dimanche 27 mars 2016

Projet Hadjer – phrases 113-122

Ramírez, inexpresivo ante las palabras de David, reflexionó sobre la relación de la desaparición de su hijo y la puta biblioteca personal y los cuadros del gurú. El Querido Tartaja, el viaje a Guayaquil, los nexos incongruentes encontrados en el blog y en la novela de su hijo, no encajaban con los libros de escritores que para Ramírez solamente escribían mierda. “El gurú había fabricado un delirio para subsanar su falta de profesionalismo en el caso”, pensó.
—Pierdo mi tiempo, dijo Ramírez mientras tomaba la novela de su hijo del escritorio de David. Es lamentable su estado, señor Trepaud, señaló, debería visitar un especialista. Tantos casos lo han convertido en un ser frío y paranoico. Mi hijo está desaparecido desde hace tres meses y usted solo habla de su obra como un crítico literario.
—Señor Ramírez, usted no entiende, replicó David, con actitud pasmada ante los reclamos. La clave está en los libros y en los cuadros. Le mostré el camino pero usted no ha querido ver. 

Traduction temporaire :
Sans réaction face aux paroles de David, Ramírez réfléchit à la relation qui unissait la disparition de son fils, la putain de bibliothèque personnelle et les tableaux du gourou. Ce Cher Bredouilleur, le voyage à Guayaquil, les liens absurdes formés sur le blog et dans le roman de son fils ne cadraient pas avec les livres d'écrivains qui, selon  Ramírez, écrivaient uniquement de la merde.
« Le gourou avait créé un délire pour compenser son manque de professionnalisme dans cette affaire », pensa-t-il.
— Je perds mon temps, dit alors Ramírez en prenant le roman de son fils sur le bureau de David. Vous êtes dans un sale état, Monsieur Trepaud, vous devriez consulter un spécialiste. Vous occuper de toutes ces affaires a fini par vous transformer en un être froid et paranoïaque. Mon fils a disparu depuis trois mois et on dirait que vous en parlez strictement comme le ferait un critique littéraire.
— Monsieur Ramírez, vous ne comprenez pas, rétorqua David, perplexe face à ses récriminations. La clé se trouve dans les livres et dans les tableaux. Je vous ai montré le chemin, mais vous n’avez pas voulu voir.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Ramirez, inexpressif face aux paroles de David, réfléchissait au lien qui unissait la disparition de son fils, la putain de bibliothèque personnelle et les tableaux du gourou. Ce Cher Bredouilleur, le voyage à Guayaquil, les liens incongrus trouvés sur le blog et dans le roman de son fils ne cadraient pas avec les livres d'écrivains qui selon Ramírez, écrivaient uniquement de la merde. « Le gourou avait fabriqué un délire pour combler son manque de professionnalisme sur cette enquête », pensa-t-il.
— Je perds mon temps, dit Ramírez alors qu’il prenait le roman de son fils du bureau de David. Vous êtes dans un état lamentable, Monsieur Trepaud, vous devriez consulter un spécialiste. De nombreux cas ont été transformés à cause d’un rhume et d’une paranoïa. Mon fils a disparu depuis trois mois et vous parlez de son œuvre seulement comme le ferait un critique littéraire.

— Monsieur Ramírez, vous ne comprenez pas, rétorqua David d’un air perplexe face à ces revendications. La clé se trouve dans les livres et dans les tableaux. Je vous ai montré le chemin mais vous n’avez pas voulu voir.

Tradabordo a dit…

Ramirez, inexpressif face aux [j'hésite… Pas plutôt « sans réaction » ? Vérifiez] paroles de David, réfléchissait [temps ; le passé simple ne se traduit pas par de l'imparfait – attention] au lien qui unissait la disparition de son fils, la putain de bibliothèque personnelle et les tableaux du gourou. Ce Cher Bredouilleur, le voyage à Guayaquil, les liens incongrus [bizarre ici, non ? Un autre sens… Regardez ce que dit le dico unilingue] trouvés sur le blog et dans le roman de son fils ne cadraient pas avec les livres d'écrivains qui [virgule] selon Ramírez, écrivaient uniquement de la merde.
« Le gourou avait fabriqué un délire [ce début n'est pas très naturel…] pour combler [j'hésite] son manque de professionnalisme sur [« dans » ?] cette enquête [« affaire » ?] », pensa-t-il.
— Je perds mon temps, dit Ramírez alors qu’il prenait [« en prenant » ?] le roman de son fils du [« sur le » ?] bureau de David. Vous êtes dans un état lamentable [« sale état » ?], Monsieur Trepaud, vous devriez consulter un spécialiste. De nombreux cas ont été transformés [???????] à cause d’un rhume et d’une paranoïa. Mon fils a disparu depuis trois mois et vous parlez de son œuvre seulement comme le ferait un critique littéraire [la syntaxe n'est pas très bonne].
— Monsieur Ramírez, vous ne comprenez pas, rétorqua David d’un air perplexe face à ces revendications. La clé se trouve dans les livres et dans les tableaux. Je vous ai montré le chemin mais vous n’avez pas voulu voir.

