vendredi 3 octobre 2014

Projet Émilie 5 – phrases 93-96

El pelaje gris disminuía en la muñeca y la palma abierta era pura piel rosada, con las líneas y los nacimientos de los dedos bien marcados, casi como una palma humana pero diminuta. Tenía las uñas redondas, iguales a las uñas de cualquier hombre aunque de color negro. El papión pedía tutucas. Estaba acostumbrado a que los visitantes se las tiraran, pero la señora Ema no tenía.

Traduction temporaire :
Le pelage gris était clairsemé sur le poignet, et la paume ouverte n’était plus qu'une surface de peau rosée, les lignes parfaitement dessinées et la base des doigts bien marquée, comme une minuscule main humaine. Les ongles étaient arrondis, pareils à ceux de n’importe quel homme, mais noirs. Le babouin réclamait du pop-corn. Il était habitué à ce que les visiteurs lui en jettent, malheureusement, madame Ema n’en avait pas.

8 commentaires:

Emilie a dit…

Le pelage gris se clairsemait sur le poignet et la paume ouverte n’était que peau rosée, les lignes parfaitement dessinées et la base des doigts bien marquée, comme une minuscule paume humaine. Les ongles étaient arrondis, pareils à ceux de n’importe quel homme, mais noirs. Le babouin réclamait du pop-corn. Il était habitué à ce que les visiteurs lui en jettent, mais madame Ema n’en avait pas.

Tradabordo a dit…

Le pelage gris se clairsemait [« était clairsemé »] sur le poignet [virgule ?] et la paume ouverte n’était [cheville : « plus » ?] que [cheville : « qu'une surface de » ?] peau rosée, les lignes parfaitement dessinées et la base des doigts bien marquée, comme une minuscule paume [nécessaire de répéter ? Je ne sais pas…] humaine. Les ongles étaient arrondis, pareils à ceux de n’importe quel homme, mais noirs. Le babouin réclamait du pop-corn. Il était habitué à ce que les visiteurs lui en jettent, mais madame Ema n’en avait pas.

Emilie a dit…

Le pelage gris était clairsemé sur le poignet, et la paume ouverte n’était plus qu'une surface de peau rosée, les lignes parfaitement dessinées et la base des doigts bien marquée, comme une minuscule main humaine. Les ongles étaient arrondis, pareils à ceux de n’importe quel homme, mais noirs. Le babouin réclamait du pop-corn. Il était habitué à ce que les visiteurs lui en jettent, mais madame Ema n’en avait pas.

Tradabordo a dit…

Le pelage gris était clairsemé sur le poignet, et la paume ouverte n’était plus qu'une surface de peau rosée, les lignes parfaitement dessinées et la base des doigts bien marquée, comme une minuscule main humaine. Les ongles étaient arrondis, pareils à ceux de n’importe quel homme, mais noirs. Le babouin réclamait du pop-corn. Il était habitué à ce que les visiteurs lui en jettent, mais madame Ema n’en avait pas.

Trouve une solution pour éviter ces deux « mais ».

Emilie a dit…

Le pelage gris était clairsemé sur le poignet, et la paume ouverte n’était plus qu'une surface de peau rosée, les lignes parfaitement dessinées et la base des doigts bien marquée, comme une minuscule main humaine. Les ongles étaient arrondis, pareils à ceux de n’importe quel homme, mais noirs. Le babouin réclamait du pop-corn. Il était habitué à ce que les visiteurs lui en jettent, or madame Ema n’en avait pas.

Tradabordo a dit…

Le pelage gris était clairsemé sur le poignet, et la paume ouverte n’était plus qu'une surface de peau rosée, les lignes parfaitement dessinées et la base des doigts bien marquée, comme une minuscule main humaine. Les ongles étaient arrondis, pareils à ceux de n’importe quel homme, mais noirs. Le babouin réclamait du pop-corn. Il était habitué à ce que les visiteurs lui en jettent, or [« malheureusement » ?] madame Ema n’en avait pas.

Emilie a dit…

Le pelage gris était clairsemé sur le poignet, et la paume ouverte n’était plus qu'une surface de peau rosée, les lignes parfaitement dessinées et la base des doigts bien marquée, comme une minuscule main humaine. Les ongles étaient arrondis, pareils à ceux de n’importe quel homme, mais noirs. Le babouin réclamait du pop-corn. Il était habitué à ce que les visiteurs lui en jettent, malheureusement, madame Ema n’en avait pas.

Tradabordo a dit…

Le pelage gris était clairsemé sur le poignet, et la paume ouverte n’était plus qu'une surface de peau rosée, les lignes parfaitement dessinées et la base des doigts bien marquée, comme une minuscule main humaine. Les ongles étaient arrondis, pareils à ceux de n’importe quel homme, mais noirs. Le babouin réclamait du pop-corn. Il était habitué à ce que les visiteurs lui en jettent, malheureusement, madame Ema n’en avait pas.

OK.