lundi 21 mars 2016

Projet Fanny – phrases 344-359

Roslin apretaba con fuerza los párpados, pero ni así podía evitar que las lágrimas escapasen entre ellos.
—No te creo.
—No tienes por qué hacerlo aún —dijo él—. Puedo demostrarte todo lo que te he contado. Viajaremos a la isla, al hospital, para que puedas verlo con tus propios ojos.
Ella respiraba deprisa, con dificultad, tragándose mocos, lágrimas y saliva.
—¿Hibernación? ¿Clonación? ¿Qué cojones me estás contando? ¡Eso no existe!
—El hecho de que algo no existiese no iba a pararme. Ya te lo he explicado: imaginamos lo imposible, y lo llevamos a cabo. En ningún país las leyes nos lo hubiesen permitido, pero una vez eliminado ese obstáculo, nadie nos impedía llegar todo lo lejos que pudiésemos. El tema de la hibernación fue más arriesgado incluso que guiar y recrear tu vida, porque era algo que no teníamos tiempo de comprobar si funcionaría. Simplemente lo hicimos, y funcionó. Durante dieciocho años mi equipo de doctores me mantuvo latente, sin dejar que muriese, y aunque la recuperación posterior no fue fácil, no me quejo, porque me permitió estar hoy aquí, contigo.

Traduction temporaire :

Roslin serrait les paupières avec force, mais même ainsi, elle ne parvenait pas à éviter que des larmes s'en échappent.
— Je ne te crois pas.
— Tu n'as pas encore besoin de le faire, dit-il. Je peux te prouver tout ce que je t'ai raconté. Nous irons jusqu'à l'île, à l'hôpital, pour que tu puisses voir ça de tes propres yeux.
Elle respirait rapidement, avec difficulté, ravalant sa morve, ses larmes et sa salive.
— Hibernation ? Clonage ? Mais qu'est-ce que tu me racontes ? Ça n'existe pas !
— Que quelque chose n'existe pas n'allait pas m'arrêter. Je te l'ai déjà expliqué, nous imaginons l'impossible, et nous le concrétisons. Les lois ne nous l'auraient permis dans aucun pays. Cependant, une fois cet obstacle contourné, personne ne nous empêchait d'avancer aussi loin que possible. Même l'idée de l'hibernation a été plus risquée que guider et recréer ta vie, parce que nous n'avions pas le temps de vérifier si ça fonctionnerait. Nous l'avons simplement fait, et ça a marché. Pendant dix-huit ans, mon équipe de docteurs m'a maintenu dans un état latent, sans me laisser mourir, et bien que la rééducation ultérieure n'ait pas été facile, je ne me plains pas puisque ça m'a permis d'être ici aujourd'hui, avec toi.

6 commentaires:

Fanny JAY a dit…

Roslin serrait les paupières avec force, mais, même ainsi, elle ne parvenait pas à éviter que des larmes s'en échappent.
— Je ne te crois pas.
— Tu n'as pas encore besoin de le faire, dit-il. Je peux te démontrer tout ce que je t'ai raconté. Nous voyagerons jusqu'à l'île, à l'hôpital, pour que tu puisses le voir de tes propres yeux. Elle respirait rapidement, avec difficulté, ravalant sa morve, des larmes et de la salive.
— Hibernation ? Clonage ? Quel bordel tu me racontes ? Ça n'existe pas !
— Le fait que quelque chose n'existe pas n'allait pas m'arrêter. Je te l'ai déjà expliqué : nous imaginons l'impossible, et nous le menons à bien. Dans aucun pays les lois ne nous l'auraient permis, cependant, une fois contourné cet obstacle, personne ne nous empêchait d'aller aussi loin que nous le pouvions. Le sujet de l'hibernation a été même plus risqué que de guider et recréer ta vie, parce que nous n'avions pas le temps de vérifier si ça fonctionnerait. Nous l'avons simplement fait, et ça a marché. Pendant dix-huit ans, mon équipe de docteurs m'a maintenu dans un état latent, sans me laisser mourir, et bien que la rééducation ultérieure n'ai pas été facile, je ne me plains pas puisse que ça m'a permis d'être ici aujourd'hui, avec toi.

