-fille aux grands yeux. Mais pour Varenska, travailler dans la nouvelle centrale semblait être une grande opportunité. Aliaksei avait pressenti qu’à partir de ce moment-là, sa famille ne serait plus jamais comme avant.


À cette époque, on ne savait pratiquement rien ou rien sur Hiroshima. Aliaksei se souvint des soldats portant des masques le jour de l’évacuation. Radiations ? Qu’est-ce que c’était ? Où étaient-elles ? Depuis la construction de la centrale, l’élevage et l’agriculture s’étaient développés dans la cité. Même le commerce avait prospéré avec de nombreuses villes environnantes, parmi lesquelles Kiev, à cent trente kilomètres de là. Anya était heureuse car le pommier dans le jardin avait suffisamment poussé pour qu’elle puisse y grimper. Tout cela n’était pas arrivé avec la centrale, peut-être ?

Tradabordo a dit…

Beaucoup de jeunes gens furent invités à s’investir. Seulement [cheville : « voilà » ? Comme tu veux…], lui, il n’en faisait plus partie. Désormais, il était père, d’un fils et d’une fille, qui lui avait, elle-même, donné une petite-fille aux [« avec des » ?] grands yeux. Mais pour Varenska, travailler dans la nouvelle centrale semblait être une grande [tu as « grands » yeux juste avant…] opportunité. Aliaksei avait pressenti qu’à partir de ce moment-là, sa famille ne serait plus jamais comme avant. À cette époque, on ne savait pratiquement rien ou [« même »] rien sur [« à propos d' » ?] Hiroshima. Aliaksei se souvint des soldats portant des masques le jour de l’évacuation. Radiations ? Qu’est-ce que c’était ? Où étaient-elles ? Depuis la construction de la centrale, l’élevage et l’agriculture s’étaient développés dans la cité [« dans le coin » ?]. Même le [« Jusqu'au……… qui avait………… » ?] commerce avait prospéré avec [« grâce au » ? Je ne sais pas trop…] de nombreuses villes environnantes, parmi lesquelles [« dont » ?] Kiev, à cent trente kilomètres de là. Anya était heureuse car [ou « devoir que » ?] le pommier dans le jardin avait suffisamment poussé pour qu’elle [« pouvoir » ?] puisse y grimper. Tout cela n’était pas arrivé avec la centrale, peut-être ?

Hélène a dit…

Beaucoup de jeunes gens furent invités à s’investir. Seulement voilà, lui, il n’en faisait plus partie. Désormais, il était père, d’un fils et d’une fille, qui lui avait, elle-même, donné une petite-fille avec de grands yeux. Mais pour Varenska, travailler dans la nouvelle centrale semblait être une belle opportunité. Aliaksei avait pressenti qu’à partir de ce moment-là, sa famille ne serait plus jamais comme avant. À cette époque, on ne savait pratiquement rien, ou même rien du tout, à propos d'Hiroshima. Aliaksei se souvint des soldats portant des masques le jour de l’évacuation. Radiations ? Qu’est-ce que c’était ? Où étaient-elles ? Depuis la construction de la centrale, l’élevage et l’agriculture s’étaient développés dans le coin. Jusqu'au commerce qui avait prospéré au contact des ["grâce aux" donnerait l'impression que Prypiat s'est développé grâce à Kiev, alors que l'élément moteur, c'est la centrale] nombreuses villes environnantes, dont Kiev, à cent trente kilomètres de là. Anya était heureuse de voir que le pommier dans le jardin avait suffisamment poussé pour pouvoir y grimper. Tout cela n’était pas arrivé avec la centrale, peut-être ?

Tradabordo a dit…

Beaucoup de jeunes gens furent invités à s’[« y » ?]investir. Seulement voilà, lui, il n’en faisait plus partie. Désormais, il était père, d’un fils et d’une fille, qui lui avait elle-même donné une petite-fille avec de grands yeux. Mais pour Varenska, travailler dans la nouvelle centrale semblait être [nécessaire ?] une belle opportunité. Aliaksei avait pressenti qu’à partir de ce moment-là, sa famille ne serait plus jamais comme avant. À cette époque, on ne savait pratiquement rien, ou même rien du tout, à propos d'Hiroshima. Aliaksei se souvint des soldats portant des masques le jour de l’évacuation. Radiations ? Qu’est-ce que c’était ? Où étaient-elles ? Depuis la construction de la centrale, l’élevage et l’agriculture s’étaient développés dans le coin. Jusqu'au commerce qui avait prospéré au contact des nombreuses villes environnantes, dont Kiev, à cent trente kilomètres de là. Anya était heureuse de voir que le pommier dans le jardin avait suffisamment poussé pour pouvoir y grimper. Tout cela n’était pas arrivé avec la centrale, peut-être ?

Hélène a dit…

Beaucoup de jeunes gens furent invités à s’y investir. Seulement voilà, lui, il n’en faisait plus partie. Désormais, il était père, d’un fils et d’une fille, qui lui avait elle-même donné une petite-fille avec de grands yeux. Mais pour Varenska, travailler dans la nouvelle centrale semblait une belle opportunité. Aliaksei avait pressenti qu’à partir de ce moment-là, sa famille ne serait plus jamais comme avant. À cette époque, on ne savait pratiquement rien, ou même rien du tout, à propos d'Hiroshima. Aliaksei se souvint des soldats portant des masques le jour de l’évacuation. Radiations ? Qu’est-ce que c’était ? Où étaient-elles ? Depuis la construction de la centrale, l’élevage et l’agriculture s’étaient développés dans le coin. Jusqu'au commerce qui avait prospéré au contact des nombreuses villes environnantes, dont Kiev, à cent trente kilomètres de là. Anya était heureuse de voir que le pommier dans le jardin avait suffisamment poussé pour pouvoir y grimper. Tout cela n’était pas arrivé avec la centrale, peut-être ?

Tradabordo a dit…

Beaucoup de jeunes gens furent invités à s’y investir. Seulement voilà, lui, il n’en faisait plus partie. Désormais, il était père, d’un fils et d’une fille, qui lui avait elle-même donné une petite-fille avec de grands yeux. Mais pour Varenska, travailler dans la nouvelle centrale semblait une belle opportunité. Aliaksei avait pressenti qu’à partir de ce moment-là, sa famille ne serait plus jamais comme avant. À cette époque, on ne savait pratiquement rien, ou même rien du tout, à propos d'Hiroshima. Aliaksei se souvint des soldats portant des masques le jour de l’évacuation. Radiations ? Qu’est-ce que c’était ? Où étaient-elles ? Depuis la construction de la centrale, l’élevage et l’agriculture s’étaient développés dans le coin. Jusqu'au commerce qui avait prospéré au contact des nombreuses villes environnantes, dont Kiev, à cent trente kilomètres de là. Anya était heureuse de voir que le pommier dans le jardin avait suffisamment poussé pour pouvoir y grimper. Tout cela n’était pas arrivé avec la centrale, peut-être ?

OK.