lundi 21 mars 2016

Projet Sabrina 4 – phrases 200-208

Era agosto y volví a realizar el mismo trayecto que ocho semanas atrás, de nuevo solo, pero esta vez sin fines científicos. No alquilé ningún auto en mi primera ciudad de destino y viajé hasta el pueblo de Alma en el único autobús que podía llevarme a ese lugar. No quería que nadie se enterase de aquel viaje por si en otra ocasión regresaba con mi equipo para un trabajo de buceo en el lago de Alga. Tampoco quería ponerla bajo sospechas. Demoré más de cinco horas en llegar, y en ningún momento recordé a mi enamorada con remordimiento. El único alojamiento del pueblo parecía una posada de tiempos remotos, miserables, también anóni mos. Nadie me pidió la documentación; eso me compensó el resquemor de contagiarme de pulgas o chinches. Estiré mi bolsa de dormir sobre la cama y me costó conciliar el sueño, enfebrecido por el encuentro que me aguardaba al día siguiente. Me levanté al amanecer; tomé un café rancio con dos panes en un bar de mala muerte que día y noche permanecía abierto al pie de la carretera principal; luego me fui caminando hasta el lago.

Traduction temporaire :
On était en août et je refis le même trajet que huit semaines auparavant, de nouveau seul, sans buts scientifiques, cette fois. Je ne louai pas de véhicule dans la première ville où j'arrivai et me rendis jusqu'au village d'Alma en prenant l'unique autobus capable de m'y conduire. Je voulais que personne ne soit au courant de ce voyage, au cas où un jour, je reviendrais avec mon équipe pour un travail de plongée dans le lac d'Alga. Je ne souhaitais pas non plus éveiller les soupçons sur elle. Je mis plus de cinq heures et à aucun moment, je n'eus le moindre remords en pensant à ma copine. Le seul lieu d'hébergement du village ressemblait à une auberge d'un autre temps, misérable, anonyme aussi. Personne ne me demanda mes papiers, ce qui compensa ma crainte d'attraper des puces ou des punaises de lit. J'étendis mon sac de couchage sur le matelas ; exalté par la rencontre qui m'attendait le lendemain, j'eus du mal à trouver le sommeil. Je me levai à l'aube ; je pris un café rance avec deux tartines dans un bar quelconque qui restait ouvert jour et nuit en bas de la rue principale ; je marchai ensuite jusqu'au lac. 

7 commentaires:

Sabrina a dit…

On était en août et je refis le même trajet que huit semaines auparavant, de nouveau seul, sans buts scientifiques cette fois. Je ne louai aucun véhicule dans la première ville où j'arrivai et me rendis jusqu'au village d'Alma dans l'unique autobus capable de m'y conduire. Je voulais que personne ne soit au courant de ce voyage, si jamais un jour je revenais avec mon équipe pour un travail de plongée dans le lac d'Alga. Je ne souhaitais pas non plus éveiller les soupçons sur elle. Je mis plus de cinq heures et à aucun moment, je n'eus une pensée emplie de remords pour mon amoureuse. L'unique logement du village ressemblait à une auberge du temps jadis, misérable, anonyme aussi. Personne ne me demanda mes papiers, ce qui compensa ma crainte d'attraper des puces ou des punaises de lit. J'étendis mon sac de couchage sur le matelas ; exalté par la rencontre qui m'attendait le lendemain, j'eus du mal à trouver le sommeil. Je me levai à l'aube ; je pris un café rance avec deux tartines dans un bar insignifiant qui restait ouvert jour et nuit en bas de la rue principale ; je marchai ensuite jusqu'au lac.

Tradabordo a dit…

On était en août et je refis le même trajet que huit semaines auparavant, de nouveau seul, sans buts scientifiques, cette fois. Je ne louai aucun [bizarre, non ?] véhicule dans la première ville où j'arrivai et me rendis jusqu'au village d'Alma dans [ou : « en prenant » ?] l'unique autobus capable de m'y conduire. Je voulais que personne ne soit au courant de ce voyage, si jamais [« au cas où » ?] un jour [virgule] je revenais [ou « reviendrais » ? Je te laisse regarder…] avec mon équipe pour un travail de plongée dans le lac d'Alga. Je ne souhaitais pas non plus éveiller les soupçons sur elle. Je mis plus de cinq heures et à aucun moment, je n'eus une pensée emplie de [mal dit] remords pour mon amoureuse [adapté ici ?]. L'unique logement [bizarre ici, non ?] du village ressemblait à une auberge du temps jadis [tu es dans un conte de fée ?], misérable, anonyme aussi. Personne ne me demanda mes papiers, ce qui compensa ma crainte d'attraper des puces ou des punaises de lit. J'étendis mon sac de couchage sur le matelas ; exalté par [« à l'idée de » ? Vois ce qui est mieux…] la rencontre qui m'attendait le lendemain, j'eus du mal à trouver le sommeil. Je me levai à l'aube ; je pris un café rance avec deux tartines dans un bar insignifiant [pas exactement ça] qui restait ouvert jour et nuit en bas de la rue principale ; je marchai ensuite jusqu'au lac.

