mercredi 10 février 2016

Projet Hadjer / Cécilia – phrases 3-7

Salimos menos y a menos lugares, solo porque nos encontramos hambrientas y no nos queda más remedio que ponerle solución. Antes nos colábamos en casi cualquier casa, en los pasillos de las comunidades de vecinos, en los sótanos donde los niños se escondían en juegos de sábado por la tarde. Hubo una temporada, cuando éramos niñas, en la que cada tarde y cada noche nos aparecíamos a alguna familia desgraciada. Resultaba sencillo elegirlas: todas las familias son, antes o después, desgraciadas. De eso nos alimentamos, del dolor.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

8 commentaires:

Unknown a dit…

Nous sortons moins et dans moins d'endroits, seulement parce que nous nous retrouvons affamées et nous n'avons pas d'autre choix que de trouver une solution. Avant nous nous faufilions dans presque n'importe quelle maison, dans les couloirs de copropriétés, dans les sous-sols où les enfants jouaient à cache-cache le samedi après-midi. Il fut un certain temps, lorsque nous étions enfants où chaque après-midi et chaque nuit nous apparaissions à une famille malheureuse. Il était facile de les choisir : toutes les familles sont, tôt ou tard, malheureuses. C'est de ça que nous nous nourrissons, de la douleur.

Cécilia Solvez a dit…

Nous sortons moins et dans moins de lieux, seulement parce que nous nous trouvons affamées et nous n'avons pas d'autres remède que de chercher une solution. Avant, nous nous faufilions dans casiment n'importe quelle maison, dans les couloirs des communautés des voisins, dans les caves où les enfants se cachaient pour jouer le samedi après-midi. Il y eut une période, quand nous étions petite, où chaque après-midi et chaque nuit, nous apparitions à une famille malheureuse. Il résultait simple de les choisir: toutes les familles sont, avant ou après, malheureuse. De cela, nous nous nourrissons de leur douleur.

Tradabordo a dit…

Je prends la première traduction publiée – donc, n'en déduisez rien sur la qualité de l'une ou l'autre… C'est juste plus pratique pour moi.

Nous sortons moins et dans moins d'endroits, seulement parce que nous nous retrouvons [naturel comme verbe ?] affamées et nous n'avons pas d'autre choix que de [un moyen de simplifier un peu ? C'est pas faux, mais louuuuurdddd ;-)] trouver une solution. Avant [virgule ! Vous ne commencez pas par le sujet] nous nous faufilions dans presque n'importe quelle maison, dans les couloirs de copropriétés, dans les sous-sols où les enfants jouaient à cache-cache le samedi après-midi. Il fut un certain temps [très mal dit], lorsque nous étions enfants [« petites » pour qu'on ait le genre ? Je vous laisse voir…] où [virgule] chaque après-midi [« soir » ici ?] et chaque nuit [virgule] nous apparaissions à une famille malheureuse. Il était facile de les choisir : toutes les familles sont, tôt ou tard, malheureuses. C'est de ça que nous nous nourrissons, de la douleur.

Des choses à reprendre, mais c'est pas mal.

Cécilia Solvez a dit…

Nous sortons moins et dans moins d'endroits, seulement parce que nous nous trouvons
affamées et nous devons cherché une solution à cela. Avant, nous nous faufilions dans presque n'importe quelle maison, dans les couloirs de copropriétés, dans les sous-sols où les enfants jouaient à cache-cache le samedi après-midi. Il fut un temps, lorsque nous étions petites où, chaque soir et chaque nuit, nous apparaissions à une famille malheureuse. Il était facile de les choisir : toutes les familles sont, tôt ou tard, malheureuses. C'est de ça que nous nous nourrissons, de la douleur.

Unknown a dit…

Nous sortons moins et dans moins d'endroits, seulement parce que nous finissons par être affamées et nous devions trouver une solution. [j'ai peur que ce soit trop léger mais j'ai du mal à évaluer la meilleure tournure] Avant, nous nous faufilions dans presque n'importe quelle maison, dans les couloirs de copropriétés, dans les sous-sols où les enfants jouaient à cache-cache le samedi après-midi. Il fut un temps, lorsque nous étions petites où, chaque soir et chaque nuit, nous apparaissions à une famille malheureuse. Il était facile de les choisir : toutes les familles sont, tôt ou tard, malheureuses. C'est de ça que nous nous nourrissons, de la douleur.

Tradabordo a dit…

Pour le coup, je prends la solution d'Hadjer, qui est plus aboutie.

Nous sortons moins et dans moins d'endroits, seulement parce que nous finissons par être affamées et nous devions [temps] trouver une solution. Avant, nous nous faufilions dans presque n'importe quelle maison, dans les couloirs de copropriétés, dans les sous-sols où les enfants jouaient à cache-cache le samedi après-midi. Il [nécessaire ?] fut un temps, lorsque nous étions petites [virgule] où, chaque soir et chaque nuit, nous apparaissions à une famille malheureuse. Il était facile de les choisir : toutes les familles sont, tôt ou tard, malheureuses. C'est de ça que nous nous nourrissons, de la douleur.

Unknown a dit…


Nous sortons moins et dans moins d'endroits, seulement parce que nous finissons par être affamées et nous devons trouver une solution. Avant, nous nous faufilions dans presque n'importe quelle maison, dans les couloirs de copropriétés, dans les sous-sols où les enfants jouaient à cache-cache le samedi après-midi. Fut un temps, lorsque nous étions petites, où, chaque soir et chaque nuit, nous apparaissions à une famille malheureuse. Il était facile de les choisir : toutes les familles sont, tôt ou tard, malheureuses. C'est de ça que nous nous nourrissons, de la douleur.

Tradabordo a dit…

Nous sortons moins et dans moins d'endroits, seulement parce que nous finissons par être affamées et nous devons trouver une solution. Avant, nous nous faufilions dans presque n'importe quelle maison, dans les couloirs de copropriétés, dans les sous-sols où les enfants jouaient à cache-cache le samedi après-midi. Fut un temps, lorsque nous étions petites, où, chaque soir et chaque nuit, nous apparaissions à une famille malheureuse. Il était facile de les choisir : toutes les familles sont, tôt ou tard, malheureuses. C'est de ça que nous nous nourrissons, de la douleur.

OK. C'est bien.

Cécilia ?