jeudi 24 mars 2016

Projet Medea / Iris – phrases 156-159


De pronto el monarca sintió que el piso faltaba bajo sus pies. Agitó los brazos buscando un punto de apoyo y dos manos estrecharon las suyas sosteniéndolo amorosamente. Aquellas manos eran duras y ásperas, tal vez pertenecían a un siervo o a un esclavo, y su primer impulso fue rechazarlas con horror; mas, estaban tan yertas, tan heladas, había tanta ternura en su sencillo ademán, que un sentimiento desconocido hizo que devolviera aquella presión. Sintió, entonces, que penetraba en él un fluido misterioso, ante el cual el hielo de sus entrañas, empezó a fundirse como la escarcha al beso del sol, desbordándose súbitamente de su corazón, cual si se volcase el recipiente de un mar, el raudal flamígero cuyo curso marcan en el infinito los ortos y los ocasos.

Traduction temporaire :
Brusquement, le monarque sentit le sol se dérober sous ses pieds. Il agita les bras, cherchant un point d'appui, et deux mains serrèrent les siennes, le tenant amoureusement. Ces mains étaient dures et rugueuses, peut-être appartenaient-elles à un serviteur ou a un esclave, et sa première impulsion fut de les repousser avec horreur. Néanmoins, elles étaient si rigides, si gelées, il y avait tant de tendresse dans ce simple geste, qu'un sentiment inconnu fit qu'il rendit cette pression. Il sentit alors un fluide mystérieux pénétrer en lui, sous lequel ses entrailles glacées commencèrent à fondre, tel le givre avec un baiser du soleil, débordant subitement de son cœur, comme si le récipient d'une mer se renversait, le lever et le coucher du soleil marquent à l'infini le cours du torrent flamboyant.

9 commentaires:

Medea a dit…

Brusquement, le monarque sentit qu'il manquait le sol sous ses pieds.Il agita les bras, cherchant un point d'appui, et deux mains serrèrent les siennes, les tenant amoureusement. Ces mains étaient dures et rugueuses, peut-être appartenaient-elles à un serviteur ou a un esclave, et sa première impulsion fut de les repousser avec horreur. Néanmoins, elles étaient si rigides, si gelées, il y avait tant de tendresse dans ce simple geste, qu'un sentiment inconnu fit qu'il reprit cette pression. Il sentit alors en lui un fluide mystérieux, devant lequel, ses entrailles gelées commencèrent à fondre tel le givre au contact du soleil, [je voulais couper la phrase ici et mettre un point car je la trouve trop longue et difficile à comprendre, mais j'ai l'impression qu'on peut pas la couper ici ?] débordant subitement de son cœur, comme si le récipient d'une mer se renversait, le torrent flamboyant, dont le cours marquent à l'infini le lever et le coucher du soleil [ j'ai eu beaucoup de mal avec cette phrase].

Medea a dit…

Brusquement, le monarque sentit qu'il manquait le sol sous ses pieds.Il agita les bras, cherchant un point d'appui, et deux mains serrèrent les siennes, les tenant amoureusement. Ces mains étaient dures et rugueuses, peut-être appartenaient-elles à un serviteur ou a un esclave, et sa première impulsion fut de les repousser avec horreur. Néanmoins, elles étaient si rigides, si gelées, il y avait tant de tendresse dans ce simple geste, qu'un sentiment inconnu fit qu'il reprit cette pression. Il sentit alors en lui un fluide mystérieux, devant lequel, ses entrailles gelées commencèrent à fondre tel le givre au contact du soleil, [je voulais couper la phrase ici et mettre un point car je la trouve trop longue et difficile à comprendre, mais j'ai l'impression qu'on peut pas la couper ici ?] débordant subitement de son cœur, comme si le récipient d'une mer se renversait, le torrent flamboyant, dont le cours marquent à l'infini le lever et le coucher du soleil [ j'ai eu beaucoup de mal avec cette phrase].

