lundi 21 mars 2016

Projet Sarah S – phrases 47-59

El cartel eléctrico que indicaba los turnos estaba roto, o no querrían gastar luz. Había diez boxes pero sólo tres empleados. Todo parecía indicar que, para los dueños de la compañía, y obedeciendo al dicho popular: el ahorro era la base de la fortuna. Aunque en este caso, el ahorro ajeno y la fortuna propia. Una chica que parecía recién salida de la escuela secundaria gritaba los números en voz alta, igual que los niños cantores de la lotería. Lidia recordó las tardes en el bingo. Por aquel entonces, si bien apenas se quitaba los anteojos para dormir y ducharse, todavía diferenciaba los números en los cartones. Bajó la mirada hacia su papelito con el turno y le costó leer las cifras. Sentía vergüenza de pedir ayuda y preguntar. Sentía vergüenza de estar ahí. Calculó que, de todas formas, habría unas veinte personas antes que ella. Se dedicó a controlar su reloj cada cinco minutos hasta que perdió la paciencia, se levantó como pudo y fue hasta uno de los boxes. En lugar de ayudarla, varios se quejaron en voz alta: no porque fuera vieja le correspondían más derechos que a los demás.

Traduction temporaire :
Le panneau électrique qui indiquait les numéros de passage était cassé, ou bien on ne voulait pas consommer d'électricité. Il y avait dix guichets, mais seulement trois employés. Tout semblait indiquer que les gérants de la société adhéraient au dicton populaire : l'épargne est la base de la fortune. Bien que dans ce cas, l'épargne vienne d'autrui et que la fortune ne profite qu'à eux. Une fille, qui avait l'air d'être fraîchement sortie du lycée, criait les numéros à voix haute, comme les enfants chanteurs de la loterie. Lidia se rappela les après-midi au bingo. À cette époque-là, même si elle retirait à peine ses lunettes pour dormir et se doucher, elle pouvait encore distinguer les numéros sur les cartes. Elle baissa le regard vers son petit papier avec son numéro de passage et eut du mal à lire les chiffres. Elle avait honte de demander de l'aide et de poser la question. Elle avait honte d'être là. Elle évalua que, de toute façon, il y avait une vingtaine de personnes avant elle. Elle s'employa à contrôler sa montre toutes les cinq minutes, jusqu'au moment où elle perdit patience, se leva comme elle put et se dirigea vers l'un des guichets. Au lieu de lui prêter assistance, plusieurs personnes se plaignirent à voix haute : ce n'est pas parce qu'elle était vieille qu'elle avait plus de droits que les autres.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Le panneau électrique qui indiquait les numéros de passage était cassé, ou bien ils ne voulaient pas consommer d'électricité. Il y avait dix bureaux mais seulement trois employés. Tout semblait indiquer que, pour les gérants de la société, et selon le dicton populaire : l'épargne était la base de la fortune. Bien que dans ce cas, l'épargne vient d'autrui et la fortune leur est propre. Une fille qui avait l'air d'être fraîchement sortie du lycée criait les numéros à voix haute, comme les enfants qui chantent à la loterie. Lidia se souvint des soirées au bingo. À cette époque, même si elle retirait à peine ses lunettes pour dormir et se doucher, elle pouvait encore distinguer les numéros sur les cartes. Elle baissa la tête pour regarder son petit papier avec son numéro de passage et eût du mal à lire les chiffres. Elle avait honte de demander de l'aide et poser la question. Elle avait honte d'être là. Elle compta et, de tous les genres, il y avait une vingtaine de personnes avant elle. Elle s'employa à contrôler sa montre toutes les cinq minutes jusqu'au moment où elle perdit patience, se leva comme elle put et se dirigea vers l'un des bureaux. Au lieu de l'aider, plusieurs se plaignirent à voix haute : ce n'est pas parce qu'elle était vieille qu'elle avait plus de droits que les autres.

Tradabordo a dit…

Le panneau électrique qui indiquait les numéros de passage était cassé, ou bien ils [qui « ils » ?] ne voulaient pas consommer d'électricité. Il y avait dix bureaux [pourquoi pas littéral ?] [VIRGULE AVANT « MAIS »] mais seulement trois employés. Tout semblait indiquer que, [sans la virgule] pour les gérants de la société, et selon le dicton populaire : l'épargne était la base de la fortune. Bien que dans ce cas, l'épargne vient [grammaire : « bien que » + subj] d'autrui et la fortune leur est propre [pas très clair…]. Une fille [virgule ?] qui avait l'air d'être fraîchement sortie du lycée [virgule ?] criait les numéros à voix haute, comme les enfants qui chantent à [est-ce qu'on comprend bien de quoi il s'agit ?] la loterie. Lidia se souvint [pour info ; recordar : se rappeler / « acordarse » : se souvenir] des soirées [ou après-lidi ?] au bingo. À cette époque [avec « aquel », il faut ajouter quelque chose], même si elle retirait à peine ses lunettes pour dormir et se doucher, elle pouvait encore distinguer les numéros sur les cartes. Elle baissa la tête [texte ?] pour regarder [texte ?] son petit papier avec son numéro de passage et eût [grammaire] du mal à lire les chiffres. Elle avait honte de demander de l'aide et [« de » ?] poser la question. Elle avait honte d'être là. Elle compta et, de tous les genres [CS], il y avait une vingtaine de personnes avant elle. Elle s'employa à contrôler sa montre toutes les cinq minutes [virgule avant ce type de « jusqu'à »] jusqu'au moment où elle perdit patience, se leva comme elle put et se dirigea vers l'un des bureaux [idem]. Au lieu de l'aider [un moyen de ne pas répéter ?], plusieurs [quoi / qui ?] se plaignirent à voix haute : ce n'est pas parce qu'elle était vieille qu'elle avait plus de droits que les autres.

