samedi 20 février 2016

Projet Elena 12 – phrases 256-262

Una hora después lo había terminado. Lo recitó en voz alta y quedó satisfecha. Debemos ser piadosos con el agregado emético de ripio, lugares comunes, resentimiento y existencialismo de fonda: al fin y al cabo, la autora lo escribió en una lengua ―en una cultura― que no era la suya. Manipuló algo en el morralito que fue soltando una hoja ya impresa. La plegó y la abandonó sobre el banco. Ese era el banco de Borges. Todos lo sabían. 

Traduction temporaire :
Une heure après, elle l'avait terminé. Elle le récita à haute voix, satisfaite. Nous devons être bienveillants concernant les ajouts émétiques de chevilles, de topiques, de ressentiments et d'existentialisme de bas étage : après tout, l'auteure l'écrivit dans une langue – dans une culture – qui n'était pas la sienne. Elle actionna quelque chose dans sa sacoche, d'où sortit une feuille imprimée qu'elle plia et abandonna sur le banc. C'était le banc de Borges. Tout le monde le savait.

10 commentaires:

Elena a dit…

Une heure après, elle l'avait fini. Elle le récità à haute voix et en fut satisfaite. Il faut être bienveillants concernant les ajouts émétiques de chevilles, de topiques, de ressentiments et d'existentialisme de bas étage : tout compte fait, l'auteure l'écrivit dans une langue – dans une culture – qui n'était pas la sienne. Elle actionna quelque chose dans sa sacoche d'où sortit une feuille imprimée qu'elle plia et abandonna sur le banc. C'était le banc de Borges. Tout le monde le savait.

Tradabordo a dit…

Une heure après, elle l'avait fini [littéral ; le verbe est légèrement mieux]. Elle le récità [?] à haute voix et en fut [vire tout ça + virgule] satisfaite. Il faut [littéral] être bienveillants concernant les ajouts émétiques de chevilles, de topiques, de ressentiments et d'existentialisme de bas étage : tout compte fait, l'auteure l'écrivit dans une langue – dans une culture – qui n'était pas la sienne. Elle actionna quelque chose dans sa sacoche d'où sortit une feuille imprimée qu'elle plia et abandonna sur le banc. C'était le banc de Borges. Tout le monde le savait.

Elena a dit…

Une heure après, elle l'avait terminé. Elle le récita à haute voix, satisfaite. Nous devons être bienveillants concernant les ajouts émétiques de chevilles, de topiques, de ressentiments et d'existentialisme de bas étage : tout compte fait, l'auteure l'écrivit dans une langue – dans une culture – qui n'était pas la sienne. Elle actionna quelque chose dans sa sacoche d'où sortit une feuille imprimée qu'elle plia et abandonna sur le banc. C'était le banc de Borges. Tout le monde le savait.

Elena a dit…

Une heure après, elle l'avait terminé. Elle le récita à haute voix, satisfaite. Nous devons être bienveillants concernant les ajouts émétiques de chevilles, de topiques, de ressentiments et d'existentialisme de bas étage : tout compte fait, l'auteure l'écrivit dans une langue – dans une culture – qui n'était pas la sienne. Elle actionna quelque chose dans sa sacoche d'où sortit une feuille imprimée qu'elle plia et abandonna sur le banc. C'était le banc de Borges. Tout le monde le savait.

Tradabordo a dit…

Une heure après, elle l'avait terminé. Elle le récita à haute voix, satisfaite. Nous devons être bienveillants concernant les ajouts émétiques de chevilles, de topiques, de ressentiments et d'existentialisme de bas étage : tout compte fait [« après tout »], l'auteure l'écrivit dans une langue – dans une culture – qui n'était pas la sienne. Elle actionna quelque chose dans sa sacoche [virgule] d'où sortit une feuille imprimée qu'elle plia et abandonna sur le banc. C'était le banc de Borges. Tout le monde le savait.

Elena a dit…

Une heure après, elle l'avait terminé. Elle le récita à haute voix, satisfaite. Nous devons être bienveillants concernant les ajouts émétiques de chevilles, de topiques, de ressentiments et d'existentialisme de bas étage : après tout, l'auteure l'écrivit dans une langue – dans une culture – qui n'était pas la sienne. Elle actionna quelque chose dans sa sacoche, d'où sortit une feuille imprimée qu'elle plia et abandonna sur le banc. C'était le banc de Borges. Tout le monde le savait.

Tradabordo a dit…

Une heure après, elle l'avait terminé. Elle le récita à haute voix, satisfaite. Nous devons être bienveillants concernant les ajouts émétiques de chevilles, de topiques, de ressentiments et d'existentialisme de bas étage : après tout, l'auteure l'écrivit dans une langue – dans une culture – qui n'était pas la sienne. Elle actionna quelque chose dans sa sacoche, d'où sortit une feuille imprimée qu'elle plia et abandonna sur le banc. C'était le banc de Borges. Tout le monde le savait.

OK.

Elena a dit…

Ici, il manque encore une partie du fragment celle qui est juste avant "Une heure après..."

Tradabordo a dit…

Mets-moi tout ça ici… Avec tous ces textes en même temps, je ne suis plus… Ou alors est-ce que ça figure dans la version définitive que tu m'as envoyée ?

Elena a dit…

Je l'ai marqué dans la version définitive. Je ne peux pas poster le fragment qui manque parce que je n’ai pas la V.O.