Tradabordo a dit…

Brusquement [« Soudain » ?], le monarque sentit qu'il manquait le sol sous ses pieds[très mal dit ; il y a un verbe qu'on utilise généralement pour dire cela / vous cherchez ou vous donnez votre langue au chat ? ;-)].[espace]Il agita les bras, cherchant un point d'appui, et deux mains serrèrent les siennes, les [texte] tenant amoureusement. Ces mains étaient dures et rugueuses, peut-être appartenaient-elles à un serviteur ou a un esclave, et sa première impulsion fut de les repousser avec horreur. Néanmoins, elles étaient si rigides, si gelées, il y avait tant de tendresse dans ce simple geste, qu'un sentiment inconnu fit qu'il reprit [FS] cette pression. Il sentit alors [« penetrar » ici] en lui un fluide mystérieux, devant [« sous » ici] lequel, [sans la virgule] ses entrailles gelées [vous en avez déjà un] commencèrent à fondre [virgule] tel le givre au contact [texte] du soleil, débordant subitement de son cœur, comme si le récipient d'une mer se renversait, le torrent flamboyant, [sans la virgule] dont le cours marquent à l'infini le lever et le coucher du soleil [ j'ai eu beaucoup de mal avec cette phrase //// qui est le sujet de ce verbe au pluriel ?].

Medea a dit…

Soudain [j'ai l'impression on a beaucoup utilisé "soudain", ce n'est pas grave ?], le monarque sentit que le sol se dérobait sous ses pieds[très mal dit ; il y a un verbe qu'on utilise généralement pour dire cela / vous cherchez ou vous donnez votre langue au chat ? ;-) // Si c'est pas ça, je donne ma langue au chat oui :o]. Il agita les bras, cherchant un point d'appui, et deux mains serrèrent les siennes, le tenant amoureusement. Ces mains étaient dures et rugueuses, peut-être appartenaient-elles à un serviteur ou a un esclave, et sa première impulsion fut de les repousser avec horreur. Néanmoins, elles étaient si rigides, si gelées, il y avait tant de tendresse dans ce simple geste, qu'un sentiment inconnu fit qu'il rendit cette pression. Il sentit alors un fluide mystérieux qui pénétrait en lui, sous lequel ses entrailles glacées commencèrent à fondre, tel le givre avec un baiser du soleil, débordant subitement de son cœur, comme si le récipient d'une mer se renversait, le torrent flamboyant dont le cours marquent à l'infini le lever et le coucher du soleil [qui est le sujet de ce verbe au pluriel ? // "le lever et le coucher du soleil" ?].

Tradabordo a dit…

Soudain [j'ai l'impression on a beaucoup utilisé "soudain", ce n'est pas grave ? Oui, vous avez raison d'anticiper ; remettez votre adverbe en « -ment »], le monarque sentit que le sol se dérobait [infinitif, du coup] sous ses pieds. Il agita les bras, cherchant un point d'appui, et deux mains serrèrent les siennes, le tenant amoureusement. Ces mains étaient dures et rugueuses, peut-être appartenaient-elles à un serviteur ou a un esclave, et sa première impulsion fut de les repousser avec horreur. Néanmoins, elles étaient si rigides, si gelées, il y avait tant de tendresse dans ce simple geste, qu'un sentiment inconnu fit qu'il rendit cette pression. Il sentit alors un fluide mystérieux qui pénétrait [infinitif ?] en lui, sous lequel ses entrailles glacées commencèrent à fondre, tel le givre avec un baiser du soleil, débordant subitement de son cœur, comme si le récipient d'une mer se renversait, le torrent flamboyant dont le cours marquent à l'infini le lever et le coucher du soleil [qui est le sujet de ce verbe au pluriel ? // "le lever et le coucher du soleil" ? Oui = los ortos y los ocasos].

