lundi 8 février 2016

Projet Hélène / Audrey – phrases 7-9

Llegué a Buenos Aires en un intento por empezar a salir de la tristeza provocada por la muerte de mi madre. Llevaba cinco días de paseo en la ciudad y el fin de semana me encaminé como los demás turistas hacia la feria de San Telmo. El lugar lucía rebosante de gente de diferentes partes del mundo que, como yo, se abrían paso entre los cientos de tenderetes de antigüedades —que exhibían desde botones de ropa femenina hasta victrolas de inicios del siglo pasado—, todos a la caza de algún objeto para adornar sus casas o llevar de recuerdo a sus amigos.

Traduction temporaire :
J’étais arrivée à Buenos Aires pour tenter de chasser la tristesse que la mort de ma mère avait provoquée en moi. Je me promenais dans la ville depuis cinq jours, et le week-end, je pris le même chemin que les autres touristes, en direction de la feria de San Telmo. Les lieux semblaient grouiller de personnes en provenance de différentes parties du monde : comme moi, elles se frayaient un passage à travers les centaines de vendeurs d’antiquités — qui exposaient tous types d’objets, allant des boutons pour vêtements féminins, jusqu’aux phonographes du début du siècle dernier. Chacun était en quête d’une petite chose pour décorer sa maison ou rapporter un souvenir à ses amis.

7 commentaires:

Hélène a dit…

J’arrivai à Buenos Aires pour tenter de chasser la tristesse que la mort de ma mère avait provoquée en moi. Je me promenais dans la ville depuis cinq jours, et le week-end, je pris le même chemin que tous les autres touristes en direction de la feria de San Telmo. Les lieux semblaient grouiller de personnes en provenance de différentes parties du monde : comme moi, ils se frayaient un passage à travers la centaine de vendeurs d’antiquités — qui exposaient tout type d’objets, allant du bouton pour vêtements féminins jusqu’au phonographe du début du siècle dernier. Tous se livraient à la chasse d’une petite chose destinée à décorer leur maison ou en guise de souvenir pour leurs amis.

Tradabordo a dit…

J’arrivai à Buenos Aires pour tenter de chasser la tristesse que la mort de ma mère avait provoquée en moi. Je me promenais dans la ville depuis cinq jours, et le week-end, je pris le même chemin que tous les autres touristes en direction de la feria de San Telmo. Les lieux semblaient grouiller de personnes en provenance de différentes parties du monde : comme moi, ils se frayaient un passage à travers la centaine [« LOS cientos »] de vendeurs d’antiquités — qui exposaient tout type [au pluriel ? Vérifie] d’objets, allant du bouton [au pluriel en V.O.] pour vêtements féminins [virgule ?] jusqu’au phonographe du début du siècle dernier. Tous se livraient à la chasse [tu as déjà « chasser » au début de ta section] d’une petite chose destinée à décorer leur maison ou en guise de [simplifie] souvenir pour leurs amis.

Hélène a dit…

J’arrivai à Buenos Aires pour tenter de chasser la tristesse que la mort de ma mère avait provoquée en moi. Je me promenais dans la ville depuis cinq jours, et le week-end, je pris le même chemin que tous les autres touristes en direction de la feria de San Telmo. Les lieux semblaient grouiller de personnes en provenance de différentes parties du monde : comme moi, ils se frayaient un passage à travers les centaines de vendeurs d’antiquités — qui exposaient tous types [au pluriel ? Vérifie // En fait, les deux se disent, mais avec des sens différents : tout type d'objets = n'importe quel type d'objet / tous types = tous les types d'objets qui existent] d’objets, allant des boutons pour vêtements féminins, jusqu’au phonographe du début du siècle dernier. Tous étaient en quête d’une petite chose pour décorer leur maison ou ramener un souvenir à leurs amis.

Tradabordo a dit…

J’arrivai à Buenos Aires pour tenter de chasser la tristesse que la mort de ma mère avait provoquée en moi. Je me promenais dans la ville depuis cinq jours, et le week-end, je pris le même chemin que tous [supprime ; tu en as un juste après… et celuci n'est pas nécessaire] les autres touristes [virgule ?] en direction de la feria de San Telmo. Les lieux semblaient grouiller de personnes en provenance de différentes parties du monde : comme moi, ils [« elles » ?] se frayaient un passage à travers les centaines de vendeurs d’antiquités — qui exposaient tous types d’objets, allant des boutons pour vêtements féminins, jusqu’au phonographe [au pluriel en V.O.] du début du siècle dernier. Tous [encore ! :-)] étaient en quête d’une petite chose pour décorer leur maison ou ramener un souvenir à leurs amis.

Audrey a dit…

J’arrivai [J'étais arrivée? antériorité par rapport au paragraphe précédent] à Buenos Aires pour tenter de chasser la tristesse que la mort de ma mère avait provoquée en moi. Je me promenais dans la ville depuis cinq jours, et le week-end, je pris le même chemin que les autres touristes, en direction de la feria de San Telmo. Les lieux semblaient grouiller de personnes en provenance [originaires?] de différentes parties du monde : comme moi, elles se frayaient un passage à travers les centaines de vendeurs d’antiquités — qui exposaient tous types d’objets, allant des boutons pour vêtements féminins, jusqu’aux phonographes du début du siècle dernier. Chacun était en quête d’une petite chose pour décorer leur [sa] maison ou rapporter [je crois, pour les objets] un souvenir à leurs [ses] amis.

Hélène a dit…

J’étais arrivée à Buenos Aires pour tenter de chasser la tristesse que la mort de ma mère avait provoquée en moi. Je me promenais dans la ville depuis cinq jours, et le week-end, je pris le même chemin que les autres touristes, en direction de la feria de San Telmo. Les lieux semblaient grouiller de personnes en provenance de différentes parties du monde : comme moi, elles se frayaient un passage à travers les centaines de vendeurs d’antiquités — qui exposaient tous types d’objets, allant des boutons pour vêtements féminins, jusqu’aux phonographes du début du siècle dernier. Chacun était en quête d’une petite chose pour décorer sa maison ou rapporter un souvenir à ses amis.

Tradabordo a dit…

J’étais arrivée à Buenos Aires pour tenter de chasser la tristesse que la mort de ma mère avait provoquée en moi. Je me promenais dans la ville depuis cinq jours, et le week-end, je pris le même chemin que les autres touristes, en direction de la feria de San Telmo. Les lieux semblaient grouiller de personnes en provenance de différentes parties du monde : comme moi, elles se frayaient un passage à travers les centaines de vendeurs d’antiquités — qui exposaient tous types d’objets, allant des boutons pour vêtements féminins, jusqu’aux phonographes du début du siècle dernier. Chacun était en quête d’une petite chose pour décorer sa maison ou rapporter un souvenir à ses amis.

OK.