mercredi 30 mars 2016

Projet Johanna – phrases 208-215

No avanza sin embargo más de dos metros cuando algo, de golpe, lo paraliza. Inyectados los ojos, su tez se torna blanca como el más puro marfil. Cae arrodillado, arquea el cuerpo y oprime su vientre de manera violenta. Líneas de sudor comienzan a resbalar por su rostro. Su cuerpo tirita. El perro chusco ladra despavorido, y para esto la niña ya se ha levantado del suelo y se ha detenido junto a su hermano. Al verla, Julio lanza un grito de dolor que produce que la madre salga corriendo al patio.
–¡Julio, hijo, qué te sucede! –grita.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

9 commentaires:

Delorme Johanna a dit…

Il n'avance cependant pas plus de deux mètres quand quelque chose, d'un coup, le paralyse. Les yeux rouges, son teint devient aussi blanc que le plus pure ivoire. Il tombe à genoux, courbe son corps et presse son ventre violemment. Des gouttes de sueurs commencent à glisser de son visage. Son corps grelotte. Le chien rigolo aboie épouvanté, et pour cela la fillette s'est relevé du sol et s'est tenu à côté de son frère. En la voyant, Julio lance un crie de douleur qui fait que la mère sort en courant dans le patio.
— Julio, fiston, qu'est-ce qui t'arrive ! crie-t-elle.

Tradabordo a dit…

Dans l'ensemble, tout cela manque de fluidité ; reprenez.

Delorme Johanna a dit…

Cependant il n'avance pas plus de deux mètres quand tout à coup quelque chose le paralyse. Ses yeux sont rouges, son teint devient aussi blanc que l'ivoire le plus pure. Il tombe à genoux, courbe son corps et presse violemment son ventre. Des gouttes de sueurs commencent à couler sur son visage. Son corps tremble. Le chien rigolo aboie épouvanté, et à cause de cela la fillette s'est relevé du sol et s'est tenu à côté de son frère. En la voyant, Julio lance un cri de douleur de manière à ce que la mère sorte en courant dans le patio.
— Julio, fiston, qu'est-ce qui t'arrive ! crie-t-elle.

Delorme Johanna a dit…

Bonjour, avez-vous reçu ma nouvelle proposition ?

Tradabordo a dit…

Cependant [virgule] il n'avance pas plus de [syntaxe ?] deux mètres quand [virgule] tout à coup [des tirets ? Vérifiez] quelque chose le paralyse.

On va avancer progressivement. Faites déjà ça.


Ses yeux sont rouges, son teint devient aussi blanc que l'ivoire le plus pure. Il tombe à genoux, courbe son corps et presse violemment son ventre. Des gouttes de sueurs commencent à couler sur son visage. Son corps tremble. Le chien rigolo aboie épouvanté, et à cause de cela la fillette s'est relevé du sol et s'est tenu à côté de son frère. En la voyant, Julio lance un cri de douleur de manière à ce que la mère sorte en courant dans le patio.
— Julio, fiston, qu'est-ce qui t'arrive ! crie-t-elle.

Delorme Johanna a dit…

Cependant, il ne fit pas deux mètres quand, tout à coup quelque chose le paralyse.

On va avancer progressivement. Faites déjà ça.


Ses yeux sont rouges, son teint devient aussi blanc que l'ivoire le plus pure. Il tombe à genoux, courbe son corps et presse violemment son ventre. Des gouttes de sueurs commencent à couler sur son visage. Son corps tremble. Le chien rigolo aboie épouvanté, et à cause de cela la fillette s'est relevé du sol et s'est tenu à côté de son frère. En la voyant, Julio lance un cri de douleur de manière à ce que la mère sorte en courant dans le patio.
— Julio, fiston, qu'est-ce qui t'arrive ! crie-t-elle.

Tradabordo a dit…

No avanza sin embargo más de dos metros cuando algo, de golpe, lo paraliza. Inyectados los ojos, su tez se torna blanca como el más puro marfil. Cae arrodillado, arquea el cuerpo y oprime su vientre de manera violenta. Líneas de sudor comienzan a resbalar por su rostro. Su cuerpo tirita. El perro chusco ladra despavorido, y para esto la niña ya se ha levantado del suelo y se ha detenido junto a su hermano. Al verla, Julio lanza un grito de dolor que produce que la madre salga corriendo al patio.
–¡Julio, hijo, qué te sucede! –grita.

Cependant, il ne fit [temps] pas deux mètres quand, tout à coup [virgule] quelque chose le paralyse. Ses yeux sont rouges [texte], son teint devient aussi blanc que l'ivoire le plus pure. Il tombe à genoux, courbe [bof ; pas très bien ici] son corps et presse [mal dit] violemment son ventre.

Delorme Johanna a dit…

Cependant, il ne fait pas deux mètres quand, tout à coup, quelque chose le paralyse. Ses yeux injectés, son teint devient aussi blanc que l'ivoire le plus pure. Il tombe à genoux, cambre son corps et comprime violemment son ventre.

Tradabordo a dit…

Cependant, il ne fait pas deux mètres quand, tout [un moyen d'éviter « tout » ? Dommage d'en gaspiller un pour si peu] à coup, quelque chose le paralyse. Ses [sans possessif] yeux injectés [est-ce qu'on ajoute « de sang » ? Votre avis ?], son teint devient aussi blanc que l'ivoire le plus pure [grammaire]. Il tombe à genoux, cambre son corps et comprime [« serre » ?] violemment son ventre.