samedi 20 février 2016

Projet Sonita / Élise – phrases 503-512

Estamos llegando —dijo el de la prótesis en el ojo girando el cuerpo. Iba en el asiento delantero; el que manejaba era el de la voz aguardentosa, el más borracho de todos. ¿Tenía sentido que fuera justo él quien estuviera a cargo de la conducción del automóvil? Zebrel alejó ese pensamiento. Lo menos importante en aquel momento era que el tipo estrellara el vehículo contra una columna de alumbrado.
Recorrían un tramo libre de edificaciones, un sector de la ciudad que había sido comprado por la Iglesia de la Salvación Universal, la secta más poderosa de todas, para erigir un complejo habitacional, escuelas, templos y una universidad teológica. El poder de reflexión, la curiosidad y el sano escepticismo habían muerto. Zebrel se sentía como el último soldado de una guerra perdida. El último soldado, inválido y quebrado no serviría para otra guerra. Y, por otra parte, no habría otra guerra. Las avispas de oro zumbaron con furia en el cielo rosado del amanecer; casi podía verlas.

Traduction temporaire :

— On arrive, dit celui qui portait une prothèse oculaire en tournant sa tête. Il était assis sur le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie tenait le volant, le plus ivre de tous. Était-ce sensé que ce soit justement lui qui était chargé de conduire l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée de son esprit. Que le gars encastre le véhicule contre un poteau d’électricité n'était pas le plus important.
Ils parcouraient un tronçon en friche, un secteur de la ville acheté par l’Église du Salut Universel, la secte la plus puissante de toutes, pour ériger un complexe habitationnel, des écoles, des temples et une université de théologie. Le pouvoir de la réflexion, la curiosité et le scepticisme sain étaient morts. Zebrel avait l'impression d'être le dernier soldat d’une guerre perdue. Le dernier soldat, invalide et brisé, qui ne serait pas utile pour une autre campagne. D'un autre côté, il n’y en aurait pas d’autre. Les guêpes en or bourdonnèrent avec fureur dans le ciel rosé de l’aube ; il pouvait presque les voir.

12 commentaires:

Sonita a dit…

— On arrive, dit celui qui portait une prothèse dans l’œil en tournant son corps [J’ai très envie de mettre « tête » car je pense que c’est bizarre « tourner le corps ». Qu’en dis-tu ?]. Il allait dans le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie conduisait, le plus ivre de tous. Était-ce normal que ce soit justement lui le responsable de la conduite de l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée. Que le gars heurte le véhicule contre un poste d’électricité, était le moindre des problèmes.
Ils parcouraient un tronçon libre d’édifications, un secteur de la ville qui avait été acheté par l’Église du Salut Universel, la secte la plus puissante de toutes, pour ériger un complexe habitationnel, des écoles, des temples et une université théologique. Le pouvoir de la réflexion, la curiosité et le scepticisme sain étaient morts. Zebrel se sentait comme le dernier soldat d’une guerre perdue [ cheville : « d’avance » ? ]. Le dernier soldat, invalide et brisé qui ne serait pas utile pour une autre guerre. Et, d'un autre côté, il n’y aurait pas d’autre guerre. Les guêpes en or bourdonnèrent avec fureur dans le ciel rosé de l’aube ; il pouvait presque les voir.

Tradabordo a dit…

— On arrive, dit celui qui portait une prothèse dans l’œil [« prothèse oculaire »] en tournant son corps [J’ai très envie de mettre « tête » car je pense que c’est bizarre « tourner le corps ». Qu’en dis-tu ? OK]. Il allait [non] dans [mal dit] le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie conduisait, le plus ivre de tous. Était-ce normal [texte] que ce soit justement lui le responsable de [texte ; pas exactement cela…] la conduite de l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée [cheville : « de son esprit »]. Que le gars heurte [ça ne va pas avec ta construction] le véhicule contre un poste [mal dit] d’électricité, [tu te mets à ajouter des virgules n'importe comment… Attention, il faut qu'on bosse cette histoire de ponctuation] était le moindre [mal dit] des problèmes.

Faisons déjà cela.

Ils parcouraient un tronçon libre d’édifications, un secteur de la ville qui avait été acheté par l’Église du Salut Universel, la secte la plus puissante de toutes, pour ériger un complexe habitationnel, des écoles, des temples et une université théologique. Le pouvoir de la réflexion, la curiosité et le scepticisme sain étaient morts. Zebrel se sentait comme le dernier soldat d’une guerre perdue [ cheville : « d’avance » ? ]. Le dernier soldat, invalide et brisé qui ne serait pas utile pour une autre guerre. Et, d'un autre côté, il n’y aurait pas d’autre guerre. Les guêpes en or bourdonnèrent avec fureur dans le ciel rosé de l’aube ; il pouvait presque les voir.