Sabrina a dit…

Hahaha !! Effectivement, ce n'est pas un conte de fée.. ! ;)
Top "en prenant", merci :)
J'avais hésité avec "au cas où" donc je suis d'accord pour cette proposition.
En relisant, "hébergement" me vient tout de suite à la place de "logement" ! Ce serait plus adapté.
Je trouve "exalté à l'idée de" un peu lourd, je resterais sur "par" ;).
ok pour tout le reste, je reprends. Merci :)

On était en août et je refis le même trajet que huit semaines auparavant, de nouveau seul, sans buts scientifiques, cette fois. Je ne louai pas de véhicule dans la première ville où j'arrivai et me rendis jusqu'au village d'Alma en prenant l'unique autobus capable de m'y conduire. Je voulais que personne ne soit au courant de ce voyage, au cas où un jour, je reviendrais avec mon équipe pour un travail de plongée dans le lac d'Alga. Je ne souhaitais pas non plus éveiller les soupçons sur elle. Je mis plus de cinq heures et à aucun moment, je n'eus une pensée pleine de remords pour ma copine. Le seul lieu d'hébergement du village ressemblait à une auberge d'un autre temps, misérable, anonyme aussi. Personne ne me demanda mes papiers, ce qui compensa ma crainte d'attraper des puces ou des punaises de lit. J'étendis mon sac de couchage sur le matelas ; exalté par la rencontre qui m'attendait le lendemain, j'eus du mal à trouver le sommeil. Je me levai à l'aube ; je pris un café rance avec deux tartines dans un bar quelconque qui restait ouvert jour et nuit en bas de la rue principale ; je marchai ensuite jusqu'au lac.

Tradabordo a dit…

On était en août et je refis le même trajet que huit semaines auparavant, de nouveau seul, sans buts scientifiques, cette fois. Je ne louai pas de véhicule dans la première ville où j'arrivai et me rendis jusqu'au village d'Alma en prenant l'unique autobus capable de m'y conduire. Je voulais que personne ne soit au courant de ce voyage, au cas où un jour, je reviendrais avec mon équipe pour un travail de plongée dans le lac d'Alga. Je ne souhaitais pas non plus éveiller les soupçons sur elle. Je mis plus de cinq heures et à aucun moment, je n'eus une pensée pleine de remords [pas naturel ; au besoin, dégage-toi du littéral] pour ma copine. Le seul lieu d'hébergement du village ressemblait à une auberge d'un autre temps, misérable, anonyme aussi. Personne ne me demanda mes papiers, ce qui compensa ma crainte d'attraper des puces ou des punaises de lit. J'étendis mon sac de couchage sur le matelas ; exalté par la rencontre qui m'attendait le lendemain, j'eus du mal à trouver le sommeil. Je me levai à l'aube ; je pris un café rance avec deux tartines dans un bar quelconque qui restait ouvert jour et nuit en bas de la rue principale ; je marchai ensuite jusqu'au lac.

Sabrina a dit…

On était en août et je refis le même trajet que huit semaines auparavant, de nouveau seul, sans buts scientifiques, cette fois. Je ne louai pas de véhicule dans la première ville où j'arrivai et me rendis jusqu'au village d'Alma en prenant l'unique autobus capable de m'y conduire. Je voulais que personne ne soit au courant de ce voyage, au cas où un jour, je reviendrais avec mon équipe pour un travail de plongée dans le lac d'Alga. Je ne souhaitais pas non plus éveiller les soupçons sur elle. Je mis plus de cinq heures et à aucun moment, je n'eus de remords en pensant à ma copine. Le seul lieu d'hébergement du village ressemblait à une auberge d'un autre temps, misérable, anonyme aussi. Personne ne me demanda mes papiers, ce qui compensa ma crainte d'attraper des puces ou des punaises de lit. J'étendis mon sac de couchage sur le matelas ; exalté par la rencontre qui m'attendait le lendemain, j'eus du mal à trouver le sommeil. Je me levai à l'aube ; je pris un café rance avec deux tartines dans un bar quelconque qui restait ouvert jour et nuit en bas de la rue principale ; je marchai ensuite jusqu'au lac.

Tradabordo a dit…

On était en août et je refis le même trajet que huit semaines auparavant, de nouveau seul, sans buts scientifiques, cette fois. Je ne louai pas de véhicule dans la première ville où j'arrivai et me rendis jusqu'au village d'Alma en prenant l'unique autobus capable de m'y conduire. Je voulais que personne ne soit au courant de ce voyage, au cas où un jour, je reviendrais avec mon équipe pour un travail de plongée dans le lac d'Alga. Je ne souhaitais pas non plus éveiller les soupçons sur elle. Je mis plus de cinq heures et à aucun moment, je n'eus le moindre remords en pensant à ma copine. Le seul lieu d'hébergement du village ressemblait à une auberge d'un autre temps, misérable, anonyme aussi. Personne ne me demanda mes papiers, ce qui compensa ma crainte d'attraper des puces ou des punaises de lit. J'étendis mon sac de couchage sur le matelas ; exalté par la rencontre qui m'attendait le lendemain, j'eus du mal à trouver le sommeil. Je me levai à l'aube ; je pris un café rance avec deux tartines dans un bar quelconque qui restait ouvert jour et nuit en bas de la rue principale ; je marchai ensuite jusqu'au lac.

J'ai fait un petit ajout et c'est OK.

Sabrina a dit…

il me plaît bien cet ajout, merci :)