Unknown a dit…

Le panneau électrique qui indiquait les numéros de passage était cassé, ou bien on ne voulait pas consommer d'électricité. Il y avait dix stands, mais seulement trois employés. Tout semblait indiquer que pour les gérants de la société, et selon le dicton populaire : l'épargne était la base de la fortune. Bien que dans ce cas, l'épargne vienne d'autrui et que la fortune ne profite qu'à eux. Une fille, qui avait l'air d'être fraîchement sortie du lycée, criait les numéros à voix haute, comme les enfants chanteurs de la loterie. Lidia se rappela des après-midi au bingo. À cette époque-là, même si elle retirait à peine ses lunettes pour dormir et se doucher, elle pouvait encore distinguer les numéros sur les cartes. Elle baissa le regard vers son petit papier avec son numéro de passage et eut du mal à lire les chiffres. Elle avait honte de demander de l'aide et de poser la question. Elle avait honte d'être là. Elle compta et, de toute façon, il y avait une vingtaine de personnes avant elle. Elle s'employa à contrôler sa montre toutes les cinq minutes, jusqu'au moment où elle perdit patience, se leva comme elle put et se dirigea vers l'un des stands. Au lieu de lui prêter assistance, plusieurs personnes se plaignirent à voix haute : ce n'est pas parce qu'elle était vieille qu'elle avait plus de droits que les autres.

Tradabordo a dit…

Le panneau électrique qui indiquait les numéros de passage était cassé, ou bien on ne voulait pas consommer d'électricité. Il y avait dix stands [« boxes » / « guichets » ?], mais seulement trois employés. Tout semblait indiquer que pour les gérants de la société, et selon le dicton populaire [je ne trouve pas ça génial… Est-ce que vous ne croyez pas qu'on devrait carrément changer ; genre : les propriétaires adhéraient au dicton…………… Pas plus clair et plus fluide ? Essayez et dites-moi] : l'épargne était la base de la fortune. Bien que dans ce cas, l'épargne vienne d'autrui et que la fortune ne profite qu'à eux. Une fille, qui avait l'air d'être fraîchement sortie du lycée, criait les numéros à voix haute, comme les enfants chanteurs de la loterie. Lidia se rappela des [grammaire : se rappeler quelque chose – pas de DE – et se souvenir DE quelque chose] après-midi au bingo. À cette époque-là, même si elle retirait à peine ses lunettes pour dormir et se doucher, elle pouvait encore distinguer les numéros sur les cartes. Elle baissa le regard vers son petit papier avec son numéro de passage et eut du mal à lire les chiffres. Elle avait honte de demander de l'aide et de poser la question. Elle avait honte d'être là. Elle compta et [non ; le « que » de l'esp. n'est pas anodin], de toute façon, il y avait une vingtaine de personnes avant elle. Elle s'employa à contrôler sa montre toutes les cinq minutes, jusqu'au moment où elle perdit patience, se leva comme elle put et se dirigea vers l'un des stands [idem]. Au lieu de lui prêter assistance, plusieurs personnes se plaignirent à voix haute : ce n'est pas parce qu'elle était vieille qu'elle avait plus de droits que les autres.

Unknown a dit…

Le panneau électrique qui indiquait les numéros de passage était cassé, ou bien on ne voulait pas consommer d'électricité. Il y avait dix guichets, mais seulement trois employés. Tout semblait indiquer que les gérants de la société adhéraient au dicton populaire : l'épargne était [on garde l'imparfait ?] la base de la fortune. Bien que dans ce cas, l'épargne vienne d'autrui et que la fortune ne profite qu'à eux. Une fille, qui avait l'air d'être fraîchement sortie du lycée, criait les numéros à voix haute, comme les enfants chanteurs de la loterie. Lidia se rappela les après-midi au bingo. À cette époque-là, même si elle retirait à peine ses lunettes pour dormir et se doucher, elle pouvait encore distinguer les numéros sur les cartes. Elle baissa le regard vers son petit papier avec son numéro de passage et eut du mal à lire les chiffres. Elle avait honte de demander de l'aide et de poser la question. Elle avait honte d'être là. Elle compta que [c'est bizarre, non ?], de toute façon, il y avait une vingtaine de personnes avant elle. Elle s'employa à contrôler sa montre toutes les cinq minutes, jusqu'au moment où elle perdit patience, se leva comme elle put et se dirigea vers l'un des guichets. Au lieu de lui prêter assistance, plusieurs personnes se plaignirent à voix haute : ce n'est pas parce qu'elle était vieille qu'elle avait plus de droits que les autres.

