samedi 26 mars 2016

Projet Justine / Marie-G. 2 – phrases 259-274

Perdóname –me dijo, conmovida.
Yo me deshice del abrazo un poco incómoda aunque al mismo tiempo emocionada al sentir su cuerpo abrigado cerca del mío.
¿Por qué se va mañana? –le pregunté mirándola con devoción, rogándole con los ojos que no se marchara, que se quedara.
Tengo cosas que hacer, debo trabajar.
¿En qué?
Estoy diseñando el vestuario para una obra de teatro.
O sea que usted es modista, como la señora Leidi –concluí tontamente.
Bueno, en realidad yo no coso, diseño la ropa y otras personas están encargadas de coserla.
Ah, ¿y usted actúa? –que la tía Alfreda fuera actriz encajaba perfectamente con la idea que yo quería tener de ella.
No, no. Solo diseño el vestuario.
Y el vestido que tenía hoy, ¿lo hizo usted?
Lo diseñó Ricardo, mi esposo. ¿Te gusta?
Sí, es bonito.
Si quieres, te lo regalo.

Traduction temporaire :

— Excuse-moi, me pria-t-elle, émue.
Je me libérai de son étreinte, un peu mal à l'aise, mais en même temps, ébranlée en sentant son corps protecteur près du mien.
— Pourquoi partez-vous demain ? lui demandai-je en la regardant avec dévotion, mes yeux la suppliant de ne pas s'en aller, de rester.
— J'ai des choses à faire. Je dois travailler.
— Dans quoi ?
— Je suis en train de créer les costumes pour une pièce de théâtre.
— Vous êtes couturière, comme Madame Leidi, en déduisis-je bêtement.
— Eh bien, en réalité, je ne couds pas, non, je dessine les vêtements et d'autres personnes en assurent la confection.
— Ah, et est-ce que vous jouez ?
Que tante Alfreda soit actrice cadrait parfaitement avec l'idée que je voulais avoir d'elle.
— Non, non. Je dessine juste les costumes.
— Et la robe que vous portiez aujourd'hui, c'est vous qui l'avez dessinée ?
— Elle a été conçue par Ricardo, mon époux. Elle te plaît ?
— Oui, elle est jolie.
— Si tu veux, je te l'offre.

6 commentaires:

Justine a dit…

— Excuse-moi, me pria-t-elle, ébranlée.
Je me libérai de son étreinte un peu mal à l'aise, mais en même temps, émue en sentant son corps protecteur près du mien.
— Pourquoi partez-vous demain ? lui demandai-je en la regardant avec dévotion, mes yeux la suppliant de ne pas s'en aller, de rester.
— J'ai des choses à faire. Je dois travailler.
— Dans quoi ?
— Je suis en train de créer les costumes pour une pièce de théâtre.
— En fait, tu es couturière comme Madame Leidi, en déduisis-je bêtement.
— Eh bien, en réalité, je ne couds pas, je dessine les vêtements et d'autres personnes sont chargées de les coudre.
— Ah, et est-ce que vous jouez ? Que tante Alfreda soit actrice cadrait parfaitement avec l'idée que je voulais avoir d'elle.
— Non, non. Je dessine juste les costumes.
— Et la robe que vous portiez aujourd'hui, c'est vous qui l'avez dessinée ?
— Elle a été conçue par Ricardo, mon époux. Elle te plaît ?
— Oui, elle est jolie.
— Si tu veux, je te l'offre.

Tradabordo a dit…

— Excuse-moi, me pria-t-elle, ébranlée [bof ; il vaut mieux que tu le mettes après, à la place d' « émue », et inversement].
Je me libérai de son étreinte [virgule] un peu mal à l'aise, mais en même temps, émue en sentant son corps protecteur près du mien.
— Pourquoi partez-vous demain ? lui demandai-je en la regardant avec dévotion, mes yeux la suppliant de ne pas s'en aller, de rester.
— J'ai des choses à faire. Je dois travailler.
— Dans quoi ?
— Je suis en train de créer les costumes pour une pièce de théâtre.
— En fait [tu as « faire » avant], tu es couturière [virgule] comme Madame Leidi, en déduisis-je bêtement.
— Eh bien, en réalité, je ne couds pas, [cheville : « , non, »] je dessine les vêtements et d'autres personnes sont chargées de les coudre [ne répète pas].
— Ah, et est-ce que vous jouez ?
Que tante Alfreda soit actrice cadrait parfaitement avec l'idée que je voulais avoir d'elle.
— Non, non. Je dessine juste les costumes.
— Et la robe que vous portiez aujourd'hui, c'est vous qui l'avez dessinée ?
— Elle a été conçue par Ricardo, mon époux. Elle te plaît ?
— Oui, elle est jolie.
— Si tu veux, je te l'offre.