Unknown a dit…

Ramirez, sans réaction face aux paroles de David, réfléchit au lien qui unissait la disparition de son fils, la putain de bibliothèque personnelle et les tableaux du gourou. Ce Cher Bredouilleur, le voyage à Guayaquil, les relations absurdes trouvées sur le blog et dans le roman de son fils ne cadraient pas avec les livres d'écrivains qui, selon Ramírez, écrivaient uniquement de la merde.
« Le gourou avait créé un délire pour compenser son manque de professionnalisme dans cette affaire », pensa-t-il.
— Je perds mon temps, dit Ramírez alors en prenant le roman de son fils sur le bureau de David. Vous êtes dans un sale état, Monsieur Trepaud, vous devriez consulter un spécialiste. De nombreux cas ont été diagnostiqués [j'ai un peu de mal avec cette phrase...] à cause d’un rhume et d’une paranoïa. Mon fils a disparu depuis trois mois et vous parlez de son œuvre seulement à la façon d'un critique littéraire.
— Monsieur Ramírez, vous ne comprenez pas, rétorqua David d’un air perplexe face à ces revendications. La clé se trouve dans les livres et dans les tableaux. Je vous ai montré le chemin mais vous n’avez pas voulu voir.

Tradabordo a dit…

Ramirez [ou placé après ? Essayez et voyez ce qui est mieux…, mais à mon avis, ce sera mieux], sans réaction face aux paroles de David, réfléchit au lien qui unissait la disparition de son fils, la putain de bibliothèque personnelle et les tableaux du gourou. Ce Cher Bredouilleur, le voyage à Guayaquil, les relations [je me demande si le terme est assez précis… et du coup, la phrase est bizarre] absurdes trouvées sur le blog et dans le roman de son fils ne cadraient pas avec les livres d'écrivains qui, selon Ramírez, écrivaient uniquement de la merde.
« Le gourou avait créé un délire pour compenser son manque de professionnalisme dans cette affaire », pensa-t-il.
— Je perds mon temps, dit Ramírez alors en prenant le roman de son fils sur le bureau de David. Vous êtes dans un sale état, Monsieur Trepaud, vous devriez consulter un spécialiste. De nombreux cas ont été diagnostiqués [j'ai un peu de mal avec cette phrase...] à cause d’un rhume et d’une paranoïa [CS : en gros, toutes les affaires sur lesquelles il a travaillées ont fini par lui porter sur le système]. Mon fils a disparu depuis trois mois et vous parlez de son œuvre seulement à la façon d'un [vraiment manque de naturel] critique littéraire.
— Monsieur Ramírez, vous ne comprenez pas, rétorqua David d’un air perplexe face à ces revendications [mal dit + syntaxe ?]. La clé se trouve dans les livres et dans les tableaux. Je vous ai montré le chemin [virgule avant « mais »] mais vous n’avez pas voulu voir.

Unknown a dit…

Sans réaction face aux paroles de David, Ramírez réfléchit au lien qui unissait la disparition de son fils, la putain de bibliothèque personnelle et les tableaux du gourou. Ce Cher Bredouilleur, le voyage à Guayaquil, les unions absurdes formées sur le blog et dans le roman de son fils ne cadraient pas avec les livres d'écrivains qui, selon Ramírez, écrivaient uniquement de la merde.
« Le gourou avait créé un délire pour compenser son manque de professionnalisme dans cette affaire », pensa-t-il.
— Je perds mon temps, dit Ramírez alors en prenant le roman de son fils sur le bureau de David. Vous êtes dans un sale état, Monsieur Trepaud, vous devriez consulter un spécialiste. Traiter autant d'affaires a fini par vous rendre malade. Mon fils a disparu depuis trois mois et on dirait seulement qu'un critique littéraire évalue son œuvre.
— Monsieur Ramírez, vous ne comprenez pas, rétorqua David d’un air perplexe face à ses plaintes. La clé se trouve dans les livres et dans les tableaux. Je vous ai montré le chemin, mais vous n’avez pas voulu voir.

Tradabordo a dit…

Sans réaction face aux paroles de David, Ramírez réfléchit au lien qui unissait la disparition de son fils, la putain de bibliothèque personnelle et les tableaux du gourou. Ce Cher Bredouilleur, le voyage à Guayaquil, les unions [je mettrais « liens » ; mais du coup, il faudra changer celui de la première phrase…] absurdes formées sur le blog et dans le roman de son fils ne cadraient pas avec les livres d'écrivains qui, selon Ramírez, écrivaient uniquement de la merde.
« Le gourou avait créé un délire pour compenser son manque de professionnalisme dans cette affaire », pensa-t-il.
— Je perds mon temps, dit Ramírez alors [mettez-le avant le nom] en prenant le roman de son fils sur le bureau de David. Vous êtes dans un sale état, Monsieur Trepaud, vous devriez consulter un spécialiste. Traiter autant d'[« Vous occupez de toutes » ?]affaires a fini par vous rendre malade [pour la fin, pas ce que dit la V.O. : traduisez littéralement]. Mon fils a disparu depuis trois mois et on dirait seulement qu'un critique littéraire évalue son œuvre [« que vous en parlez strictement comme le ferait un critique littéraire »].
— Monsieur Ramírez, vous ne comprenez pas, rétorqua David d’un air [nécessaire ?] perplexe face à ses plaintes [« récriminations » ?]. La clé se trouve dans les livres et dans les tableaux. Je vous ai montré le chemin, mais vous n’avez pas voulu voir.

