mercredi 10 février 2016

Projet Alicia – phrases 6-11

Auggie se ajusta su máscara antigás y se pone las alas de ángel y sube la escalerilla de mano que lleva a la claraboya. Las alas de ángel van sujetas a los hombros con unas correas como de mochila y están hechas de plumas que en algún momento fueron blancas pero que ya están apelmazadas y casi negras. El aire de Londres va tan cargado de ceniza que hay mañanas en que cuesta ver el sol.
Auggie baja la escalerilla y va a sentarse con los otros dos, en el otro extremo del sótano, a la luz de la vela. La señorita McKiernan no es lo único que se está acabando. Tampoco quedan muchas velas.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

4 commentaires:

Alicia Esteves a dit…

Auggie s'ajuste son masque anti gaz, se met les ailes d'ange et monte le petit escabeau qui mène à la lucarne. Les ailes d'ange sont fixées aux épaules avec une sangle, semblable à un sac à dos, et sont faites de plumes qui autrefois furent blanches, mais qui désormais sont compactes et presque noires.L'aire de Londres est si chargé de cendres qu'il est difficile de voir le sol certains matins.
Auggie descend du petit escabeau et s'assoit avec les deux autres, à l'autre bout du sous-sol, à la lueur d'une bougie. Mademoiselle McKiernan n'est pas la seule chose qui s'achève. Il ne reste pas non plus beaucoup de bougies.

Tradabordo a dit…

Auggie s'[non]ajuste son masque anti gaz [vous êtes sûre qu'on dit comme ça ? Vérifiez quand même ; je ne trouve pas le mot, là, comme ça, mais je ne crois pas que ce soit bon… Cherchez + le cas échéant : orthographe ? En un seul mot ? En deux mots ? Tiret ?], se met les [pas génial ; je me demande si c'est à cause du verbe…] ailes d'ange et monte le petit [nécessaire ?] escabeau [sûre ? J'hésite] qui mène à la lucarne. Les ailes d'ange sont fixées aux [possessif ?] épaules avec une sangle [texte], semblable à un sac à dos [qu'est-ce qui est semblable ?], et sont faites de plumes qui [supprimez] autrefois furent [supprimez] blanches, mais qui [supprimez tout ça…] désormais sont compactes et presque noires.[espace]L'aire [ortho] de Londres est si chargé de cendres qu'il est difficile de voir le sol certains matins [avancez ça].
Auggie descend du petit escabeau [même questions que précédemment] et s'assoit [préférez : s'assied] avec les deux autres, à l'autre [débrouillez-vous pour ne pas répéter « autre »] bout du sous-sol [inexact ici ?], à la lueur d'une [texte] bougie. Mademoiselle McKiernan n'est pas la seule chose [ajout embêtant, quand même… Pas moyen de faire autrement ?] qui s'achève. Il ne reste pas non plus beaucoup de bougies.

Alicia Esteves a dit…

Auggie ajuste son masque à gaz, revêt les ailes d'ange et monte la petite échelle qui mène à la lucarne. Les ailes d'ange sont fixées à ses épaules avec des lanières semblable à celles d'un sac à dos, et sont faites de plumes, autrefois blanches, mais désormais compactes et presque noires. L'air de Londres est si chargé de cendres qu'il est difficile, certains matins, de voir le sol.
Auggie descend de la petite échelle et s'assied avec les deux autres, du côté opposé [je trouve que la répétition de "autre" reste la meilleure solution, de plus, elle est présente dans le texte de base] de la cave, à la lueur de la bougie. Mademoiselle McKiernan n'est pas la seule à arriver à terme. Il ne reste pas non plus beaucoup de bougies.

Tradabordo a dit…

Auggie ajuste son masque à gaz, revêt [mal dit] les ailes d'ange et monte [« à » ? J'hésite] la petite échelle qui mène à la lucarne. Les ailes d'ange sont fixées à ses épaules avec des lanières semblable [grammaire] à celles d'un sac à dos, [on peut supprimer la virgule] et sont faites de plumes, autrefois blanches, mais [nécessaire ?] désormais compactes et presque noires. L'air de Londres est si chargé de cendres qu'il est difficile, certains matins [mal placé dans la phrase], de voir le sol.
Auggie descend de la petite échelle et s'assied avec les deux autres, du côté opposé de la cave, à la lueur de la bougie. Mademoiselle McKiernan n'est pas la seule à arriver à terme. Il ne reste pas non plus beaucoup de bougies.