mercredi 17 février 2016

Projet Bianca – phrases 38-50

Empezó a sonar el teléfono y me levanté para avisarle. “Ya voy, ya voy”. Vino corriendo desde la cocina y me hizo un gesto como para que me quedara callado y me volviera a sentar. “¿Hola?”. Pude ver cómo le cambiaba la cara a medida que alguien del otro lado le contaba algo que no podía ser nada bueno.
Cuando cortó, se quedó un segundo sin moverse, con el ceño fruncido.
“¿Sol? ¿Todo bien?”.
“Era mi abuelo. Mis papás tuvieron un accidente”.
En ese momento no pensé en otra cosa que en mi mala suerte. Ella debe haber confundido mi gesto de resignación con algo más, porque me dijo que no era grave, que estaban los dos fuera de peligro en una clínica en Santa Rosa y que los mantendrían toda la noche en observación. “Y mañana parece que les dan el alta”, agregó.

Traduction temporaire :
Le téléphone se mit à sonner et je me levai pour la prévenir. « J'arrive, j'arrive ». Elle vint de la cuisine en courant et me fit signe de rester silencieux et de retourner m'asseoir. « Allô ? » Je vis son visage changer à mesure que la personne à l'autre bout du fil lui annonçait quelque chose qui ne pouvait rien présager de bon.
Quand elle raccrocha, elle demeura un instant sans bouger, les sourcils froncés.
« Sol ? Tout va bien ? »
« C'était mon grand-père. Mes parents ont eu un accident. »

À ce moment-là, j'étais obnubilé par ma malchance. Elle avait sûrement confondu mon air résigné avec quelque chose d'autre, parce qu'elle m'assura qu'il n'y avait rien de grave, qu'ils étaient tous les deux hors de danger, dans une clinique de Santa Rosa et qu'on les garderait toute la nuit en observation. « Apparemment, on les laisse sortir dès demain », ajouta-t-elle.

6 commentaires:

Bianca a dit…

Le téléphone se mit à sonner et je me levai pour la prévenir. « J'arrive, j'arrive ». Elle vint de la cuisine en courant et me fit signe de rester silencieux et de m'asseoir. « Allô? » Je pus voir comment son visage changeait à mesure que la personne à l'autre bout du fil lui racontait quelque chose qui n'avait rien de bon.
Quand elle raccrocha, elle demeura un instant sans bouger, le sourcil froncé.
« Sol? Tout va bien? »
« C'était mon grand-père. Mes parents ont eu un accident. »
À ce moment-là, je ne pus penser à autre chose qu'à ma malchance. Elle doit avoir confondu mon air résigné avec autre chose, parce qu'elle me dit que ce n'était pas grave, qu'ils étaient tous les deux hors de danger dans une clinique de Santa Rosa et qu'on les garderait en observation toute la nuit. « Et demain, il semble qu'on leur donne l'autorisation de sortie », ajouta-t-elle.

Tradabordo a dit…

Le téléphone se mit à sonner et je me levai pour la prévenir [ou : « Je me levai pour la prévenir que le téléphone sonnait » ? Voyez ce qui est mieux]. « J'arrive, j'arrive ». Elle vint de la cuisine en courant et me fit signe de rester silencieux et de [et le « volviera » ?] m'asseoir. « Allô[espace]? » Je pus voir comment son visage changeait [ça, c'est lourd et peu naturel ; à simplifier d'office] à mesure que la personne à l'autre bout du fil lui racontait [adapté ici ?] quelque chose qui n'avait rien de bon [vous ne rendez pas l'idée qu'il y a dans le « podía » ; attention de ne pas louper des petites nuances ici ou là… Vous aurez des omissions le jour du concours / n'aplatissez pas, ne lissez pas le texte pour ne garder que l'information…].
Quand elle raccrocha, elle demeura un instant sans bouger, le sourcil froncé.
« Sol[espace]? Tout va bien[espace]? »
« C'était mon grand-père. Mes parents ont eu un accident. »
À ce moment-là, je ne pus penser à autre chose qu'à ma malchance [pas très naturel]. Elle doit avoir confondu mon air résigné avec autre chose [idem], parce qu'elle me dit [un verbe plus intéressant / précis ici ?] que ce n'était [vous avez déjà « c'était » juste avant ; évitez le tic / la béquille « c'est » - « c'était »] pas grave, qu'ils étaient tous les deux hors de danger [virgule] dans une clinique de Santa Rosa et qu'on les garderait en observation toute la nuit [ou placé avant ? J'hésite]. « Et demain, il semble qu'on leur donne l'autorisation de sortie [pas naturel ; syntaxe ?] », ajouta-t-elle.