Sonita a dit…

— On arrive, dit celui qui portait une prothèse oculaire en tournant sa tête. Il était assis sur le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie conduisait, le plus ivre de tous. Était-ce sensé que ce soit justement lui qui était chargé de la conduite de l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée de son esprit. Que le gars écrase le véhicule contre un poteau d’électricité était le moins important.

Tradabordo a dit…

— On arrive, dit celui qui portait une prothèse oculaire en tournant sa tête. Il était assis sur le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie conduisait, le plus ivre de tous. Était-ce sensé que ce soit justement lui qui était chargé de la conduite [un moyen de ne pas répéter « conduire » ?] de l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée de son esprit. Que le gars écrase [« encastre »] le véhicule contre un poteau d’électricité était le moins important [« n'était pas le plus… »].

Corrige ça et ajoute la suite.

Il y a des erreurs, mais globalement, tu travailles pas mal en ce moment ; résultat = on peut avancer vite.

Sonita a dit…

— On arrive, dit celui qui portait une prothèse oculaire en tournant sa tête. Il était assis sur le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie conduisait, le plus ivre de tous. Était-ce sensé que ce soit justement lui qui était chargé du volant de l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée de son esprit. Que le gars encastre le véhicule contre un poteau d’électricité n'était pas le plus important.
Ils parcouraient un tronçon libre d’édifications, un secteur de la ville qui avait été acheté par l’Église du Salut Universel, la secte la plus puissante de toutes, pour ériger un complexe habitationnel, des écoles, des temples et une université théologique. Le pouvoir de la réflexion, la curiosité et le scepticisme sain étaient morts. Zebrel se sentait comme le dernier soldat d’une guerre perdue [ cheville : « d’avance » ? ]. Le dernier soldat, invalide et brisé qui ne serait pas utile pour une autre guerre. Et, d'un autre côté, il n’y aurait pas d’autre guerre. Les guêpes en or bourdonnèrent avec fureur dans le ciel rosé de l’aube ; il pouvait presque les voir.

Tradabordo a dit…

— On arrive, dit celui qui portait une prothèse oculaire en tournant sa tête. Il était assis sur le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie conduisait [« tenait le volant »], le plus ivre de tous. Était-ce sensé que ce soit justement lui qui était chargé du volant [et ici, tu remets « conduire »] de l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée de son esprit. Que le gars encastre le véhicule contre un poteau d’électricité n'était pas le plus important.
Ils parcouraient un tronçon libre d’édifications [carrément pas clair], un secteur de la ville qui avait été acheté par l’Église du Salut Universel, la secte la plus puissante de toutes, pour ériger un complexe habitationnel [ça existe ?], des écoles, des temples et une université théologique [« de théologie »]. Le pouvoir de la réflexion, la curiosité et le scepticisme sain étaient morts. Zebrel se sentait comme [passe par « avait l'impression de »] le dernier soldat d’une guerre perdue. Le dernier soldat, invalide et brisé [virgule] qui ne serait pas utile pour une autre guerre [un moyen de ne pas répéter ?]. Et [supprime], d'un autre côté, il n’y aurait pas d’autre guerre [avec un simple « en »]. Les guêpes en or bourdonnèrent avec fureur dans le ciel rosé de l’aube ; il pouvait presque les voir.

Sonita a dit…

— On arrive, dit celui qui portait une prothèse oculaire en tournant sa tête. Il était assis sur le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie tenait le volant, le plus ivre de tous. Était-ce sensé que ce soit justement lui qui était chargé de conduire l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée de son esprit. Que le gars encastre le véhicule contre un poteau d’électricité n'était pas le plus important.
Ils parcouraient un tronçon en friche, un secteur de la ville qui avait été acheté par l’Église du Salut Universel, la secte la plus puissante de toutes, pour ériger un complexe habitationnel [ça existe ? // Oui, je l'ai vérifié], des écoles, des temples et une université de théologie. Le pouvoir de la réflexion, la curiosité et le scepticisme sain étaient morts. Zebrel avait l'impression d'être le dernier soldat d’une guerre perdue. Le dernier soldat, invalide et brisé, qui ne serait pas utile pour une autre campagne. D'un autre côté, il n’y en aurait pas d’autre. Les guêpes en or bourdonnèrent avec fureur dans le ciel rosé de l’aube ; il pouvait presque les voir.