Unknown a dit…

Sans réaction face aux paroles de David, Ramírez réfléchit à la relation qui unissait la disparition de son fils, la putain de bibliothèque personnelle et les tableaux du gourou. Ce Cher Bredouilleur, le voyage à Guayaquil, les liens absurdes formés sur le blog et dans le roman de son fils ne cadraient pas avec les livres d'écrivains qui, selon Ramírez, écrivaient uniquement de la merde.
« Le gourou avait créé un délire pour compenser son manque de professionnalisme dans cette affaire », pensa-t-il.
— Je perds mon temps, dit alors Ramírez en prenant le roman de son fils sur le bureau de David. Vous êtes dans un sale état, Monsieur Trepaud, vous devriez consulter un spécialiste. Vous occupez de toutes ces affaires a fini par vous transformer en un être froid et paranoïaque. Mon fils a disparu depuis trois mois et on dirait que vous en parlez strictement comme le ferait un critique littéraire.
— Monsieur Ramírez, vous ne comprenez pas, rétorqua David perplexe face à ses récriminations. La clé se trouve dans les livres et dans les tableaux. Je vous ai montré le chemin, mais vous n’avez pas voulu voir.

Tradabordo a dit…

Sans réaction face aux paroles de David, Ramírez réfléchit à la relation qui unissait la disparition de son fils, la putain de bibliothèque personnelle et les tableaux du gourou. Ce Cher Bredouilleur, le voyage à Guayaquil, les liens absurdes formés sur le blog et dans le roman de son fils ne cadraient pas avec les livres d'écrivains qui, selon Ramírez, écrivaient uniquement de la merde.
« Le gourou avait créé un délire pour compenser son manque de professionnalisme dans cette affaire », pensa-t-il.
— Je perds mon temps, dit alors Ramírez en prenant le roman de son fils sur le bureau de David. Vous êtes dans un sale état, Monsieur Trepaud, vous devriez consulter un spécialiste. Vous occupez [« occuper »] de toutes ces affaires a fini par vous transformer en un être froid et paranoïaque. Mon fils a disparu depuis trois mois et on dirait que vous en parlez strictement comme le ferait un critique littéraire.
— Monsieur Ramírez, vous ne comprenez pas, rétorqua David [virgule] perplexe face à ses récriminations. La clé se trouve dans les livres et dans les tableaux. Je vous ai montré le chemin, mais vous n’avez pas voulu voir.

Unknown a dit…

Sans réaction face aux paroles de David, Ramírez réfléchit à la relation qui unissait la disparition de son fils, la putain de bibliothèque personnelle et les tableaux du gourou. Ce Cher Bredouilleur, le voyage à Guayaquil, les liens absurdes formés sur le blog et dans le roman de son fils ne cadraient pas avec les livres d'écrivains qui, selon Ramírez, écrivaient uniquement de la merde.
« Le gourou avait créé un délire pour compenser son manque de professionnalisme dans cette affaire », pensa-t-il.
— Je perds mon temps, dit alors Ramírez en prenant le roman de son fils sur le bureau de David. Vous êtes dans un sale état, Monsieur Trepaud, vous devriez consulter un spécialiste. Vous occuper de toutes ces affaires a fini par vous transformer en un être froid et paranoïaque. Mon fils a disparu depuis trois mois et on dirait que vous en parlez strictement comme le ferait un critique littéraire.
— Monsieur Ramírez, vous ne comprenez pas, rétorqua David, perplexe face à ses récriminations. La clé se trouve dans les livres et dans les tableaux. Je vous ai montré le chemin, mais vous n’avez pas voulu voir.

Tradabordo a dit…

Sans réaction face aux paroles de David, Ramírez réfléchit à la relation qui unissait la disparition de son fils, la putain de bibliothèque personnelle et les tableaux du gourou. Ce Cher Bredouilleur, le voyage à Guayaquil, les liens absurdes formés sur le blog et dans le roman de son fils ne cadraient pas avec les livres d'écrivains qui, selon Ramírez, écrivaient uniquement de la merde.
« Le gourou avait créé un délire pour compenser son manque de professionnalisme dans cette affaire », pensa-t-il.
— Je perds mon temps, dit alors Ramírez en prenant le roman de son fils sur le bureau de David. Vous êtes dans un sale état, Monsieur Trepaud, vous devriez consulter un spécialiste. Vous occuper de toutes ces affaires a fini par vous transformer en un être froid et paranoïaque. Mon fils a disparu depuis trois mois et on dirait que vous en parlez strictement comme le ferait un critique littéraire.
— Monsieur Ramírez, vous ne comprenez pas, rétorqua David, perplexe face à ses récriminations. La clé se trouve dans les livres et dans les tableaux. Je vous ai montré le chemin, mais vous n’avez pas voulu voir.

OK.