Tradabordo a dit…

Roslin serrait les paupières avec force, mais, même ainsi, elle ne parvenait pas à éviter que des larmes s'en échappent.
— Je ne te crois pas.
— Tu n'as pas encore besoin de le faire, dit-il. Je peux te démontrer [« prouver » ?] tout ce que je t'ai raconté. Nous voyagerons jusqu'[? Je pense que ce serait mieux avec « aller »]à l'île, à l'hôpital, pour que tu puisses le voir [« voir ça » ?] de tes propres yeux.
Elle respirait rapidement, avec difficulté, ravalant sa morve, des [je mettrais des possessif ; idem pour après] larmes et de la salive.
— Hibernation ? Clonage ? Quel bordel tu me racontes [naturel ? Le diriez-vous ?] ? Ça n'existe pas !
— Le fait [nécessaire ?] que quelque chose n'existe pas n'allait pas m'arrêter. Je te l'ai déjà expliqué : [pas de deux points dans les dialogues] nous imaginons l'impossible, et nous le menons à bien [avec « concrétiser »]. Dans aucun pays [mal dit ? Mal placé ?] les lois ne nous l'auraient permis, [point] cependant, une fois contourné cet obstacle [syntaxe ?], personne ne nous empêchait d'aller [vous en avez un plus haut] aussi loin que nous le pouvions [déjà un plus haut]. Le sujet [adapté ici ?] de l'hibernation a été même [mal placé] plus risqué que de guider et recréer ta vie, parce que nous n'avions pas le temps de vérifier si ça fonctionnerait. Nous l'avons simplement fait, et ça a marché. Pendant dix-huit ans, mon équipe de docteurs m'a maintenu dans un état latent, sans me laisser mourir, et bien que la rééducation ultérieure n'ai [grammaire] pas été facile, je ne me plains pas puisse [?] que ça m'a permis d'être ici aujourd'hui, avec toi.

Fanny JAY a dit…

Roslin serrait les paupières avec force, mais, même ainsi, elle ne parvenait pas à éviter que des larmes s'en échappent.
— Je ne te crois pas.
— Tu n'as pas encore besoin de le faire, dit-il. Je peux te prouver tout ce que je t'ai raconté. Nous irons jusqu'à l'île, à l'hôpital, pour que tu puisses voir ça de tes propres yeux.
Elle respirait rapidement, avec difficulté, ravalant sa morve, ses larmes et sa salive.
— Hibernation ? Clonage ? Mais qu'est-ce que tu me racontes ? Ça n'existe pas !
— Que quelque chose n'existe pas n'allait pas m'arrêter. Je te l'ai déjà expliqué, nous imaginons l'impossible, et nous le concrétisons. Les lois ne nous l'auraient permis dans aucun pays. Cependant, une fois cet obstacle contourné, personne ne nous empêchait d'avancer aussi loin que possible. L'idée de l'hibernation a été plus risqué même que de guider et recréer ta vie, parce que nous n'avions pas le temps de vérifier si ça fonctionnerait. Nous l'avons simplement fait, et ça a marché. Pendant dix-huit ans, mon équipe de docteurs m'a maintenu dans un état latent, sans me laisser mourir, et bien que la rééducation ultérieure n'ait pas été facile, je ne me plains pas puisque ça m'a permis d'être ici aujourd'hui, avec toi.

