lundi 21 mars 2016

Projet Justine / Elena – texte 14

La caricia

Quizá se debió a un ansia inconsciente de elevarme hasta encontrarte, o a un efecto de la desesperación; el caso es que comencé a volar. Sostener mi cuerpo en el aire, orientarme según los vientos, descubrir en las alturas un presagio de tormenta, fue un aprendizaje arduo, un proceso peligroso que ocupó mi tiempo y dio sentido a mi vida. En las montañas la vista es maravillosa y el silencio casi perfecto. Los cóndores ya no recelan mi presencia; sin embargo, bajo a diario al llano. Visito el camposanto. Recorro con mis yemas las letras de tu nombre.

Traduction temporaire :

La caresse 

Peut-être fut-ce dû à une envie inconsciente de m'élever, jusqu'à te retrouver, ou a un effet du désespoir ; le fait est que je commençai à voler. Maintenir mon corps dans les airs, m'orienter au gré du vent, découvrir dans les hauteurs un présage d'orage fut un apprentissage ardu, un processus dangereux qui occupa mon temps et donna un sens à ma vie. Dans les montagnes, la vue est merveilleuse et le silence presque parfait. Les condors ne craignent plus ma présence ; cependant, je descends tous les jours dans la plaine. Je visite le cimetière. Je parcours les lettres de ton prénom du bout des doigts.

9 commentaires:

Justine a dit…

La caresse

Peut-être est-ce dû à une envie inconsciente de m'élever jusqu'à te retrouver, ou a un effet du désespoir ; le fait est que j'ai commencé à voler. Maintenir mon corps dans les airs, m'orienter en fonction des vents, voir,dans les hauteurs, un présage d'orage a été un apprentissage ardu, un processus dangereux qui a occupé mon temps et donné un sens à ma vie. Dans les montagnes, la vue est merveilleuse et le silence presque parfait. Les condors ne craignent plus ma présence ; cependant, je descends tous les jours dans la plaine. Je visite le cimetière. Je fais courir le bout de mes doigts sur les lettres de ton prénom.

Justine a dit…

La caresse

Peut-être est-ce dû à une envie inconsciente de m'élever jusqu'à te retrouver, ou a un effet du désespoir ; le fait est que j'ai commencé à voler. Maintenir mon corps dans les airs, m'orienter en fonction des vents, voir,dans les hauteurs, un présage d'orage a été un apprentissage ardu, un processus dangereux qui a occupé mon temps et donné un sens à ma vie. Dans les montagnes, la vue est merveilleuse et le silence presque parfait. Les condors ne craignent plus ma présence ; cependant, je descends tous les jours dans la plaine. Je visite le cimetière. Je fais courir le bout de mes doigts sur les lettres de ton prénom.

Tradabordo a dit…

La caresse

Peut-être est-ce dû à une envie inconsciente de m'élever [virgule ?] jusqu'à te retrouver, ou a un effet du désespoir ; le fait est que j'ai commencé à voler. Maintenir mon corps dans les airs [« en l'air » ? Comme tu préfères], m'orienter en fonction des vents, voir[pourquoi pas littéral ?],[pourquoi une virgule ?][espace]dans les hauteurs, [idem ?] un présage d'orage a été un apprentissage ardu, un processus dangereux qui a occupé mon temps et donné un sens à ma vie. Dans les montagnes, la vue est merveilleuse et le silence presque parfait. Les condors ne craignent plus ma présence ; cependant, je descends tous les jours dans la plaine. Je visite le cimetière. Je fais courir le bout de mes doigts sur les lettres de ton prénom.

J'hésite sur PC ou PS.

Justine a dit…

La caresse

Peut-être était-ce dû à une envie inconsciente de m'élever, jusqu'à te retrouver, ou a un effet du désespoir ; le fait est que j'avais commencé à voler. Maintenir mon corps dans les airs, m'orienter en fonction des vents, découvrir dans les hauteurs un présage d'orage avait été un apprentissage ardu, un processus dangereux qui avait occupé mon temps et donné un sens à ma vie. Dans les montagnes, la vue est merveilleuse et le silence presque parfait. Les condors ne craignent plus ma présence ; cependant, je descends tous les jours dans la plaine. Je visite le cimetière. Je fais courir le bout de mes doigts sur les lettres de ton prénom.

