mercredi 1 octobre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 130-137

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Pripyat no era como otras ciudades cerca de Moscú, mucho menos como Kiev. La vida era menos agitada ahí. Años antes, la ciudad había sido un lugar tranquilo para vivir. El régimen la había modelado con los lemas de la revolución. Todas las casas iban a ser construidas de la misma manera. La misma cantidad de espacio, el mismo número de cuartos, la misma altura. También habría un colegio muy cercano para los niños de los obreros, un centro de comercio equidistante de las casas y de los edificios de departamentos. El campo era parte de la misma ciudad.

Traduction temporaire :

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Pripyat n’était pas comme les autres villes proches de Moscou, encore moins comme Kiev. La vie y était moins tumultueuse. Il y a quelques années, c'était un vrai havre de paix. Le régime l’avait modelée à partir des slogans de la révolution. Toutes les maisons devraient être construites à l'identique : la même superficie, le même nombre de pièces, la même hauteur. Il y aurait aussi un collège à proximité, pour les enfants des ouvriers, un centre commercial équidistant des pavillons et des barres d'immeubles. La campagne faisait partie intégrante de la cité.

6 commentaires:

Hélène a dit…

Pripyat n’était pas comme les autres villes près de Moscou, encore moins comme Kiev. La vie y était moins tumultueuse. Il y a quelques années, la ville avait été un havre de paix. Le régime l’avait modelée selon les slogans de la révolution. Toutes les maisons seraient construites de la même manière. La même superficie, le même nombre de pièces, la même hauteur. Il y aurait même un collège à proximité pour les enfants des ouvriers, un centre commercial équidistant des maisons et des immeubles H. L. M. La campagne faisait partie intégrante de la ville.

Tradabordo a dit…

Le chiffre ? ;-)

Pripyat n’était pas comme les autres villes près [ou « proches » ici ? Je te laisse voir…] de Moscou, encore moins comme Kiev. La vie y était moins tumultueuse. Il y a quelques années, la ville [nécessaire de répéter ?] avait été un havre de paix. Le régime l’avait modelée selon [ou : « à partir » / « sur la base » ? Je te laisse voir ce qui est mieux…] les slogans de la révolution. Toutes les maisons seraient construites de la même manière [« à l'identique » ?]. [deux points ?] La même superficie, le même nombre de pièces, la même hauteur. Il y aurait même [ce serait aussi bien de changer] un collège à proximité pour les enfants des ouvriers, un centre commercial équidistant des maisons et des immeubles H. L. M. [embêtant car très français… contourne] La campagne faisait partie intégrante de la ville.

Hélène a dit…

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Pripyat n’était pas comme les autres villes proches de Moscou, encore moins comme Kiev. La vie y était moins tumultueuse. Il y a quelques années, c'était ["on aurait dit" ? J'hésite] un havre de paix. Le régime l’avait modelée à partir des slogans de la révolution. Toutes les maisons seraient construites à l'identique : la même superficie, le même nombre de pièces, la même hauteur. Il y aurait aussi un collège à proximité pour les enfants des ouvriers, un centre commercial équidistant des maisons et des barres d'immeubles La campagne faisait partie intégrante de la ville.

Tradabordo a dit…

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Pripyat n’était pas comme les autres villes proches de Moscou, encore moins comme Kiev. La vie y était moins tumultueuse. Il y a quelques années, c'était [cheville : « vrai » ou inutile ?] un havre de paix. Le régime l’avait modelée à partir des slogans de la révolution. Toutes les maisons seraient [ou « devraient être » ? Comme tu veux…] construites à l'identique : la même superficie, le même nombre de pièces, la même hauteur. Il y aurait aussi un collège à proximité pour les enfants des ouvriers, un centre commercial équidistant des maisons [change pour ne pas répéter] et des barres d'immeubles [point] La campagne faisait partie intégrante de la ville [« cité »].

Hélène a dit…

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Pripyat n’était pas comme les autres villes proches de Moscou, encore moins comme Kiev. La vie y était moins tumultueuse. Il y a quelques années, c'était un vrai havre de paix. Le régime l’avait modelée à partir des slogans de la révolution. Toutes les maisons devraient être construites à l'identique : la même superficie, le même nombre de pièces, la même hauteur. Il y aurait aussi un collège à proximité pour les enfants des ouvriers, un centre commercial équidistant des pavillons et des barres d'immeubles. La campagne faisait partie intégrante de la cité.

Tradabordo a dit…

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Pripyat n’était pas comme les autres villes proches de Moscou, encore moins comme Kiev. La vie y était moins tumultueuse. Il y a quelques années, c'était un vrai havre de paix. Le régime l’avait modelée à partir des slogans de la révolution. Toutes les maisons devraient être construites à l'identique : la même superficie, le même nombre de pièces, la même hauteur. Il y aurait aussi un collège à proximité, pour les enfants des ouvriers, un centre commercial équidistant des pavillons et des barres d'immeubles. La campagne faisait partie intégrante de la cité.

OK