vendredi 3 octobre 2014

Projet Julie – phrases 125-129

Salió al exterior. La noche de luna se derramaba sobre el flanco ladeado de su morada y sobre las lápidas del cementerio. Vio con sorpresa que se acercaban dos siluetas por el camino. Pensó en los aldeanos y su misión de venganza, y se maldijo por su mala suerte: estaba demasiado débil, y no podría defenderse. Pero se dio cuenta de que las dos siluetas no eran de los pobladores, sino de los habitantes redivivos del cementerio: las bocas babeantes y los ojos vidriosos, sumados a los jirones de sus prendas, no dejaban lugar a dudas.

Traduction temporaire :
Il sortit. La nuit de pleine lune se déversait sur le flanc incliné de sa demeure et sur les pierres tombales du cimetière. C'est avec surprise qu'il vit s'approcher deux silhouettes sur le chemin. Il pensa aux villageois et à leur expédition vengeresse, et maudit sa malchance : il était trop faible et ne pourrait pas se défendre. Cependant, il se rendit compte qu'elles n'étaient pas celles des paysans, mais celles des habitants ressuscités du cimetière : leurs bouches maculées de bave et leurs yeux vitreux, ajoutés aux lambeaux de leurs vêtements, ne permettaient pas d'en douter.

6 commentaires:

Julie Sanchez a dit…

Il sortit. La nuit de pleine lune s'étalait sur le flanc incliné de sa demeure et sur les tombes du cimetière. C'est avec surprise qu'il vit s'approcher deux silhouettes sur le chemin. Il pensa aux villageois et à leur mission vengeresse, et se maudit pour sa malchance : il était trop faible et ne pourrait pas se défendre. Cependant, il se rendit compte que les deux silhouettes n'étaient pas celles des paysans mais celle des habitants ressuscités du cimetière : leurs bouches maculées de bave et leurs yeux vitreux, ajoutés aux lambeaux de leurs vêtements, ne laissaient pas place au doute.

Tradabordo a dit…

Il sortit. La nuit de pleine lune s'étalait [« déversait » ? Je te laisse réfléchir…] sur le flanc incliné de sa demeure et sur les tombes [« pierres tombales » ?] du cimetière. C'est avec surprise qu'il vit s'approcher deux silhouettes sur le chemin. Il pensa aux villageois et à leur mission [« expédition » ?] vengeresse, et se maudit pour sa [ou « madit sa… » ?] malchance : il était trop faible et ne pourrait pas se défendre. Cependant, il se rendit compte que les deux silhouettes [nécessaire de répéter] n'étaient pas celles des paysans [virgule] mais celle des habitants ressuscités du cimetière : leurs bouches maculées de bave et leurs yeux vitreux, ajoutés aux lambeaux de leurs vêtements, ne laissaient pas place au doute [la fin n'est pas très naturelle].

Julie Sanchez a dit…

Il sortit. La nuit de pleine lune se déversait sur le flanc incliné de sa demeure et sur les pierres tombales du cimetière. C'est avec surprise qu'il vit s'approcher deux silhouettes sur le chemin. Il pensa aux villageois et à leur expédition vengeresse, et maudit sa malchance : il était trop faible et ne pourrait pas se défendre. Cependant, il se rendit compte que les deux silhouettes n'étaient pas celles des paysans, mais celle des habitants ressuscités du cimetière : leurs bouches maculées de bave et leurs yeux vitreux, ajoutés aux lambeaux de leurs vêtements, ne permettaient pas d'en douter.

Pour la répétition des "deux silhouettes", tu penses qu'il ne faudrait pas répéter ?

Tradabordo a dit…

Je me demandais si c'était nécessaire… Essaie sans et voyons si ça marche.

Julie Sanchez a dit…

Voici la version sans :

Il sortit. La nuit de pleine lune se déversait sur le flanc incliné de sa demeure et sur les pierres tombales du cimetière. C'est avec surprise qu'il vit s'approcher deux silhouettes sur le chemin. Il pensa aux villageois et à leur expédition vengeresse, et maudit sa malchance : il était trop faible et ne pourrait pas se défendre. Cependant, il se rendit compte qu'elles n'étaient pas celles des paysans, mais celles des habitants ressuscités du cimetière : leurs bouches maculées de bave et leurs yeux vitreux, ajoutés aux lambeaux de leurs vêtements, ne permettaient pas d'en douter.

Je trouve que ça manque. Qu'en penses-tu ?

Tradabordo a dit…

Il sortit. La nuit de pleine lune se déversait sur le flanc incliné de sa demeure et sur les pierres tombales du cimetière. C'est avec surprise qu'il vit s'approcher deux silhouettes sur le chemin. Il pensa aux villageois et à leur expédition vengeresse, et maudit sa malchance : il était trop faible et ne pourrait pas se défendre. Cependant, il se rendit compte qu'elles n'étaient pas celles des paysans, mais celles des habitants ressuscités du cimetière : leurs bouches maculées de bave et leurs yeux vitreux, ajoutés aux lambeaux de leurs vêtements, ne permettaient pas d'en douter.

OK.