lundi 8 février 2016

Projet Camille / Angélique – phrases 54-62

Esa noche veló al lado de su cadáver, junto a su mujer. Se acercó también a sus amigos y oyó sus conversaciones. Lo vio todo. Hasta el último instante, cuando los terrones del camposanto sonaron lúgubres sobre el cajón y lo cubrieron. Él había sido toda su vida un hombre doméstico. De su oficina a su casa, de casa a su oficina. Y nada, fuera de su mujer y sus hijas. No tuvo, pues, tentaciones de viajar al estómago de la ballena o de recorrer el gran hormiguero. Prefirió hacer como que se sentaba en el viejo sillón y gozar de la paz de los suyos.

Traduction temporaire :
Cette nuit-là, il veilla à côté de son cadavre, près de sa femme. Il s'approcha aussi de ses amis et écouta leurs conversations. Il vit tout. Jusqu'au dernier instant, quand les mottes de terre du cimetière résonnèrent, lugubres, sur la caisse, et le recouvrirent. Sa vie durant, il avait été un homme discipliné. De son bureau à sa maison, de sa maison à son bureau. Rien, en dehors de sa femme et de ses filles. Il ne fut donc tenté de voyager dans le ventre d'une baleine ou de parcourir la grande fourmilière. Il préféra faire comme s'il s'asseyait dans son vieux fauteuil et jouir de la paix des siens.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Cette nuit, il veilla à côté de son cadavre, près de sa femme. Il se rapprocha aussi de ces amis et il écouta leurs conversations. Il vit tout. Jusqu'au dernier instant, quand les parcelles du cimetière sonnèrent lugubres sur la caisse, et le couvrirent.
Il avait été toute sa vie durant un homme discipliné. De son bureau à sa maison, de sa maison à son bureau. Et rien, en dehors de sa femme et de ses filles. Il n'eut donc pas de tentations de voyager dans le ventre d'une baleine ou de fouiller dans le grand tamanoir. Il préféra faire comme s'il s'asseyait dans le vieux fauteuil et jouir de la paix des siens.

Tradabordo a dit…

Cette nuit[manque quelque chose / esa], il veilla à côté de son cadavre, près de sa femme. Il se r[pas nécessaire… pas exactement le sens, en plus]approcha aussi de ces amis et il [nécessaire ?] écouta leurs conversations. Il vit tout. Jusqu'au dernier instant, quand les parcelles [FS] du cimetière sonnèrent lugubres [sans une virgule avant = incorrect ou alors mettez un adverbe] sur la caisse, et le [« re » ?]couvrirent.
Il avait été toute sa vie [mettez ça au début + vous avez déjà « tout » dans la section d'avant] durant un homme discipliné. De son bureau à sa maison, de sa maison à son bureau. Et [nécessaire ?] rien, en dehors de sa femme et de ses filles. Il n'eut donc pas de tentations de [pas très bien construit… Le cas échéant, passez par le verbe] voyager dans le ventre d'une baleine ou de fouiller dans le grand tamanoir [???????]. Il préféra faire comme s'il s'asseyait dans le [possessif ?] vieux fauteuil et jouir de la paix des siens.

Unknown a dit…

Cette nuit là, il veilla à côté de son cadavre, près de sa femme. Il s'approcha aussi de ces amis et écouta leurs conversations. Il vit tout. Jusqu'au dernier instant, quand les masses du cimetière sonnèrent, lugubres, sur la caisse, et le recouvrirent.
Sa vie durant, il avait été un homme discipliné. De son bureau à sa maison, de sa maison à son bureau. Rien, en dehors de sa femme et de ses filles. Il n'eut donc pas été tenté de voyager dans le ventre d'une baleine ou de parcourir la grande fourmilière. Il préféra faire comme s'il s'asseyait dans son vieux fauteuil et jouir de la paix des siens.

Tradabordo a dit…

Cette nuit là [tiret], il veilla à côté de son cadavre, près de sa femme. Il s'approcha aussi de ces [ortho / grammaire] amis et écouta leurs conversations. Il vit tout. Jusqu'au dernier instant, quand les masses [mottes de terre] du cimetière sonnèrent [il y a mieux dans ce contexte], lugubres, sur la caisse, et le recouvrirent.
Sa vie durant, il avait été un homme discipliné. De son bureau à sa maison, de sa maison à son bureau. Rien, en dehors de sa femme et de ses filles. Il n'eut [« ne fut » ?] donc pas été tenté de voyager dans le ventre d'une baleine ou de parcourir la grande fourmilière. Il préféra faire comme s'il s'asseyait dans son vieux fauteuil et jouir de la paix des siens.

Unknown a dit…

Cette nuit-là, il veilla à côté de son cadavre, près de sa femme. Il s'approcha aussi de ses amis et écouta leurs conversations. Il vit tout. Jusqu'au dernier instant, quand les mottes de terre du cimetière retentirent, lugubres, sur la caisse, et le recouvrirent.
Sa vie durant, il avait été un homme discipliné. De son bureau à sa maison, de sa maison à son bureau. Rien, en dehors de sa femme et de ses filles. Il ne fut donc tenté de voyager dans le ventre d'une baleine ou de parcourir la grande fourmilière. Il préféra faire comme s'il s'asseyait dans son vieux fauteuil et jouir de la paix des siens.

Tradabordo a dit…

Cette nuit-là, il veilla à côté de son cadavre, près de sa femme. Il s'approcha aussi de ses amis et écouta leurs conversations. Il vit tout. Jusqu'au dernier instant, quand les mottes de terre du cimetière retentirent [ou avec « résonner »… je me demande si retentir, c'est pas plutôt pour le métal, les sonnettes, etc. ; mais bon, vous pouvez vérifier], lugubres, sur la caisse, et le recouvrirent.
Sa vie durant, il avait été un homme discipliné. De son bureau à sa maison, de sa maison à son bureau. Rien, en dehors de sa femme et de ses filles. Il ne fut donc tenté de voyager dans le ventre d'une baleine ou de parcourir la grande fourmilière. Il préféra faire comme s'il s'asseyait dans son vieux fauteuil et jouir de la paix des siens.

Unknown a dit…

Cette nuit-là, il veilla à côté de son cadavre, près de sa femme. Il s'approcha aussi de ses amis et écouta leurs conversations. Il vit tout. Jusqu'au dernier instant, quand les mottes de terre du cimetière résonnèrent [ça fonctionne mieux pour les mottes], lugubres, sur la caisse, et le recouvrirent.
Sa vie durant, il avait été un homme discipliné. De son bureau à sa maison, de sa maison à son bureau. Rien, en dehors de sa femme et de ses filles. Il ne fut donc tenté de voyager dans le ventre d'une baleine ou de parcourir la grande fourmilière. Il préféra faire comme s'il s'asseyait dans son vieux fauteuil et jouir de la paix des siens.

Tradabordo a dit…

Cette nuit-là, il veilla à côté de son cadavre, près de sa femme. Il s'approcha aussi de ses amis et écouta leurs conversations. Il vit tout. Jusqu'au dernier instant, quand les mottes de terre du cimetière résonnèrent, lugubres, sur la caisse, et le recouvrirent.
Sa vie durant, il avait été un homme discipliné. De son bureau à sa maison, de sa maison à son bureau. Rien, en dehors de sa femme et de ses filles. Il ne fut donc tenté de voyager dans le ventre d'une baleine ou de parcourir la grande fourmilière. Il préféra faire comme s'il s'asseyait dans son vieux fauteuil et jouir de la paix des siens.

OK.