Tradabordo a dit…

Roslin serrait les paupières avec force, mais même ainsi, elle ne parvenait pas à éviter que des larmes s'en échappent.
— Je ne te crois pas.
— Tu n'as pas encore besoin de le faire, dit-il. Je peux te prouver tout ce que je t'ai raconté. Nous irons jusqu'à l'île, à l'hôpital, pour que tu puisses voir ça de tes propres yeux.
Elle respirait rapidement, avec difficulté, ravalant sa morve, ses larmes et sa salive.
— Hibernation ? Clonage ? Mais qu'est-ce que tu me racontes ? Ça n'existe pas !
— Que quelque chose n'existe pas n'allait pas m'arrêter. Je te l'ai déjà expliqué, nous imaginons l'impossible, et nous le concrétisons. Les lois ne nous l'auraient permis dans aucun pays. Cependant, une fois cet obstacle contourné, personne ne nous empêchait d'avancer aussi loin que possible. L'idée de l'hibernation a été plus risqué [grammaire] même [syntaxe ?] que de [nécessaire ?] guider et recréer ta vie, parce que nous n'avions pas le temps de vérifier si ça fonctionnerait. Nous l'avons simplement fait, et ça a marché. Pendant dix-huit ans, mon équipe de docteurs m'a maintenu dans un état latent, sans me laisser mourir, et bien que la rééducation ultérieure n'ait pas été facile, je ne me plains pas puisque ça m'a permis d'être ici aujourd'hui, avec toi.

Fanny JAY a dit…

Roslin serrait les paupières avec force, mais même ainsi, elle ne parvenait pas à éviter que des larmes s'en échappent.
— Je ne te crois pas.
— Tu n'as pas encore besoin de le faire, dit-il. Je peux te prouver tout ce que je t'ai raconté. Nous irons jusqu'à l'île, à l'hôpital, pour que tu puisses voir ça de tes propres yeux.
Elle respirait rapidement, avec difficulté, ravalant sa morve, ses larmes et sa salive.
— Hibernation ? Clonage ? Mais qu'est-ce que tu me racontes ? Ça n'existe pas !
— Que quelque chose n'existe pas n'allait pas m'arrêter. Je te l'ai déjà expliqué, nous imaginons l'impossible, et nous le concrétisons. Les lois ne nous l'auraient permis dans aucun pays. Cependant, une fois cet obstacle contourné, personne ne nous empêchait d'avancer aussi loin que possible. Même l'idée de l'hibernation a été plus risquée que guider et recréer ta vie, parce que nous n'avions pas le temps de vérifier si ça fonctionnerait. Nous l'avons simplement fait, et ça a marché. Pendant dix-huit ans, mon équipe de docteurs m'a maintenu dans un état latent, sans me laisser mourir, et bien que la rééducation ultérieure n'ait pas été facile, je ne me plains pas puisque ça m'a permis d'être ici aujourd'hui, avec toi.

Tradabordo a dit…

Roslin serrait les paupières avec force, mais même ainsi, elle ne parvenait pas à éviter que des larmes s'en échappent.
— Je ne te crois pas.
— Tu n'as pas encore besoin de le faire, dit-il. Je peux te prouver tout ce que je t'ai raconté. Nous irons jusqu'à l'île, à l'hôpital, pour que tu puisses voir ça de tes propres yeux.
Elle respirait rapidement, avec difficulté, ravalant sa morve, ses larmes et sa salive.
— Hibernation ? Clonage ? Mais qu'est-ce que tu me racontes ? Ça n'existe pas !
— Que quelque chose n'existe pas n'allait pas m'arrêter. Je te l'ai déjà expliqué, nous imaginons l'impossible, et nous le concrétisons. Les lois ne nous l'auraient permis dans aucun pays. Cependant, une fois cet obstacle contourné, personne ne nous empêchait d'avancer aussi loin que possible. Même l'idée de l'hibernation a été plus risquée que guider et recréer ta vie, parce que nous n'avions pas le temps de vérifier si ça fonctionnerait. Nous l'avons simplement fait, et ça a marché. Pendant dix-huit ans, mon équipe de docteurs m'a maintenu dans un état latent, sans me laisser mourir, et bien que la rééducation ultérieure n'ait pas été facile, je ne me plains pas puisque ça m'a permis d'être ici aujourd'hui, avec toi.

OK.