dimanche 27 mars 2016

Projet Sabrina 4 – phrases 209-214

Como una hora más tarde, después de haber dejado a sus hijos en la escuela, Alga apareció. Aparcó su auto de trás de unos arbustos, caminó con cierta lentitud hasta mí, pero en cuanto nos tocamos de nuevo, todo volvió a ser precipitado y de nuevo volvimos a sumergirnos al otro lado de este roquedal que hoy se ha convertido en mi vivienda. Alma, Alga.
Alma, después de enlazarnos bajo el agua como dos anguilas que luchan y aman desesperadas, me contaste lo que habías esperado de tu marido, de aquel hombre veinte años mayor que tú que un día apareció en el pueblo, cuando tú eras una jovencita que soñaba con viajar al extranjero, o al menos a la capital del país. Me contaste las historias de mundo con las que él te hizo soñar. No me contaste dónde te hizo su mujer por primera vez, ni tampoco me di jiste si tú ya habrías retozado en estas aguas con otros jóvenes antes de conocerlo.

Traduction temporaire :
 Environ une heure plus tard, après avoir déposé ses enfants à l'école, Alga arriva. Elle gara sa voiture derrière quelques arbustes, se dirigea vers moi d'un pas assez lent ; toutefois, dès que nous nous touchâmes de nouveau, tout s'accéléra et nous replongeâmes de l'autre côté de ce coin rocheux aujourd'hui devenu mon habitat. Alma, Alga. Alma, après nous être étreints sous l'eau comme deux anguilles luttant et aimant, désespérées, tu m'as raconté ce que tu avais espéré de ton mari, de cet homme de vingt ans ton aîné qui était un jour apparu au village, alors que tu étais une toute jeune fille qui rêvait de voyager à l'étranger, ou au moins à la capitale. Tu m'as raconté les histoires du monde avec lesquelles il t'avait nourrie d'illusions. Tu ne m'as pas raconté où il t'a faite sienne pour la première fois ; tu ne m'as pas dit non plus si tu avais déjà batifolé dans ces eaux avec d'autres garçons avant de le connaître.

4 commentaires:

Sabrina a dit…

Environ une heure plus tard, après avoir déposé ses enfants à l'école, Alga arriva. Elle gara sa voiture derrière quelques arbustes, se dirigea vers moi d'un pas assez lent ; toutefois, dès que nous nous retouchâmes, tout s'accéléra de nouveau et nous replongeâmes une nouvelle fois de l'autre côté de ce coin rocheux qui est aujourd'hui devenu mon habitat. Alma, Alga.
Alma, après nous être étreints sous l'eau comme deux anguilles désespérées, qui luttent et aiment, tu m'as raconté ce que tu avais espéré de ton mari, de cet homme de vingt ans ton aîné qui s'était présenté un jour au village, alors que tu étais une toute jeune fille qui rêvait de voyager à l'étranger, ou au moins à la capitale. Tu m'as raconté les histoires du monde avec lesquelles il t'avait transportée. Tu ne m'as pas raconté où il t'a faite sienne pour la première fois ; tu ne m'as pas dit non plus si tu avais déjà batifolé dans ces eaux avec d'autres garçons avant de le connaître.

Tradabordo a dit…

Environ une heure plus tard, après avoir déposé ses enfants à l'école, Alga arriva. Elle gara sa voiture derrière quelques arbustes, se dirigea vers moi d'un pas assez lent ; toutefois, dès que nous nous re[mal dit ; je pense qu'il vaut mieux « de nouveau »]touchâmes, tout s'accéléra de nouveau [supprime ici ; je ne crois pas que ce soit nécessaire ?] et nous replongeâmes une nouvelle fois [avec le « re » du verbe, ça n'est pas nécessaire ?] de l'autre côté de ce coin rocheux qui est [nécessaire ?] aujourd'hui devenu mon habitat. Alma, Alga.
Alma, après nous être étreints sous l'eau comme deux anguilles désespérées [adverbe + placé après… Tu changes trop], qui luttent [« luttant »] et aiment [idem], tu m'as raconté ce que tu avais espéré [ou « attendu » ? J'hésite] de ton mari, de cet homme de vingt ans ton aîné qui s'était présenté [bof] un jour au village, alors que tu étais une toute jeune fille qui rêvait de voyager à l'étranger, ou au moins à la capitale. Tu m'as raconté les histoires du monde avec lesquelles il t'avait transportée [pas assez clair sans la V.O. à côté]. Tu ne m'as pas raconté [« révélé » ? Comme tu veux…] où il t'a faite sienne pour la première fois ; tu ne m'as pas dit non plus si tu avais déjà batifolé dans ces eaux avec d'autres garçons avant de le connaître.

Sabrina a dit…

Merci pour ton aide pour tous les "re", "de nouveau"..., j'ai eu du mal ! Je suis d'accord avec tes propositions.
C'est mieux sans "qui est", merci :)
Pour "espérer" et "attendre", j'ai hésité aussi. J'ai finalement opté pour "espérer" après avoir consulté les définitions car il me semble qu'ici, "espérer" va bien avec le caractère rêveur d'Alma à l'époque. Elle s'imaginait, aimait croire que...
J'aime bien "révélé" mais je trouve ça bien aussi de répéter pour la 3ème fois "raconter", histoire de bien assumer la répétition.

Environ une heure plus tard, après avoir déposé ses enfants à l'école, Alga arriva. Elle gara sa voiture derrière quelques arbustes, se dirigea vers moi d'un pas assez lent ; toutefois, dès que nous nous touchâmes de nouveau, tout s'accéléra et nous replongeâmes de l'autre côté de ce coin rocheux aujourd'hui devenu mon habitat. Alma, Alga.
Alma, après nous être étreints sous l'eau comme deux anguilles luttant et aimant, désespérées, tu m'as raconté ce que tu avais espéré de ton mari, de cet homme de vingt ans ton aîné qui était un jour apparu au village, alors que tu étais une toute jeune fille qui rêvait de voyager à l'étranger, ou au moins à la capitale. Tu m'as raconté les histoires du monde avec lesquelles il t'avait nourrie d'illusions. Tu ne m'as pas raconté où il t'a faite sienne pour la première fois ; tu ne m'as pas dit non plus si tu avais déjà batifolé dans ces eaux avec d'autres garçons avant de le connaître.

Tradabordo a dit…

Environ une heure plus tard, après avoir déposé ses enfants à l'école, Alga arriva. Elle gara sa voiture derrière quelques arbustes, se dirigea vers moi d'un pas assez lent ; toutefois, dès que nous nous touchâmes de nouveau, tout s'accéléra et nous replongeâmes de l'autre côté de ce coin rocheux aujourd'hui devenu mon habitat. Alma, Alga.
Alma, après nous être étreints sous l'eau comme deux anguilles luttant et aimant, désespérées, tu m'as raconté ce que tu avais espéré de ton mari, de cet homme de vingt ans ton aîné qui était un jour apparu au village, alors que tu étais une toute jeune fille qui rêvait de voyager à l'étranger, ou au moins à la capitale. Tu m'as raconté les histoires du monde avec lesquelles il t'avait nourrie d'illusions. Tu ne m'as pas raconté où il t'a faite sienne pour la première fois ; tu ne m'as pas dit non plus si tu avais déjà batifolé dans ces eaux avec d'autres garçons avant de le connaître.

OK.