Tradabordo a dit…

Le panneau électrique qui indiquait les numéros de passage était cassé, ou bien on ne voulait pas consommer d'électricité. Il y avait dix guichets, mais seulement trois employés. Tout semblait indiquer que les gérants de la société adhéraient au dicton populaire : l'épargne était [on garde l'imparfait ? Ah, vous avez raison… ce sera mieux avec la présent, du coup] la base de la fortune. Bien que dans ce cas, l'épargne vienne d'autrui et que la fortune ne profite qu'à eux. Une fille, qui avait l'air d'être fraîchement sortie du lycée, criait les numéros à voix haute, comme les enfants chanteurs de la loterie. Lidia se rappela les après-midi au bingo. À cette époque-là, même si elle retirait à peine ses lunettes pour dormir et se doucher, elle pouvait encore distinguer les numéros sur les cartes. Elle baissa le regard vers son petit papier avec son numéro de passage et eut du mal à lire les chiffres. Elle avait honte de demander de l'aide et de poser la question. Elle avait honte d'être là. Elle compta que [c'est bizarre, non ? « Elle évalua que »], de toute façon, il y avait une vingtaine de personnes avant elle. Elle s'employa à contrôler sa montre toutes les cinq minutes, jusqu'au moment où elle perdit patience, se leva comme elle put et se dirigea vers l'un des guichets. Au lieu de lui prêter assistance, plusieurs personnes se plaignirent à voix haute : ce n'est pas parce qu'elle était vieille qu'elle avait plus de droits que les autres.

Unknown a dit…

Le panneau électrique qui indiquait les numéros de passage était cassé, ou bien on ne voulait pas consommer d'électricité. Il y avait dix guichets, mais seulement trois employés. Tout semblait indiquer que les gérants de la société adhéraient au dicton populaire : l'épargne est la base de la fortune. Bien que dans ce cas, l'épargne vienne d'autrui et que la fortune ne profite qu'à eux. Une fille, qui avait l'air d'être fraîchement sortie du lycée, criait les numéros à voix haute, comme les enfants chanteurs de la loterie. Lidia se rappela les après-midi au bingo. À cette époque-là, même si elle retirait à peine ses lunettes pour dormir et se doucher, elle pouvait encore distinguer les numéros sur les cartes. Elle baissa le regard vers son petit papier avec son numéro de passage et eut du mal à lire les chiffres. Elle avait honte de demander de l'aide et de poser la question. Elle avait honte d'être là. Elle évalua que, de toute façon, il y avait une vingtaine de personnes avant elle. Elle s'employa à contrôler sa montre toutes les cinq minutes, jusqu'au moment où elle perdit patience, se leva comme elle put et se dirigea vers l'un des guichets. Au lieu de lui prêter assistance, plusieurs personnes se plaignirent à voix haute : ce n'est pas parce qu'elle était vieille qu'elle avait plus de droits que les autres.

Tradabordo a dit…

Le panneau électrique qui indiquait les numéros de passage était cassé, ou bien on ne voulait pas consommer d'électricité. Il y avait dix guichets, mais seulement trois employés. Tout semblait indiquer que les gérants de la société adhéraient au dicton populaire : l'épargne est la base de la fortune. Bien que dans ce cas, l'épargne vienne d'autrui et que la fortune ne profite qu'à eux. Une fille, qui avait l'air d'être fraîchement sortie du lycée, criait les numéros à voix haute, comme les enfants chanteurs de la loterie. Lidia se rappela les après-midi au bingo. À cette époque-là, même si elle retirait à peine ses lunettes pour dormir et se doucher, elle pouvait encore distinguer les numéros sur les cartes. Elle baissa le regard vers son petit papier avec son numéro de passage et eut du mal à lire les chiffres. Elle avait honte de demander de l'aide et de poser la question. Elle avait honte d'être là. Elle évalua que, de toute façon, il y avait une vingtaine de personnes avant elle. Elle s'employa à contrôler sa montre toutes les cinq minutes, jusqu'au moment où elle perdit patience, se leva comme elle put et se dirigea vers l'un des guichets. Au lieu de lui prêter assistance, plusieurs personnes se plaignirent à voix haute : ce n'est pas parce qu'elle était vieille qu'elle avait plus de droits que les autres.

OK.