mercredi 17 février 2016

Projet Elena 12 – phrases 246-255

La mujer decidió que algo debía hacer que perdurase el encuentro de aquella mañana en Buenos Aires. No por el hombre, si no por ella. Más bien por la mujer que en unos días quedaría atrás, esa que el destino iba a obliterar para siempre. Cuando se acercó a Borges, era evidente que el poeta escandía algún verso que luego las generaciones harían famoso.  Entonces, la mujer vislumbró una venganza. Alguna vez, en su planeta solitario, había estudiado a los antiguos poetas y se creía capacitada para enlazar unas pocas lindezas. Sentada en el banco comenzó a memorizar un poema. Intentó atesorar cada momento vivido. Deseó conservar cada memoria, cada arrepentimiento del que habló Borges. Deseó ser Borges.

Traduction temporaire :
La femme décida qu'elle devait se débrouiller pour faire durer la rencontre de ce matin-là, à Buenos Aires. Non pas pour l'homme, mais pour elle. Ou plutôt pour la femme qui, dans quelques jours, se verrait reléguée, que le destin oblitérerait pour toujours. Lorsqu'elle s'approcha de Borges, il était évident que le poète scandait des vers que des générations à venir rendraient célèbres. Elle, elle, entrevit alors sa vengeance. Sur sa planète solitaire, elle avait jadis étudié les poètes de l'Antiquité et se sentait capable de composer de beaux vers. Assise sur le banc, elle commença à apprendre par cœur l'un des poèmes. Elle essaya de précieusement conserver chaque moment. Elle souhaitait garder chaque souvenir, chaque regret dont parla Borges. Elle voulut être Borges.

8 commentaires:

Elena a dit…

La femme décida qu'elle devait faire en sorte que la rencontre par ce matin à Buenos Aires dure encore. Non pas pour l'homme, mais pour elle. Ou plutôt pour la femme que dans quelques jours serait délaissée, celle que le destin oblitérerait pour toujours. Lorsqu'elle se rapprocha de Borges, il était évident que le poète scandait des vers que des générations à venir rendraient célèbres. Alors, la femme entrevit une vengeance. Jadis, sur sa planète solitaire, elle avait étudié les poètes de l'Antiquité et se sentait en mesure de pouvoir enchaîner quelques beaux vers. Assise sur le banc, elle commença à apprendre par cœur l'un des poèmes. Elle essaya de thésauriser chaque moment vécu. Elle souhaita conserver chaque souvenir, chaque regret dont parla Borges. Elle voulut être Borges.

Tradabordo a dit…

La femme décida qu'elle devait faire en sorte [« se débrouiller pour »] que la rencontre par ce matin [charabia] à Buenos Aires dure encore [redondant]. Non pas pour l'homme, mais pour elle. Ou plutôt pour la femme que [grammaire] [virgule] dans quelques jours [virgule] serait délaissée [sûre ?], celle [nécessaire ?] que le destin oblitérerait pour toujours. Lorsqu'elle se r[nécessaire ?]approcha de Borges, il était évident que le poète scandait [« était en train de » ? Comme tu veux…] des vers que des générations à venir rendraient célèbres. Alors [mets-le après], la femme [« elle »] entrevit une vengeance. Jadis [place-le ailleurs… Attention de ne pas construire toutes tes phrases de la même manière…], sur sa planète solitaire, elle avait étudié les poètes de l'Antiquité et se sentait en mesure de pouvoir enchaîner quelques beaux vers.


Assise sur le banc, elle commença à apprendre par cœur l'un des poèmes. Elle essaya de thésauriser chaque moment vécu. Elle souhaita conserver chaque souvenir, chaque regret dont parla Borges. Elle voulut être Borges.

Elena a dit…

La femme décida qu'elle devait se débrouiller pour que la rencontre de ce matin à Buenos Aires dure. Non pas pour l'homme, mais pour elle. Ou plutôt pour la femme qui, dans quelques jours, resterait en arrière [pas sûre non plus...], que le destin oblitérerait pour toujours. Lorsqu'elle s'approcha de Borges, il était évident que le poète scandait des vers que des générations à venir rendraient célèbres. La femme, elle, entrevit alors une vengeance. Sur sa planète solitaire, elle avait jadis étudié les poètes de l'Antiquité et se sentait en mesure de pouvoir enchaîner quelques beaux vers.


Assise sur le banc, elle commença à apprendre par cœur l'un des poèmes. Elle essaya de thésauriser chaque moment vécu. Elle souhaita conserver chaque souvenir, chaque regret dont parla Borges. Elle voulut être Borges.