Bianca a dit…

Le téléphone se mit à sonner et je me levai pour la prévenir [je trouve que ça fait assez répétitif si on met "que le téléphone sonnait" vu le début de la phrase]. « J'arrive, j'arrive ». Elle vint de la cuisine en courant et me fit signe de rester silencieux et de retourner m'asseoir. « Allô ? » Je pus voir son visage changer à mesure que la personne à l'autre bout du fil lui annoncer quelque chose qui ne pouvait présager rien de bon.
Quand elle raccrocha, elle demeura un instant sans bouger, le sourcil froncé.
« Sol ? Tout va bien ? »
« C'était mon grand-père. Mes parents ont eu un accident. »
À ce moment-là, je ne pus penser à autre chose qu'à mon malheur [mais peut-être que je m'éloigne? mon infortune?]. Elle doit avoir confondu mon air résigné avec quelque chose d'autre, parce qu'elle m'assura qu'il n'y avait rien de grave, qu'ils étaient tous les deux hors de danger, dans une clinique de Santa Rosa et qu'on les garderait toute la nuit en observation [oui c'est mieux, en effet!]. « Et demain, on dirait qu'ils pourront sortir [trop éloigné ? :s) », ajouta-t-elle.

Tradabordo a dit…

Le téléphone se mit à sonner et je me levai pour la prévenir. « J'arrive, j'arrive ». Elle vint de la cuisine en courant et me fit signe de rester silencieux et de retourner m'asseoir. « Allô ? » Je pus [nécessaire ? + dans l'intervalle, j'ai vu que vous en aviez un à la fin de la phrase] voir son visage changer à mesure que la personne à l'autre bout du fil lui annoncer [grammaire] quelque chose qui ne pouvait présager rien [je le mettrais avant le « présager »] de bon.
Quand elle raccrocha, elle demeura un instant sans bouger, le sourcil froncé [pas au pluriel, en français ?].
« Sol ? Tout va bien ? »
« C'était mon grand-père. Mes parents ont eu un accident. »
À ce moment-là, je ne pus [débrouillez-vous pour faire sans encore « pouvoir »] penser à autre chose qu'à mon malheur [mais peut-être que je m'éloigne? mon infortune? /// « malchance » ?]. Elle doit avoir confondu [temps ?] mon air résigné avec quelque chose d'autre, parce qu'elle m'assura qu'il n'y avait rien de grave, qu'ils étaient tous les deux hors de danger, dans une clinique de Santa Rosa et qu'on les garderait toute la nuit en observation. « Et demain, on dirait qu'ils pourront sortir [trop éloigné ? :s) [« Apparemment, on les laisse sortir dès demain »] », ajouta-t-elle.

Bianca a dit…

Le téléphone se mit à sonner et je me levai pour la prévenir. « J'arrive, j'arrive ». Elle vint de la cuisine en courant et me fit signe de rester silencieux et de retourner m'asseoir. « Allô ? » Je vis son visage changer à mesure que la personne à l'autre bout du fil lui annonçait quelque chose qui ne pouvait rien présager de bon.
Quand elle raccrocha, elle demeura un instant sans bouger, fronçant les sourcils [je me demande si en français l'expression au participe présent ne serait pas plus naturelle ici que "les sourcils froncés", sinon oui c'est vrai, au pluriel!].
« Sol ? Tout va bien ? »
« C'était mon grand-père. Mes parents ont eu un accident. »
À ce moment-là, j'étais obnubilé [c'est trop?] par ma malchance [j'avais mis "malchance" dans ma 1ère version mais ça ne semblait pas naturel]. Elle avait sûrement confondu mon air résigné avec quelque chose d'autre, parce qu'elle m'assura qu'il n'y avait rien de grave, qu'ils étaient tous les deux hors de danger, dans une clinique de Santa Rosa et qu'on les garderait toute la nuit en observation. « Apparemment, on les laisse sortir dès demain », ajouta-t-elle.

Tradabordo a dit…

Le téléphone se mit à sonner et je me levai pour la prévenir. « J'arrive, j'arrive ». Elle vint de la cuisine en courant et me fit signe de rester silencieux et de retourner m'asseoir. « Allô ? » Je vis son visage changer à mesure que la personne à l'autre bout du fil lui annonçait quelque chose qui ne pouvait rien présager de bon.
Quand elle raccrocha, elle demeura un instant sans bouger, les sourcils froncés.
« Sol ? Tout va bien ? »
« C'était mon grand-père. Mes parents ont eu un accident. »
À ce moment-là, j'étais obnubilé par ma malchance. Elle avait sûrement confondu mon air résigné avec quelque chose d'autre, parce qu'elle m'assura qu'il n'y avait rien de grave, qu'ils étaient tous les deux hors de danger, dans une clinique de Santa Rosa et qu'on les garderait toute la nuit en observation. « Apparemment, on les laisse sortir dès demain », ajouta-t-elle.

OK.