Tradabordo a dit…

La caresse

Peut-être était-ce dû à une envie inconsciente de m'élever, jusqu'à te retrouver, ou a un effet du désespoir ; le fait est que j'avais commencé à voler. Maintenir mon corps dans les airs, m'orienter en fonction des vents, découvrir dans les hauteurs un présage d'orage avait été un apprentissage ardu, un processus dangereux qui avait occupé mon temps et donné un sens à ma vie. Dans les montagnes, la vue est merveilleuse et le silence presque parfait. Les condors ne craignent plus ma présence ; cependant, je descends tous les jours dans la plaine. Je visite le cimetière. Je fais courir le bout de mes doigts sur les lettres de ton prénom.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Ma proposition :

La caresse

Peut-être était-ce dû à une envie inconsciente de m'élever, jusqu'à te retrouver, ou a un effet du désespoir ; le fait est que j'avais commencé [Pourquoi du +QP ? Je mettrais du PS..., ou du PC, sinon le présent d'après ne colle pas trop.] à voler. Maintenir mon corps dans les airs, m'orienter en fonction des vents [Au singulier ?], découvrir dans les hauteurs un présage d'orage avait été un apprentissage ardu, un processus dangereux qui avait occupé mon temps et donné un sens à ma vie. Dans les montagnes, la vue est merveilleuse et le silence presque parfait. Les condors ne craignent plus ma présence ; cependant, je descends tous les jours dans la plaine. Je visite le cimetière. Je fais courir le bout de mes doigts sur les lettres de ton prénom. [Ou "Je parcours les lettres de ton prénom du bout des doigts."]

Tradabordo a dit…


La caresse

Peut-être était-ce dû à une envie inconsciente de m'élever, jusqu'à te retrouver, ou a un effet du désespoir ; le fait est que j'avais commencé [Pourquoi du +QP ? Je mettrais du PS..., ou du PC, sinon le présent d'après ne colle pas trop. ///// OK pour le PS] à voler. Maintenir mon corps dans les airs, m'orienter en fonction [« au gré de » ?] des vents [Au singulier ? //// comme on veut], découvrir dans les hauteurs un présage d'orage avait été un apprentissage ardu, un processus dangereux qui avait occupé mon temps et donné un sens à ma vie. Dans les montagnes, la vue est merveilleuse et le silence presque parfait. Les condors ne craignent plus ma présence ; cependant, je descends tous les jours dans la plaine. Je visite le cimetière. Je fais courir le bout de mes doigts sur les lettres de ton prénom. [Ou "Je parcours les lettres de ton prénom du bout des doigts." OK]

Justine a dit…

La caresse

Peut-être fut-ce dû à une envie inconsciente de m'élever, jusqu'à te retrouver, ou a un effet du désespoir ; le fait est que je commençai à voler. Maintenir mon corps dans les airs, m'orienter au gré du vent, découvrir dans les hauteurs un présage d'orage fut un apprentissage ardu, un processus dangereux qui occupa mon temps et donna un sens à ma vie. Dans les montagnes, la vue est merveilleuse et le silence presque parfait. Les condors ne craignent plus ma présence ; cependant, je descends tous les jours dans la plaine. Je visite le cimetière. Je parcours les lettres de ton prénom du bout des doigts.

Tradabordo a dit…

La caresse

Peut-être fut-ce dû à une envie inconsciente de m'élever, jusqu'à te retrouver, ou a un effet du désespoir ; le fait est que je commençai à voler. Maintenir mon corps dans les airs, m'orienter au gré du vent, découvrir dans les hauteurs un présage d'orage fut un apprentissage ardu, un processus dangereux qui occupa mon temps et donna un sens à ma vie. Dans les montagnes, la vue est merveilleuse et le silence presque parfait. Les condors ne craignent plus ma présence ; cependant, je descends tous les jours dans la plaine. Je visite le cimetière. Je parcours les lettres de ton prénom du bout des doigts.

OK.