mercredi 23 mars 2016

Projet Hadjer – phrases 94-101

—Pinto sonrisas desde niño, mencionó David. Creerá que estoy loco. Que el gurú, del que tanto hablan los medios de comunicación y la Fiscalía, es un simple charlatán. Pero al leer la novela de su hijo y al conversar con Julia Foster, o mejor dicho con el Querido Tartaja, mis dudas se disiparon. Su hijo, al igual que yo, era un fanático de las obras de misterio. Observe mi librería y encontrará los mismos libros que leía su hijo. He comparado el expediente detallado que me entregó la Fiscalía donde citan los libros de su hijo, con mi catálogo personal.
Nuevamente el gurú hablaba en pasado, como si supiera qué criatura saboreaba los huesos del aspirante a novelista.

Traduction temporaire :
— Je peins des sourires depuis que je suis enfant. Vous allez croire que je suis fou. Que le gourou dont parlent tant les médias et le Parquet est un simple charlatan. Mais en lisant le roman de votre fils et en discutant avec Julia Foster, ou plutôt Ce Cher Bredouilleur, mes doutes se sont dissipés. Votre fils, tout comme moi, était un amateur de romans d’horreur. Regardez ma bibliothèque, vous y trouverez les mêmes livres que ceux qu'il lisait. J’ai comparé le dossier détaillé que le Parquet m’a remis où les livres de votre fils sont cités, avec mon catalogue personnel.

De nouveau, le gourou parlait au passé, comme s'il savait quelle créature savourait les os de l’aspirant romancier.

5 commentaires:

Unknown a dit…

— Je peins des sourires depuis que je suis enfant. Vous allez croire que je suis fou. Que le gourou, dont parlent tant les médias et le Parquet, est un simple charlatan. Mais en lisant le roman de votre fils et en discutant avec Julia Foster, ou plutôt Ce Cher Bredouilleur, mes doutes se sont dissipés. Votre fils, tout comme moi, était un amateur de romans d’horreur. Regardez ma bibliothèque, vous y trouverez les mêmes livres que lisait votre enfant. J’ai comparé le dossier détaillé que le Parquet m’a remis où les livres de votre fils sont cités, avec mon catalogue personnel.
De nouveau, le gourou parlait au passé, comme s'il savait quelle créature savourait les os de l’aspirant romancier.

Tradabordo a dit…

— Je peins des sourires depuis que je suis enfant. Vous allez croire que je suis fou. Que le gourou, [j'hésite pour la virgule] dont parlent tant les médias et le Parquet, [idem ? Faites comme vous voulez…] est un simple charlatan. Mais en lisant le roman de votre fils et en discutant avec Julia Foster, ou plutôt Ce Cher Bredouilleur, mes doutes se sont dissipés. Votre fils, tout comme moi, était un amateur de romans d’horreur [est-ce comme cela que vous l'avez traduit avant ? Vérifiez… et si ça n'est pas le cas, il faudra penser à harmoniser]. Regardez ma bibliothèque, vous y trouverez les mêmes livres que [cheville : « que ceux que »] lisait votre enfant [vous l'avez déjà au début]. J’ai comparé le dossier détaillé que le Parquet m’a remis où les livres de votre fils sont cités, avec mon catalogue personnel.
De nouveau, le gourou parlait au passé, comme s'il savait quelle créature savourait les os de l’aspirant romancier.

Unknown a dit…

— Je peins des sourires depuis que je suis enfant. Vous allez croire que je suis fou. Que le gourou dont parlent tant les médias et le Parquet est un simple charlatan. Mais en lisant le roman de votre fils et en discutant avec Julia Foster, ou plutôt Ce Cher Bredouilleur, mes doutes se sont dissipés. Votre fils, tout comme moi, était un amateur de romans d’horreur [il me semble bien que je l'ai traduit sous cette forme à chaque fois mais je vérifierais en me relisant à la fin]. Regardez ma bibliothèque, vous y trouverez les mêmes livres que ceux qu'il lisait. J’ai comparé le dossier détaillé que le Parquet m’a remis où les livres de votre fils sont cités, avec mon catalogue personnel.
De nouveau, le gourou parlait au passé, comme s'il savait quelle créature savourait les os de l’aspirant romancier.

Unknown a dit…

— Je peins des sourires depuis que je suis enfant. Vous allez croire que je suis fou. Que le gourou dont parlent tant les médias et le Parquet est un simple charlatan. Mais en lisant le roman de votre fils et en discutant avec Julia Foster, ou plutôt Ce Cher Bredouilleur, mes doutes se sont dissipés. Votre fils, tout comme moi, était un amateur de romans d’horreur [il me semble bien que je l'ai traduit sous cette forme à chaque fois mais je vérifierais en me relisant à la fin]. Regardez ma bibliothèque, vous y trouverez les mêmes livres que ceux qu'il lisait. J’ai comparé le dossier détaillé que le Parquet m’a remis où les livres de votre fils sont cités, avec mon catalogue personnel.
De nouveau, le gourou parlait au passé, comme s'il savait quelle créature savourait les os de l’aspirant romancier.

Tradabordo a dit…

— Je peins des sourires depuis que je suis enfant. Vous allez croire que je suis fou. Que le gourou dont parlent tant les médias et le Parquet est un simple charlatan. Mais en lisant le roman de votre fils et en discutant avec Julia Foster, ou plutôt Ce Cher Bredouilleur, mes doutes se sont dissipés. Votre fils, tout comme moi, était un amateur de romans d’horreur. Regardez ma bibliothèque, vous y trouverez les mêmes livres que ceux qu'il lisait. J’ai comparé le dossier détaillé que le Parquet m’a remis où les livres de votre fils sont cités, avec mon catalogue personnel.
De nouveau, le gourou parlait au passé, comme s'il savait quelle créature savourait les os de l’aspirant romancier.

OK.