mercredi 17 février 2016

Projet Danny – phrases 35-36

Es como si me estuviera viendo, haciendo la cola con Claudita, Maya y Micaela, angustiada por mi mamá que no iba a poder comprar el lunes las papas, el arroz, la leche que se necesitaban en mi casa del barrio de Maranga, en el distrito de San Miguel. Es como si me estuviera viendo, haciéndome la que mi mamá no tiene que comprar nada, y la que me alcanza encima para la hamburguesa y la papa frita obligatoria, me estoy viendo, sonriendo y hablando en “spanglish”, único dialecto que se conocía entre las chicas del San Silvestre.

Traduction temporaire :
 C’est comme si je me voyais en train de faire la queue avec Claudita, Maya et Micaela, angoissée à cause de maman qui, lundi, n’allait pas pouvoir acheter les patates, le riz et le lait dont on avait besoin, chez moi, dans le quartier de Maranga, du district de San Miguel. C’est comme si je me voyais, faisant semblant que ma maman ne doit rien acheter et que j'ai même assez pour acheter l’hamburger frites obligatoire. Je me vois en train de sourire et parlant en « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

14 commentaires:

Unknown a dit…

C’est comme si je m’imaginais, en train de faire la queue avec ma petite Claudia, Maya et Micaela, angoissée à cause de ma maman qui n’allait pas pouvoir acheter pour lundi les patates, le riz et le lait qu’on a besoin chez moi, dans le quartier de Maranga, au district de San Miguel. C’est comme si je m’imaginais, m’accoutumant à ce que ma maman ne doit pas du tout acheter et à ce qui me suffit par dessus tout avec l’hamburger frite compris dans le menu, je m’imagine, souriante et parlant le « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

Tradabordo a dit…

C’est comme si je m’imaginais [pourquoi vous changez ?], [j'hésite sur la nécessité de la virgule] en train de faire la queue avec ma petite Claudia [non, laissez le diminutif dans le prénom ; ça suffira], Maya et Micaela, angoissée à cause de ma [nécessaire ?] maman qui n’allait pas pouvoir acheter pour [pas ce que dit la V.O.] lundi les patates, le riz et le lait qu’[grammaire]on a [temps] besoin chez moi, dans le quartier de Maranga, au [?] district de San Miguel. C’est comme si je m’imaginais [idem], m’accoutumant à [CS ?] ce que ma maman ne doit pas du tout [pas ce que dit la V.O.]

acheter et à ce qui me suffit par dessus tout avec l’hamburger frite compris dans le menu, je m’imagine, souriante et parlant le « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

Danny, pour le CAPES, je vous l'ai dit : il faut vraiment rester plus près de la V.O.… sinon, vous aurez de réels problèmes au moment de l'évaluation.

Unknown a dit…

C’est comme si je me voyais en train de faire la queue avec ma petite Claudita, Maya et Micaela, angoissée à cause de maman qui n’allait pas pouvoir acheter lundi les patates, le riz et le lait que l’on avait besoin chez moi, dans le quartier de Maranga, dans le district de San Miguel. C’est comme si je me voyais, faisant comme si ma maman ne m’achetait rien et comme si j’avais assez pour acheter l’hamburger frite compris dans le menu. Je me vois en train de sourire et parlant en « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

Tradabordo a dit…

C’est comme si je me voyais en train de faire la queue avec ma petite [supprimez] Claudita, Maya et Micaela, angoissée à cause de maman qui n’allait pas pouvoir acheter lundi [mal placé] les patates, le riz et le lait que [non] l’on avait besoin chez moi, dans le [« du » ; pour éviter les deux « dans »] quartier de Maranga, dans le district de San Miguel. C’est comme si je me voyais, faisant comme si ma maman ne m’achetait rien [CS] et comme si j’avais assez [texte] pour acheter l’hamburger frite compris dans le menu. Je me vois en train de sourire et parlant en « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

Unknown a dit…

C’est comme si je me voyais en train de faire la queue avec ma Claudita, Maya et Micaela, angoissée à cause de maman qui n’allait pas pouvoir acheter les patates, le riz et le lait dont on avait besoin lundi, chez moi, du quartier de Maranga, dans le district de San Miguel. C’est comme si je me voyais, faisant comme si ma maman ne devait rien m’acheter et en plus c’était suffisant pour acheter l’hamburger frite compris dans le menu. Je me vois en train de sourire et parlant en « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