Tradabordo a dit…

La femme décida qu'elle devait se débrouiller pour que la rencontre de ce matin à Buenos Aires [il n'existe pas un adjectif, au fait ?] dure [« faire durer » + placé avant… Là, ça arrive vraiment trop tard]. Non pas pour l'homme, mais pour elle. Ou plutôt pour la femme [« elle »] qui, dans quelques jours, resterait en arrière [pas sûre non plus... Dans le sens « reléguer » ?], que le destin oblitérerait pour toujours. Lorsqu'elle s'approcha de Borges, il était évident que le poète scandait des vers que des générations à venir rendraient célèbres. La femme, elle, entrevit alors une vengeance. Sur sa planète solitaire, elle avait jadis étudié les poètes de l'Antiquité et se sentait en mesure de pouvoir [redondant ?] enchaîner quelques beaux vers.


Assise sur le banc, elle commença à apprendre par cœur l'un des poèmes. Elle essaya de thésauriser chaque moment vécu. Elle souhaita conserver chaque souvenir, chaque regret dont parla Borges. Elle voulut être Borges.

Elena a dit…

La femme décida qu'elle devait se débrouiller pour faire durer la rencontre de ce matin à Buenos Aires [il n'existe pas un adjectif, au fait ? // En espagnol, si : "bonaerense"]. Non pas pour l'homme, mais pour elle. Ou plutôt pour la femme qui, dans quelques jours, serait reléguée, que le destin oblitérerait pour toujours. Lorsqu'elle s'approcha de Borges, il était évident que le poète scandait des vers que des générations à venir rendraient célèbres. La femme, elle, entrevit alors une vengeance. Sur sa planète solitaire, elle avait jadis étudié les poètes de l'Antiquité et se sentait en mesure d'enchaîner quelques beaux vers.


Assise sur le banc, elle commença à apprendre par cœur l'un des poèmes. Elle essaya de thésauriser chaque moment vécu. Elle souhaita conserver chaque souvenir, chaque regret dont parla Borges. Elle voulut être Borges.

Tradabordo a dit…

La femme décida qu'elle devait se débrouiller pour faire durer la rencontre de ce matin [« -là» ] [virgule] à Buenos Aires. Non pas pour l'homme, mais pour elle. Ou plutôt pour la femme qui, dans quelques jours, serait [« se verrait »] reléguée, que le destin oblitérerait pour toujours. Lorsqu'elle s'approcha de Borges, il était évident que le poète scandait des vers que des générations à venir rendraient célèbres. La femme [« Elle »], elle, entrevit alors une [« sa »] vengeance. Sur sa planète solitaire, elle avait jadis étudié les poètes de l'Antiquité et se sentait en mesure [« capable »] d'enchaîner [« de composer »] quelques [« de » ?] beaux vers. Assise sur le banc, elle commença à apprendre par cœur l'un des poèmes. Elle essaya de thésauriser [bof] chaque moment vécu [nécessaire ?]. Elle souhaita conserver chaque souvenir, chaque regret dont parla Borges. Elle voulut être Borges.

Elena a dit…

La femme décida qu'elle devait se débrouiller pour faire durer la rencontre de ce matin-là, à Buenos Aires. Non pas pour l'homme, mais pour elle. Ou plutôt pour la femme qui, dans quelques jours, se verrait reléguée, que le destin oblitérerait pour toujours. Lorsqu'elle s'approcha de Borges, il était évident que le poète scandait des vers que des générations à venir rendraient célèbres. Elle, elle, entrevit alors sa vengeance. Sur sa planète solitaire, elle avait jadis étudié les poètes de l'Antiquité et se sentait capable de composer de beaux vers. Assise sur le banc, elle commença à apprendre par cœur l'un des poèmes. Elle essaya de garder précieusement chaque moment. Elle souhaita conserver chaque souvenir, chaque regret dont parla Borges. Elle voulut être Borges.

Tradabordo a dit…

La femme décida qu'elle devait se débrouiller pour faire durer la rencontre de ce matin-là, à Buenos Aires. Non pas pour l'homme, mais pour elle. Ou plutôt pour la femme qui, dans quelques jours, se verrait reléguée, que le destin oblitérerait pour toujours. Lorsqu'elle s'approcha de Borges, il était évident que le poète scandait des vers que des générations à venir rendraient célèbres. Elle, elle, entrevit alors sa vengeance. Sur sa planète solitaire, elle avait jadis étudié les poètes de l'Antiquité et se sentait capable de composer de beaux vers. Assise sur le banc, elle commença à apprendre par cœur l'un des poèmes. Elle essaya de précieusement conserver chaque moment. Elle souhaitait garder chaque souvenir, chaque regret dont parla Borges. Elle voulut être Borges.

J'ai changé un peu la fin… et OK.