Tradabordo a dit…

— On arrive, dit celui qui portait une prothèse oculaire en tournant sa tête. Il était assis sur le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie tenait le volant, le plus ivre de tous. Était-ce sensé que ce soit justement lui qui était chargé de conduire l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée de son esprit. Que le gars encastre le véhicule contre un poteau d’électricité n'était pas le plus important.
Ils parcouraient un tronçon en friche, un secteur de la ville qui avait été [nécessaire ?] acheté par l’Église du Salut Universel, la secte la plus puissante de toutes, pour ériger un complexe habitationnel, des écoles, des temples et une université de théologie. Le pouvoir de la réflexion, la curiosité et le scepticisme sain étaient morts. Zebrel avait l'impression d'être le dernier soldat d’une guerre perdue. Le dernier soldat, invalide et brisé, qui ne serait pas utile pour une autre campagne. D'un autre côté, il n’y en aurait pas d’autre. Les guêpes en or bourdonnèrent avec fureur dans le ciel rosé de l’aube ; il pouvait presque les voir.

Sonita a dit…

— On arrive, dit celui qui portait une prothèse oculaire en tournant sa tête. Il était assis sur le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie tenait le volant, le plus ivre de tous. Était-ce sensé que ce soit justement lui qui était chargé de conduire l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée de son esprit. Que le gars encastre le véhicule contre un poteau d’électricité n'était pas le plus important.
Ils parcouraient un tronçon en friche, un secteur de la ville qui acheté par l’Église du Salut Universel, la secte la plus puissante de toutes, pour ériger un complexe habitationnel, des écoles, des temples et une université de théologie. Le pouvoir de la réflexion, la curiosité et le scepticisme sain étaient morts. Zebrel avait l'impression d'être le dernier soldat d’une guerre perdue. Le dernier soldat, invalide et brisé, qui ne serait pas utile pour une autre campagne. D'un autre côté, il n’y en aurait pas d’autre. Les guêpes en or bourdonnèrent avec fureur dans le ciel rosé de l’aube ; il pouvait presque les voir.

Tradabordo a dit…

— On arrive, dit celui qui portait une prothèse oculaire en tournant sa tête. Il était assis sur le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie tenait le volant, le plus ivre de tous. Était-ce sensé que ce soit justement lui qui était chargé de conduire l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée de son esprit. Que le gars encastre le véhicule contre un poteau d’électricité n'était pas le plus important.
Ils parcouraient un tronçon en friche, un secteur de la ville qui acheté [relis-toi / paf, un tour de commentaire pour rien] par l’Église du Salut Universel, la secte la plus puissante de toutes, pour ériger un complexe habitationnel, des écoles, des temples et une université de théologie. Le pouvoir de la réflexion, la curiosité et le scepticisme sain étaient morts. Zebrel avait l'impression d'être le dernier soldat d’une guerre perdue. Le dernier soldat, invalide et brisé, qui ne serait pas utile pour une autre campagne. D'un autre côté, il n’y en aurait pas d’autre. Les guêpes en or bourdonnèrent avec fureur dans le ciel rosé de l’aube ; il pouvait presque les voir.

Sonita a dit…

Pardon !

***
— On arrive, dit celui qui portait une prothèse oculaire en tournant sa tête. Il était assis sur le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie tenait le volant, le plus ivre de tous. Était-ce sensé que ce soit justement lui qui était chargé de conduire l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée de son esprit. Que le gars encastre le véhicule contre un poteau d’électricité n'était pas le plus important.
Ils parcouraient un tronçon en friche, un secteur de la ville acheté par l’Église du Salut Universel, la secte la plus puissante de toutes, pour ériger un complexe habitationnel, des écoles, des temples et une université de théologie. Le pouvoir de la réflexion, la curiosité et le scepticisme sain étaient morts. Zebrel avait l'impression d'être le dernier soldat d’une guerre perdue. Le dernier soldat, invalide et brisé, qui ne serait pas utile pour une autre campagne. D'un autre côté, il n’y en aurait pas d’autre. Les guêpes en or bourdonnèrent avec fureur dans le ciel rosé de l’aube ; il pouvait presque les voir.

Tradabordo a dit…

— On arrive, dit celui qui portait une prothèse oculaire en tournant sa tête. Il était assis sur le siège avant ; celui dont l’haleine sentait l’eau-de-vie tenait le volant, le plus ivre de tous. Était-ce sensé que ce soit justement lui qui était chargé de conduire l’automobile ? Zebrel éloigna cette pensée de son esprit. Que le gars encastre le véhicule contre un poteau d’électricité n'était pas le plus important.
Ils parcouraient un tronçon en friche, un secteur de la ville acheté par l’Église du Salut Universel, la secte la plus puissante de toutes, pour ériger un complexe habitationnel, des écoles, des temples et une université de théologie. Le pouvoir de la réflexion, la curiosité et le scepticisme sain étaient morts. Zebrel avait l'impression d'être le dernier soldat d’une guerre perdue. Le dernier soldat, invalide et brisé, qui ne serait pas utile pour une autre campagne. D'un autre côté, il n’y en aurait pas d’autre. Les guêpes en or bourdonnèrent avec fureur dans le ciel rosé de l’aube ; il pouvait presque les voir.

OK.