lundi 28 mars 2016

Projet Hélène / Audrey – phrases 48-54

Mi casa quedaba a dos cuadras de la escuela, por lo que era siempre la primera en llegar. Desde segundo grado yo iba y regresaba sola. Sin embargo, hacía unos meses prefería aguardar a que mi padre me dejara en el colegio de camino a su trabajo. Mi familia atribuía el cambio al reciente nacimiento de mi hermana, cuando en realidad la causa era el temor que me inspiraba encontrarme con un mendigo que merodeaba por el barrio, un anciano horrible, que al verme sola se frotaba la pelvis y pronunciaba frases obscenas. Un día decidí arriesgarme y no esperé a mi padre. La niña polaca era la nueva estrella de la puntualidad y yo quería ganarle. Llegué al colegio en dos minutos. Fue en vano, al entrar al salón, Rutka se hallaba instalada en su pupitre, con la cara metida en las páginas de un libro.

Traduction temporaire :
Vivant à deux pâtés de maisons de l'école, j'étais toujours la première arrivée. À partir de la primaire, je fis les trajets seule. Néanmoins, depuis quelques mois, je préférais attendre que mon père me dépose sur le chemin de son travail. Ma famille attribuait ce changement à la récente naissance de ma sœur, alors qu'en réalité, cela était lié à la crainte que m'avait inspirée la rencontre avec un mendiant qui rôdait dans le quartier, un vieillard horrible, qui, lorsqu'il me voyait seule, se frottait l'entrejambe et proférait des phrases obscènes. Un jour, je décidai de me risquer et je n'attendis pas mon père. La jeune Polonaise était devenue un as de la ponctualité et je voulais la battre. Je regagnais l'école en deux minutes. En vain, car lorsque j'entrai dans la salle de classe, Rutka était là, installée à son pupitre, plongée dans les pages d'un livre.

7 commentaires:

Audrey a dit…

Je vivais à deux pâtés de maisons de l'école, j'étais donc toujours la première arrivée. Depuis la primaire, je faisais les trajets toute seule. Néanmoins, depuis quelques mois, je préférais attendre que mon père me dépose, quand il partait travailler. Ma famille attribuait ce changement à la naissance toute récente de ma sœur alors qu'en réalité, c'était à cause de la crainte inspirée par la rencontre avec un mendiant qui rôdait dans le quartier, un vieillard horrible qui, lorsqu'il me voyait seule, se frottait l'entrejambe et prononçait des phrases obscènes. Un jour, je décidai de prendre le risque et je n'attendis pas mon père. La jeune polonaise était devenue une vedette de la ponctualité et je voulais la battre. J'arrivai à l'école en deux minutes. En vain, car lorsque j'entrai dans la salle de classe, Rutka était là, installée à son pupitre, plongée dans les pages d'un livre.

Tradabordo a dit…

Je vivais [« Vivant » ? Ça évitera le « donc » d'après ; mais c'est comme vous voulez…] à deux pâtés de maisons de l'école, j'étais donc toujours la première arrivée. Depuis la primaire [sûre ? Je ne dis pas que c'est faux…………], je faisais les trajets toute [dommage de gaspiller un « tout » pour si peu ;-) D'autant que vous en avez un juste après] seule. Néanmoins, depuis quelques mois, je préférais attendre que mon père me dépose, [la virgule ?] quand il partait [pas possible d'être plus près de la V.O. ?] travailler. Ma famille attribuait ce changement à la naissance toute [nécessaire ?] récente de ma sœur [virgule] alors qu'en réalité, c'était [un moyen de faire sans « c'est » / « c'était » ? « cela tenait » « cela était lié » ? Un peu une facilité de traduction de « c'est » / « c'était »] à cause de la crainte inspirée par [naturel ? Avec le verbe ?] la rencontre avec un mendiant qui rôdait dans le quartier, un vieillard horrible qui, lorsqu'il me voyait seule, se frottait l'entrejambe et prononçait [naturel ici ?] des phrases obscènes. Un jour, je décidai de prendre le risque [naturel ? J'hésite…] et je n'attendis pas mon père. La jeune polonaise [maj] était devenue une vedette de la ponctualité et je voulais la battre. J'arrivai [un moyen de ne pas répéter ?] à l'école en deux minutes. En vain, car lorsque j'entrai dans la salle de classe, Rutka était là, installée à son pupitre, plongée dans les pages d'un livre.