Justine a dit…

— Excuse-moi, me pria-t-elle, émue.
Je me libérai de son étreinte, un peu mal à l'aise, mais en même temps, chamboulée en sentant son corps protecteur près du mien.
— Pourquoi partez-vous demain ? lui demandai-je en la regardant avec dévotion, mes yeux la suppliant de ne pas s'en aller, de rester.
— J'ai des choses à faire. Je dois travailler.
— Dans quoi ?
— Je suis en train de créer les costumes pour une pièce de théâtre.
— Vous êtes couturière, comme Madame Leidi, en déduisis-je bêtement.
— Eh bien, en réalité, je ne couds pas, non, je dessine les vêtements et d'autres personnes sont en charge de la confection.
— Ah, et est-ce que vous jouez ?
Que tante Alfreda soit actrice cadrait parfaitement avec l'idée que je voulais avoir d'elle.
— Non, non. Je dessine juste les costumes.
— Et la robe que vous portiez aujourd'hui, c'est vous qui l'avez dessinée ?
— Elle a été conçue par Ricardo, mon époux. Elle te plaît ?
— Oui, elle est jolie.
— Si tu veux, je te l'offre.

Tradabordo a dit…

— Excuse-moi, me pria-t-elle, émue.
Je me libérai de son étreinte, un peu mal à l'aise, mais en même temps, chamboulée [« ébranlée » ici] en sentant son corps protecteur près du mien.
— Pourquoi partez-vous demain ? lui demandai-je en la regardant avec dévotion, mes yeux la suppliant de ne pas s'en aller, de rester.
— J'ai des choses à faire. Je dois travailler.
— Dans quoi ?
— Je suis en train de créer les costumes pour une pièce de théâtre.
— Vous êtes couturière, comme Madame Leidi, en déduisis-je bêtement.
— Eh bien, en réalité, je ne couds pas, non, je dessine les vêtements et d'autres personnes sont en charge de [« en assurent » ?] la confection.
— Ah, et est-ce que vous jouez ?
Que tante Alfreda soit actrice cadrait parfaitement avec l'idée que je voulais avoir d'elle.
— Non, non. Je dessine juste les costumes.
— Et la robe que vous portiez aujourd'hui, c'est vous qui l'avez dessinée ?
— Elle a été conçue par Ricardo, mon époux. Elle te plaît ?
— Oui, elle est jolie.
— Si tu veux, je te l'offre.

Justine a dit…

— Excuse-moi, me pria-t-elle, émue.
Je me libérai de son étreinte, un peu mal à l'aise, mais en même temps, ébranlée en sentant son corps protecteur près du mien.
— Pourquoi partez-vous demain ? lui demandai-je en la regardant avec dévotion, mes yeux la suppliant de ne pas s'en aller, de rester.
— J'ai des choses à faire. Je dois travailler.
— Dans quoi ?
— Je suis en train de créer les costumes pour une pièce de théâtre.
— Vous êtes couturière, comme Madame Leidi, en déduisis-je bêtement.
— Eh bien, en réalité, je ne couds pas, non, je dessine les vêtements et d'autres personnes en assurent la confection.
— Ah, et est-ce que vous jouez ?
Que tante Alfreda soit actrice cadrait parfaitement avec l'idée que je voulais avoir d'elle.
— Non, non. Je dessine juste les costumes.
— Et la robe que vous portiez aujourd'hui, c'est vous qui l'avez dessinée ?
— Elle a été conçue par Ricardo, mon époux. Elle te plaît ?
— Oui, elle est jolie.
— Si tu veux, je te l'offre.

Tradabordo a dit…

— Excuse-moi, me pria-t-elle, émue.
Je me libérai de son étreinte, un peu mal à l'aise, mais en même temps, ébranlée en sentant son corps protecteur près du mien.
— Pourquoi partez-vous demain ? lui demandai-je en la regardant avec dévotion, mes yeux la suppliant de ne pas s'en aller, de rester.
— J'ai des choses à faire. Je dois travailler.
— Dans quoi ?
— Je suis en train de créer les costumes pour une pièce de théâtre.
— Vous êtes couturière, comme Madame Leidi, en déduisis-je bêtement.
— Eh bien, en réalité, je ne couds pas, non, je dessine les vêtements et d'autres personnes en assurent la confection.
— Ah, et est-ce que vous jouez ?
Que tante Alfreda soit actrice cadrait parfaitement avec l'idée que je voulais avoir d'elle.
— Non, non. Je dessine juste les costumes.
— Et la robe que vous portiez aujourd'hui, c'est vous qui l'avez dessinée ?
— Elle a été conçue par Ricardo, mon époux. Elle te plaît ?
— Oui, elle est jolie.
— Si tu veux, je te l'offre.

OK.