lundi 29 février 2016

Projet Justine / Déborah / Julie – phrases 302-314

Llegamos a casa, prendimos el computador para ver como los noticiarios habían cubierto la revuelta. Pero de inmediato nos fue anunciada la presencia de un email importante. Maldijimos a la pequeña IA de nuestro portátil que creía saber mejor que nosotros lo que era importante.
El mensaje se desplegó de inmediato, sin esperar nuestra autorización.
Mi bien amado Luis:
Te suplico me perdones, pero necesito saber de ti. Estoy tan preocupada por los atentados, porque algo malo te hubiese podido pasar. Dime que no. Dime que estás bien. Por favor.
Por siempre tuya, Estela.
Apagamos el computador sin querer saber más. Sacamos el número de Norman Tennyson y lo llamamos esa misma noche.

Traduction temporaire :

Une fois chez nous, nous allumâmes notre ordinateur pour voir comment les médias avaient couvert la révolte. Mais nous fûmes immédiatement prévenus de la présence d'un mail important. Nous maudîmes la petite IA de notre portable qui s'imaginait savoir mieux que nous ce qui était important. Le message s'ouvrit sur-le-champ, sans attendre notre autorisation :
Mon Luis bien-aimé,
Je t'en supplie, pardonne-moi, mais j'ai besoin d'avoir de tes nouvelles. Je suis tellement inquiète à cause des attentats, il aurait pu t'arriver quelque chose de grave. Rassure-moi. Dis-moi que tu vas bien. S'il te plaît.
Ton Estela, pour toujours.
Nous éteignîmes notre ordinateur sans vouloir en savoir plus. Nous sortîmes le numéro de Norman Tennyson et l'appelâmes le soir même.

4 commentaires:

Justine a dit…

Une fois chez nous, nous allumâmes l'ordinateur pour voir comment les médias avaient couvert la révolte. Mais nous fûmes immédiatement prévenus de la présence d'un mail important. Nous maudîmes la petite IA de notre portable qui croyait savoir mieux que nous ce qui était important. Le message s'ouvrit sur-le-champ, sans attendre notre autorisation :
Mon Luis bien-aimé,
Je t'en supplie, pardonne-moi, mais j'ai besoin d'avoir de tes nouvelles. Je suis tellement inquiète à cause des attentats, il aurait pu t'arriver quelque chose de grave. Rassure-moi. Dis-moi que tu vas bien. S'il te plaît.
Ton Estela, pour toujours.
Nous éteignîmes l'ordinateur sans vouloir en savoir plus. Nous sortîmes le numéro de Norman Tennyson et l'appelâmes le soir même.

Tradabordo a dit…

Une fois chez nous, nous allumâmes l'[possessif ?]ordinateur pour voir comment les médias avaient couvert la révolte. Mais nous fûmes immédiatement prévenus de la présence d'un mail important. Nous maudîmes la petite IA de notre portable qui croyait [« s'imaginait » ? Comme tu veux…] savoir mieux que nous ce qui était important. Le message s'ouvrit sur-le-champ, sans attendre notre autorisation :
Mon Luis bien-aimé,
Je t'en supplie, pardonne-moi, mais j'ai besoin d'avoir de tes nouvelles. Je suis tellement inquiète à cause des attentats, il aurait pu t'arriver quelque chose de grave. Rassure-moi. Dis-moi que tu vas bien. S'il te plaît.
Ton Estela, pour toujours.
Nous éteignîmes l'ordinateur sans vouloir en savoir plus. Nous sortîmes le numéro de Norman Tennyson et l'appelâmes le soir même.

Justine a dit…

Une fois chez nous, nous allumâmes notre ordinateur pour voir comment les médias avaient couvert la révolte. Mais nous fûmes immédiatement prévenus de la présence d'un mail important. Nous maudîmes la petite IA de notre portable qui s'imaginait savoir mieux que nous ce qui était important. Le message s'ouvrit sur-le-champ, sans attendre notre autorisation :
Mon Luis bien-aimé,
Je t'en supplie, pardonne-moi, mais j'ai besoin d'avoir de tes nouvelles. Je suis tellement inquiète à cause des attentats, il aurait pu t'arriver quelque chose de grave. Rassure-moi. Dis-moi que tu vas bien. S'il te plaît.
Ton Estela, pour toujours.
Nous éteignîmes notre ordinateur sans vouloir en savoir plus. Nous sortîmes le numéro de Norman Tennyson et l'appelâmes le soir même.

Tradabordo a dit…

Une fois chez nous, nous allumâmes notre ordinateur pour voir comment les médias avaient couvert la révolte. Mais nous fûmes immédiatement prévenus de la présence d'un mail important. Nous maudîmes la petite IA de notre portable qui s'imaginait savoir mieux que nous ce qui était important. Le message s'ouvrit sur-le-champ, sans attendre notre autorisation :
Mon Luis bien-aimé,
Je t'en supplie, pardonne-moi, mais j'ai besoin d'avoir de tes nouvelles. Je suis tellement inquiète à cause des attentats, il aurait pu t'arriver quelque chose de grave. Rassure-moi. Dis-moi que tu vas bien. S'il te plaît.
Ton Estela, pour toujours.
Nous éteignîmes notre ordinateur sans vouloir en savoir plus. Nous sortîmes le numéro de Norman Tennyson et l'appelâmes le soir même.

OK.