Tradabordo a dit…

C’est comme si je me voyais en train de faire la queue avec ma Claudita, Maya et Micaela, angoissée à cause de maman qui n’allait pas pouvoir acheter les patates, le riz et le lait dont on avait besoin lundi [pas dit ici], chez moi, du [non, mettez le « du » à l'autre… Ce sera mieux] quartier de Maranga, dans le district de San Miguel. C’est comme si je me voyais, faisant comme si ma maman ne devait [c'est du présent ; pas anodin] rien m’acheter et en plus c’était suffisant [V.O.] pour acheter l’hamburger frite compris dans le menu. Je me vois en train de sourire et parlant en « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

Unknown a dit…

C’est comme si je me voyais en train de faire la queue avec ma Claudita, Maya et Micaela, angoissée à cause de maman qui n’allait pas, lundi, pouvoir acheter les patates, le riz et le lait dont on avait besoin, chez moi, dans le quartier de Maranga, du district de San Miguel. C’est comme si je me voyais, faisant semblant que ma maman ne doive rien m’acheter et en plus ça me suffit pour acheter l’hamburger frite compris dans le menu. Je me vois en train de sourire et parlant en « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

Tradabordo a dit…

C’est comme si je me voyais en train de faire la queue avec ma [supprimez] Claudita, Maya et Micaela, angoissée à cause de maman qui n’allait pas, lundi [mettez-le après « qui »], pouvoir acheter les patates, le riz et le lait dont on avait besoin, chez moi, dans le quartier de Maranga, du district de San Miguel. C’est comme si je me voyais, faisant semblant que ma maman ne doive [mode] rien m’[?]acheter et en plus [« et que même, »] ça me suffit [« j'ai assez »] pour acheter l’hamburger frite [pluriel] compris dans le menu [sûr ?]. Je me vois en train de sourire et parlant en « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

Unknown a dit…

C’est comme si je me voyais en train de faire la queue avec Claudita, Maya et Micaela, angoissée à cause de maman qui, lundi, n’allait pas pouvoir acheter les patates, le riz et le lait dont on avait besoin, chez moi, dans le quartier de Maranga, du district de San Miguel. C’est comme si je me voyais, faisant semblant que ma maman ne doit rien acheter et en plus, j’ai assez pour acheter l’hamburger frites obligatoire. Je me vois en train de sourire et parlant en « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

Tradabordo a dit…

C’est comme si je me voyais en train de faire la queue avec Claudita, Maya et Micaela, angoissée à cause de maman qui, lundi, n’allait pas pouvoir acheter les patates, le riz et le lait dont on avait besoin, chez moi, dans le quartier de Maranga, du district de San Miguel. C’est comme si je me voyais, faisant semblant que ma maman ne doit rien acheter et en plus [« et que j'ai même assez… »], j’ai assez pour acheter l’hamburger frites obligatoire. Je me vois en train de sourire et parlant en « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

Unknown a dit…

ça me semble bizarre de le dire comme ça, on ne peut pas laisser "en plus"?

Unknown a dit…

ah non ! ça a fait tilte dans ma tête... j'ai vraiment eu du mal avec cette phrase et j'ai quelque peu bloqué, mais en relisant plusieurs fois avec votre proposition je vois l'erreur !

Unknown a dit…

C’est comme si je me voyais en train de faire la queue avec Claudita, Maya et Micaela, angoissée à cause de maman qui, lundi, n’allait pas pouvoir acheter les patates, le riz et le lait dont on avait besoin, chez moi, dans le quartier de Maranga, du district de San Miguel. C’est comme si je me voyais, faisant semblant que ma maman ne doit rien acheter et que j'ai même assez pour acheter l’hamburger frites obligatoire. Je me vois en train de sourire et parlant en « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

Tradabordo a dit…


C’est comme si je me voyais en train de faire la queue avec Claudita, Maya et Micaela, angoissée à cause de maman qui, lundi, n’allait pas pouvoir acheter les patates, le riz et le lait dont on avait besoin, chez moi, dans le quartier de Maranga, du district de San Miguel. C’est comme si je me voyais, faisant semblant que ma maman ne doit rien acheter et que j'ai même assez pour acheter l’hamburger frites obligatoire. Je me vois en train de sourire et parlant en « spanglish », unique dialecte qu’on connaissait avec les filles de San Silvestre.

OK.