Medea a dit…

Brusquement, le monarque sentit que le sol se dérober [infinitif, du coup //pourquoi met-on un infinitif ?] sous ses pieds. Il agita les bras, cherchant un point d'appui, et deux mains serrèrent les siennes, le tenant amoureusement. Ces mains étaient dures et rugueuses, peut-être appartenaient-elles à un serviteur ou a un esclave, et sa première impulsion fut de les repousser avec horreur. Néanmoins, elles étaient si rigides, si gelées, il y avait tant de tendresse dans ce simple geste, qu'un sentiment inconnu fit qu'il rendit cette pression. Il sentit alors un fluide mystérieux qui pénétrer [infinitif ? // comme ça ?] en lui, sous lequel ses entrailles glacées commencèrent à fondre, tel le givre avec un baiser du soleil, débordant subitement de son cœur, comme si le récipient d'une mer se renversait, le lever et le coucher du soleil marquent à l'infini le cours du torrent flamboyant.

Tradabordo a dit…

Brusquement, le monarque sentit que le sol se dérober [infinitif, du coup //pourquoi met-on un infinitif ? Il faut supprimer le « que »placé avant… Ça évite justement des lourdeur] sous ses pieds. Il agita les bras, cherchant un point d'appui, et deux mains serrèrent les siennes, le tenant amoureusement. Ces mains étaient dures et rugueuses, peut-être appartenaient-elles à un serviteur ou a un esclave, et sa première impulsion fut de les repousser avec horreur. Néanmoins, elles étaient si rigides, si gelées, il y avait tant de tendresse dans ce simple geste, qu'un sentiment inconnu fit qu'il rendit cette pression. Il sentit alors un fluide mystérieux qui pénétrer [infinitif ? // comme ça ? ///// Non : sans le « qui », là aussi] en lui, sous lequel ses entrailles glacées commencèrent à fondre, tel le givre avec un baiser du soleil, débordant subitement de son cœur, comme si le récipient d'une mer se renversait, le lever et le coucher du soleil marquent à l'infini le cours du torrent flamboyant.

Medea a dit…

Ah d'accord j'ai compris, merci :-)

Brusquement, le monarque sentit le sol se dérober sous ses pieds. Il agita les bras, cherchant un point d'appui, et deux mains serrèrent les siennes, le tenant amoureusement. Ces mains étaient dures et rugueuses, peut-être appartenaient-elles à un serviteur ou a un esclave, et sa première impulsion fut de les repousser avec horreur. Néanmoins, elles étaient si rigides, si gelées, il y avait tant de tendresse dans ce simple geste, qu'un sentiment inconnu fit qu'il rendit cette pression. Il sentit alors un fluide mystérieux pénétrer en lui, sous lequel ses entrailles glacées commencèrent à fondre, tel le givre avec un baiser du soleil, débordant subitement de son cœur, comme si le récipient d'une mer se renversait, le lever et le coucher du soleil marquent à l'infini le cours du torrent flamboyant.

Tradabordo a dit…

Brusquement, le monarque sentit le sol se dérober sous ses pieds. Il agita les bras, cherchant un point d'appui, et deux mains serrèrent les siennes, le tenant amoureusement. Ces mains étaient dures et rugueuses, peut-être appartenaient-elles à un serviteur ou a un esclave, et sa première impulsion fut de les repousser avec horreur. Néanmoins, elles étaient si rigides, si gelées, il y avait tant de tendresse dans ce simple geste, qu'un sentiment inconnu fit qu'il rendit cette pression. Il sentit alors un fluide mystérieux pénétrer en lui, sous lequel ses entrailles glacées commencèrent à fondre, tel le givre avec un baiser du soleil, débordant subitement de son cœur, comme si le récipient d'une mer se renversait, le lever et le coucher du soleil marquent à l'infini le cours du torrent flamboyant.

OK.

Allez, j'enregistre tout ça… Le texte est prêt. Oublié de vous dire dans mon message précédent : quand vous vérifierez avec la V.O. pour vous assurer qu'il ne manque pas une phrase ici ou là, profitez-en pour remettre la mise en page initiale.