Hélène a dit…

Vivant à deux pâtés de maisons de l'école, j'étais toujours la première arrivée. Dès [pour éviter la répétition avec "depuis" dans la phrase suivante] la primaire [sûre ? Je ne dis pas que c'est faux………… // Je suis d'accord avec Audrey], je faisais les trajets seule. Néanmoins, depuis quelques mois, je préférais attendre que mon père me dépose sur le chemin de son travail. Ma famille attribuait ce changement à la récente naissance de ma sœur, alors qu'en réalité, cela était lié à la crainte que m'avait inspiré la rencontre avec un mendiant qui rôdait dans le quartier, un vieillard horrible qui, lorsqu'il me voyait seule, se frottait l'entrejambe et proférait des phrases obscènes. Un jour, je décidai de m'aventurer et je n'attendis pas mon père. La jeune Polonaise était devenue une vedette ["un as" ?] de la ponctualité et je voulais la battre. Je regagnais l'école en deux minutes. En vain, car lorsque j'entrai dans la salle de classe, Rutka était là, installée à son pupitre, plongée dans les pages d'un livre.

Audrey, peux-tu confirmer le précédent commentaire avant qu'on l'oublie ; je suis restée bloquée dessus. Merci :-)

Tradabordo a dit…

Vivant à deux pâtés de maisons de l'école, j'étais toujours la première arrivée. Dès la primaire, je faisais [temps ? Je trouve que c'est quand même bizarre… Ou alors c'est le « dès » – « à partir de »… Je ne sais pas ; regardez ça] les trajets seule. Néanmoins, depuis quelques mois, je préférais attendre que mon père me dépose sur le chemin de son travail. Ma famille attribuait ce changement à la récente naissance de ma sœur, alors qu'en réalité, cela était lié à la crainte que m'avait inspiré [grammaire ?] la rencontre avec un mendiant qui rôdait dans le quartier, un vieillard horrible, qui, lorsqu'il me voyait seule, se frottait l'entrejambe et proférait des phrases obscènes. Un jour, je décidai de m'aventurer [bof] et je n'attendis pas mon père. La jeune Polonaise était devenue une vedette ["un as" ? OK] de la ponctualité et je voulais la battre. Je regagnais l'école en deux minutes. En vain, car lorsque j'entrai dans la salle de classe, Rutka était là, installée à son pupitre, plongée dans les pages d'un livre.

Hélène a dit…

Vivant à deux pâtés de maisons de l'école, j'étais toujours la première arrivée. À partir de la primaire, je fis [temps ? Je trouve que c'est quand même bizarre… Ou alors c'est le « dès » – « à partir de »… Je ne sais pas ; regardez ça // Tu as raison ; que ce soit avec "dès" ou "à partir", le plus logique est de trouver ensuite un passé simple. Maintenant, la question est : peut-on justifier un changement de temps par la nécessité de ne pas répéter "depuis" ?] les trajets seule. Néanmoins, depuis quelques mois, je préférais attendre que mon père me dépose sur le chemin de son travail. Ma famille attribuait ce changement à la récente naissance de ma sœur, alors qu'en réalité, cela était lié à la crainte que m'avait inspirée la rencontre avec un mendiant qui rôdait dans le quartier, un vieillard horrible, qui, lorsqu'il me voyait seule, se frottait l'entrejambe et proférait des phrases obscènes. Un jour, je décidai de me risquer et je n'attendis pas mon père. La jeune Polonaise était devenue un as de la ponctualité et je voulais la battre. Je regagnais l'école en deux minutes. En vain, car lorsque j'entrai dans la salle de classe, Rutka était là, installée à son pupitre, plongée dans les pages d'un livre.

Tradabordo a dit…

Vivant à deux pâtés de maisons de l'école, j'étais toujours la première arrivée. À partir de la primaire, je fis les trajets seule. Néanmoins, depuis quelques mois, je préférais attendre que mon père me dépose sur le chemin de son travail. Ma famille attribuait ce changement à la récente naissance de ma sœur, alors qu'en réalité, cela était lié à la crainte que m'avait inspirée la rencontre avec un mendiant qui rôdait dans le quartier, un vieillard horrible, qui, lorsqu'il me voyait seule, se frottait l'entrejambe et proférait des phrases obscènes. Un jour, je décidai de me risquer et je n'attendis pas mon père. La jeune Polonaise était devenue un as de la ponctualité et je voulais la battre. Je regagnais l'école en deux minutes. En vain, car lorsque j'entrai dans la salle de classe, Rutka était là, installée à son pupitre, plongée dans les pages d'un livre.

OK.

Audrey ?

Audrey a dit…

Ok pour moi!