jeudi 31 mars 2016

Projet Justine / Marion – phrases 107-119

O contaba que en la alcantarilla de la esquina de la iglesia se asomaba un hombre con la cara pintada de blanco, y decía que había que tener cuidado porque, a veces, sacaba las manos y atrapaba los tobillos. Es pecado escuchar y contar historias así, en la iglesia nos prohíben las películas y los cuentos de terror. Celeste se confesaba cada vez que veía algo y su mamá la castigaba con el armario. La encerraba. El armario, adentro, tenía una pintura de Satanás, con cabeza de perro y ojos rojos; eso me contó Celeste. La pintura estaba iluminada por una lamparita y el armario era muy chico, nunca podía estar cómoda, siempre se contracturaba o le hormigueaban las piernas hasta que no las sentía más. El castigo duraba hasta que su mamá lo decidía, la encerraba con llave. El armario es un castigo común en el Culto, pero mis papás piensan que no sirve. Y creo que tienen razón. El problema con Celeste era que no paraba de contar historias porque, según ella, no las inventaba. Ella veía cosas de verdad. Pero el desastre fue cuando empezó con lo de la casa abandonada de su barrio. Decía que estaba embrujada.

Traduction temporaire :
Ou elle racontait que dans la bouche d’égout au coin de l'église apparaissait un homme au visage peint en blanc, ajoutant qu'il fallait faire attention parce que, parfois, il sortait les mains et attrapait les chevilles. On commet un péché si on écoute ou qu'on répète des histoires pareilles. À l'église, on nous interdit les films et les nouvelles d'horreur. Après chacune de ses visions, Celeste se confessait et sa maman lui infligeait la punition de l'armoire. Elle l'y enfermait. À l'intérieur, il y avait un portrait de Satan, avec une tête de chien et les yeux rouges, ces détails m'ont été donnés par Celeste. Le tableau était éclairé par une petite lampe et l'armoire était minuscule, elle n'y était jamais à son aise, elle avait toujours des contractures ou des fourmis dans les jambes, qu'elle finissait par ne plus sentir. La punition durait jusqu'à ce que sa mère décide de la lever, du coup, elle l'enfermait à clé. L'armoire était un châtiment courant au sein du Culte, mais mes parents pensent que ça sert à rien. Et je crois qu'ils ont raison. Le problème avec Celeste, c'était qu'elle n'arrêtait pas de raconter des histoires, qu'elle n'inventait pas, selon elle. Elle avait vraiment des visions. Mais le désastre se produisit quand elle commença à évoquer la maison abandonnée de son quartier. Elle prétendait qu'elle était ensorcelée.

4 commentaires:

Justine a dit…

Ou elle racontait que de la bouche d’égout au coin de l'église, jaillissait un homme au visage maquillé de blanc, et elle ajoutait qu'il fallait faire attention parce que, parfois, il sortait les mains et attrapait les chevilles. C'est péché d'écouter et de répéter des histoires pareilles, à l'église, on nous interdit les films et les nouvelles d'horreur. À chacune de ses visions, Celeste se confessait et sa maman lui infligeait la punition de l'armoire. Elle l'y enfermait. À l'intérieur, il y avait une peinture de Satan, avec une tête de chien et les yeux rouges ; voilà ce que Celeste m'a rapporté. Le tableau était éclairé par une petite lampe et l'armoire était minuscule, elle n'y était jamais à son aise, elle avait toujours des contractures ou des fourmis dans les jambes, qu'elle finissait par ne plus sentir. La punition durait jusqu'à ce que sa mère décide de la lever, elle l'enfermait à clé. L'armoire était un châtiment courant au sein du Culte, mais mes parents pensent que ça sert à rien. Et je crois qu'ils ont raison. Le problème avec Celeste, elle n'arrêtait pas de raconter des histoires parce que, d'après elle, elle ne les inventait pas. Elle avait vraiment des visions. Mais le désastre se produisit quand elle commença à évoquer la maison abandonnée de son quartier. Elle déclarait qu'elle était ensorcelée.

