dimanche 20 mars 2016

Projet Medea / Iris – phrases 146-149

A pesar de que el sol ha cambiado de cárcel y lo lleva ahora en su corazón, parécele que toda la nieve de las montañas se hubiese trasladado allí. Sube, entonces, a la ventana y se precipita al vacío, en el cual, como si alas invisibles le sostuviesen, desciende blandamente hasta que toca con sus pies la tierra. La campiña está helada como un ventisquero, y envuelto en tinieblas impenetrables, camina a la ventura con los brazos extendidos, huyendo como medroso fantasma de la agonía del Universo. Cuando las ciudades no fueron sino escombros humeantes y las selvas montones de ceniza, cuando todo combustible se hubo agotado, los hombres cesaron de disputarse un sitio en torno de las hogueras moribundas y se resignaron a morir. 

Traduction temporaire :
Bien que le soleil ait changé de prison et qu'il le porte maintenant dans son cœur, il lui semble que toute la neige des montagnes se soit déplacée là-bas. Alors, il monte sur la fenêtre, et se jette dans le vide, où, comme si des ailes invisibles le soutenaient, il tombe mollement, jusqu'à toucher terre avec ses pieds. L'étendue est gelée, ressemblant à un vrai glacier. Et enveloppé dans des ténèbres impénétrables, il marche au hasard, fuyant tel un fantôme effrayé l'agonie de l'Univers, les bras tendus.Quand les villes ne furent plus que des décombres fumantes, et les forêts des tas de cendres, quand tous les combustibles furent épuisés, les hommes cessèrent de se disputer un espace autour des bûchers moribonds et se résignèrent à mourir. 

6 commentaires:

Medea a dit…

Bien que le soleil ait changé de prison et le porte maintenant dans son cœur, il lui semble que toute la neige des montagnes se soit déplacée là-bas. Ainsi, il monte à la fenêtre, et se jette dans le vide, où, comme si des ailes invisibles le soutenaient, il tombe mollement jusqu'à toucher terre avec ses pieds. L'étendue est gelée, ressemblant à un glacier. Et ensseveli dans des ténèbres impénétrables , il marche à l'aveugle, les bras tendus, fuyant tel un fantôme effrayé l'agonie de l'Univers.
Quand les villes ne furent rien d'autre que des décombres fumantes, quand tous les combustibles s'eurent épuisé, les hommes cessèrent de se disputer un espace autour des bûchers moribonds et se résignèrent à mourrir.

Tradabordo a dit…

Bien que le soleil ait changé de prison et [« qu'il » ?] le porte maintenant dans son cœur, il lui semble que toute la neige des montagnes se soit déplacée là-bas. Ainsi [pas plutôt « alors » ?], il monte à [« sur » ?] la fenêtre, et se jette dans le vide, où, comme si des ailes invisibles le soutenaient, il tombe mollement [virgule] jusqu'à toucher terre avec ses pieds. L'étendue est gelée, ressemblant à un glacier [ou : « un vrai glacier » ?]. Et ensseveli [coquille + littéral ?] dans des ténèbres impénétrables [espace en trop], il marche à l'aveugle [j'hésite…], les bras tendus, fuyant tel un fantôme [placé à la fin ?] effrayé l'agonie de l'Univers.
Quand les villes ne furent rien d'autre que [plus simple avec : « plus que »] des décombres fumantes, [il vous manque un bout ici] quand tous les combustibles s'eurent [incorrect] épuisé, les hommes cessèrent de se disputer un espace autour des bûchers moribonds et se résignèrent à mourrir [ortho].

Medea a dit…

Bien que le soleil ait changé de prison et qu'il le porte maintenant dans son cœur, il lui semble que toute la neige des montagnes se soit déplacée là-bas. Alors, il monte sur la fenêtre, et se jette dans le vide, où, comme si des ailes invisibles le soutenaient, il tombe mollement, jusqu'à toucher terre avec ses pieds. L'étendue est gelée, ressemblant à un vrai glacier. Et enveloppé dans des ténèbres impénétrables, il marche au hasard, fuyant tel un fantôme effrayé l'agonie de l'Univers, les bras tendus.
Quand les villes ne furent plus que des décombres fumantes, et les forêts des tas de cendres, quand tous les combustibles se furent épuisé, les hommes cessèrent de se disputer un espace autour des bûchers moribonds et se résignèrent à mourir .

Tradabordo a dit…

Bien que le soleil ait changé de prison et qu'il le porte maintenant dans son cœur, il lui semble que toute la neige des montagnes se soit déplacée là-bas. Alors, il monte sur la fenêtre, et se jette dans le vide, où, comme si des ailes invisibles le soutenaient, il tombe mollement, jusqu'à toucher terre avec ses pieds. L'étendue est gelée, ressemblant à un vrai glacier. Et enveloppé dans des ténèbres impénétrables, il marche au hasard, fuyant tel un fantôme effrayé l'agonie de l'Univers, les bras tendus.
Quand les villes ne furent plus que des décombres fumantes, et les forêts des tas de cendres, quand tous les combustibles se [supprimez] furent épuisé [grammaire], les hommes cessèrent de se disputer un espace autour des bûchers moribonds et se résignèrent à mourir [espace en trop].

Medea a dit…

Bien que le soleil ait changé de prison et qu'il le porte maintenant dans son cœur, il lui semble que toute la neige des montagnes se soit déplacée là-bas. Alors, il monte sur la fenêtre, et se jette dans le vide, où, comme si des ailes invisibles le soutenaient, il tombe mollement, jusqu'à toucher terre avec ses pieds. L'étendue est gelée, ressemblant à un vrai glacier. Et enveloppé dans des ténèbres impénétrables, il marche au hasard, fuyant tel un fantôme effrayé l'agonie de l'Univers, les bras tendus.Quand les villes ne furent plus que des décombres fumantes, et les forêts des tas de cendres, quand tous les combustibles furent épuisés, les hommes cessèrent de se disputer un espace autour des bûchers moribonds et se résignèrent à mourir.

Tradabordo a dit…

Bien que le soleil ait changé de prison et qu'il le porte maintenant dans son cœur, il lui semble que toute la neige des montagnes se soit déplacée là-bas. Alors, il monte sur la fenêtre, et se jette dans le vide, où, comme si des ailes invisibles le soutenaient, il tombe mollement, jusqu'à toucher terre avec ses pieds. L'étendue est gelée, ressemblant à un vrai glacier. Et enveloppé dans des ténèbres impénétrables, il marche au hasard, fuyant tel un fantôme effrayé l'agonie de l'Univers, les bras tendus.Quand les villes ne furent plus que des décombres fumantes, et les forêts des tas de cendres, quand tous les combustibles furent épuisés, les hommes cessèrent de se disputer un espace autour des bûchers moribonds et se résignèrent à mourir.

OK.

Iris ?