mercredi 10 février 2016

Projet Sarah / Sarah – phrase 6

Montando así, nos alcanzaba una doble dulzura: podíamos verla de un costado, del costado de la sombra, del menos conocido, y del otro, en donde estaba toda, la recuperábamos intacta, idéntica al panorama de cariño que nos mostraba todos los días.

Traduction temporaire :
Ainsi juchée sur son cheval, une double douceur nous parvenait : nous pouvions la voir d'un côté, celui de l'ombre, le moins connu, et de l'autre, où elle était en entier, là, nous la récupérions intacte, identique au panorama d'affection qu’elle nous montrait tous les jours.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Montando así, nos alcanzaba una doble dulzura: podíamos verla de un costado, del costado de la sombra, del menos conocido, y del otro, en donde estaba toda, la recuperábamos intacta, idéntica al panorama de cariño que nos mostraba todos los días.


Alors qu'elle montait ainsi, une double douceur nous atteignait : nous pouvions la voir d'un côté, du côté de l'ombre, du moins connu, et de l'autre, où elle était en entier, nous la récupérions intacte, identique au panorama d'affection qu’elle nous montrait tous les jours.

Tradabordo a dit…

Montando así, nos alcanzaba una doble dulzura: podíamos verla de un costado, del costado de la sombra, del menos conocido, y del otro, en donde estaba toda, la recuperábamos intacta, idéntica al panorama de cariño que nos mostraba todos los días.

Alors qu'elle montait ainsi [ça n'est pas très naturel ; est-ce qu'on ne pourrait pas passer par un adjectif… On est quoi sur un cheval ?], une double douceur nous atteignait : nous pouvions la voir d'un côté, du côté de l'ombre, du [« le » ?] moins connu, et de l'autre, où elle était en entier, nous la récupérions intacte, identique au panorama d'affection qu’elle nous montrait tous les jours.

Unknown a dit…

Assise ainsi, une double douceur nous atteignait : nous pouvions la voir d'un côté, du côté de l'ombre, le moins connu, et de l'autre, où elle était en entier, nous la récupérions intacte, identique au panorama d'affection qu’elle nous montrait tous les jours.

Unknown a dit…

Assise ainsi, une double douceur nous parvenait : nous pouvions la voir d'un côté, celui de l'ombre, le moins connu, et de l'autre, où elle était en entier, nous la récupérions intacte, identique au panorama d'affection qu’elle nous montrait tous les jours.

Tradabordo a dit…

Assise ainsi [on n'est pas « juché » sur un cheval ? Vérifiez et voyez si ça marche], une double douceur nous parvenait : nous pouvions la voir d'un côté, celui de l'ombre, le moins connu, et de l'autre, où elle était en entier, [cheville : « là » ? J'hésite] nous la récupérions intacte, identique au panorama d'affection qu’elle nous montrait tous les jours.

Unknown a dit…

Juchée ainsi sur son cheval, une double douceur nous parvenait : nous pouvions la voir d'un côté, celui de l'ombre, le moins connu, et de l'autre, où elle était en entier, là nous la récupérions intacte, identique au panorama d'affection qu’elle nous montrait tous les jours.

Tradabordo a dit…

Juchée ainsi [mettez-le devant] sur son cheval, une double douceur nous parvenait : nous pouvions la voir d'un côté, celui de l'ombre, le moins connu, et de l'autre, où elle était en entier, là [virgule] nous la récupérions intacte, identique au panorama d'affection qu’elle nous montrait tous les jours.

Unknown a dit…

Ainsi juchée sur son cheval, une double douceur nous parvenait : nous pouvions la voir d'un côté, celui de l'ombre, le moins connu, et de l'autre, où elle était en entier, là, nous la récupérions intacte, identique au panorama d'affection qu’elle nous montrait tous les jours.

Tradabordo a dit…

Ainsi juchée sur son cheval, une double douceur nous parvenait : nous pouvions la voir d'un côté, celui de l'ombre, le moins connu, et de l'autre, où elle était en entier, là, nous la récupérions intacte, identique au panorama d'affection qu’elle nous montrait tous les jours.

OK.

Sarah ?

Unknown a dit…

OK