Tradabordo a dit…

Ou elle racontait que de la bouche d’égout au coin de l'église, [la virgule ?] jaillissait [sûre ?] un homme au visage maquillé [texte ?] de blanc, et elle ajoutait [« ajoutant » ?] qu'il fallait faire attention parce que, parfois, il sortait les mains et attrapait les chevilles. C'est péché d'écouter et de répéter des histoires pareilles, [point ?] à l'église, on nous interdit les films et les nouvelles d'horreur. À [« Après » ?] chacune de ses visions, Celeste se confessait et sa maman lui infligeait la punition de l'armoire. Elle l'y enfermait. À l'intérieur, il y avait une peinture [bof] de Satan, avec une tête de chien et les yeux rouges ; voilà ce que Celeste m'a rapporté. Le tableau était éclairé par une petite lampe et l'armoire était minuscule, elle n'y était jamais à son aise, elle avait toujours des contractures ou des fourmis dans les jambes, qu'elle finissait par ne plus sentir. La punition durait jusqu'à ce que sa mère décide de la lever, elle l'enfermait à clé [le lien logique n'est pas assez souligné]. L'armoire était un châtiment courant au sein du Culte, mais mes parents pensent que ça sert à rien. Et je crois qu'ils ont raison. Le problème avec Celeste, elle [enchaînement pas très réussi] n'arrêtait pas de raconter des histoires parce que, d'après elle, elle ne les inventait pas [l'ensemble n'est pas très naturel]. Elle avait vraiment des visions. Mais le désastre se produisit quand elle commença à évoquer la maison abandonnée de son quartier. Elle déclarait [« prétendait » ?] qu'elle était ensorcelée.

Justine a dit…

Ou elle racontait que dans la bouche d’égout au coin de l'église apparaissait un homme au visage peint en blanc, ajoutant qu'il fallait faire attention parce que, parfois, il sortait les mains et attrapait les chevilles. On commet un péché si on écoute ou qu'on répète des histoires pareilles. À l'église, on nous interdit les films et les nouvelles d'horreur. Après chacune de ses visions, Celeste se confessait et sa maman lui infligeait la punition de l'armoire. Elle l'y enfermait. À l'intérieur, il y avait un portrait de Satan, avec une tête de chien et les yeux rouges, ces détails m'ont été donnés par Celeste. Le tableau était éclairé par une petite lampe et l'armoire était minuscule, elle n'y était jamais à son aise, elle avait toujours des contractures ou des fourmis dans les jambes, qu'elle finissait par ne plus sentir. La punition durait jusqu'à ce que sa mère décide de la lever, du coup, elle l'enfermait à clé. L'armoire était un châtiment courant au sein du Culte, mais mes parents pensent que ça sert à rien. Et je crois qu'ils ont raison. Le problème avec Celeste, c'était qu'elle n'arrêtait pas de raconter des histoires, qu'elle n'inventait pas, selon elle. Elle avait vraiment des visions. Mais le désastre se produisit quand elle commença à évoquer la maison abandonnée de son quartier. Elle prétendait qu'elle était ensorcelée.

Tradabordo a dit…

Ou elle racontait que dans la bouche d’égout au coin de l'église apparaissait un homme au visage peint en blanc, ajoutant qu'il fallait faire attention parce que, parfois, il sortait les mains et attrapait les chevilles. On commet un péché si on écoute ou qu'on répète des histoires pareilles. À l'église, on nous interdit les films et les nouvelles d'horreur. Après chacune de ses visions, Celeste se confessait et sa maman lui infligeait la punition de l'armoire. Elle l'y enfermait. À l'intérieur, il y avait un portrait de Satan, avec une tête de chien et les yeux rouges, ces détails m'ont été donnés par Celeste. Le tableau était éclairé par une petite lampe et l'armoire était minuscule, elle n'y était jamais à son aise, elle avait toujours des contractures ou des fourmis dans les jambes, qu'elle finissait par ne plus sentir. La punition durait jusqu'à ce que sa mère décide de la lever ; du coup, elle l'enfermait à clé. L'armoire était un châtiment courant au sein du Culte, mais mes parents pensent que ça sert à rien. Et je crois qu'ils ont raison. Le problème avec Celeste, c'était qu'elle n'arrêtait pas de raconter des histoires, qu'elle n'inventait pas, selon elle. Elle avait vraiment des visions. Mais le désastre se produisit quand elle commença à évoquer la maison abandonnée de son quartier. Elle prétendait qu'elle était ensorcelée.

OK.