samedi 20 février 2016

Projet Bianca – phrases 51-58

Mientras comíamos, Sol parecía perdida. Me levanté y acerqué mi silla a la suya, agarré una aceituna de mi plato y la mordí, dejando un pedazo afuera de la boca. Le di un beso y después de un breve tira y afloje, dejé que se quedara con la aceituna. El truco pareció funcionar, empezamos a besarnos de nuevo y le desabroché el jean intentando meter una mano adentro de la bombacha. En ese momento me vino todo junto a la cabeza y me alejé haciendo balancear la silla peligrosamente hacia atrás.
¿Andrés?”
Traté de poner la mente en blanco y volver a la carga, pero cada vez que mi piel entraba en contacto con la suya me asaltaban imágenes en las que Sol lloraba a una de sus tías muerta en un accidente múltiple en la llamada “Ruta del desierto”. Sentía un dolor profundo en el pecho y humedad en los ojos. Me tapé la cara y le pedí que me perdonara, que no me sentía bien.

Traduction temporaire :
Pendant le repas, Sol semblait perdue. Je me levai et rapprochai ma chaise de la sienne, je pris une olive dans mon assiette et mordis dedans, laissant un bout sortir de ma bouche. Je lui donnai un baiser et, après un bref jeu où chacun tirait dessus puis lâchait, je lui laissai l'avoir. L'astuce eut l'air de marcher : nous commençâmes à nous embrasser à nouveau et je déboutonnai son pantalon entreprenant de glisser ma main dans sa culotte. À ce moment-là, tout surgit en même temps dans mon esprit et je m'écartai, faisant dangereusement basculer la chaise en arrière.
« Andrés ? »

J'essayai de faire le vide et revenir à la charge ; chaque fois que ma peau touchait la sienne, des images jaillissaient, dans lesquelles Sol pleurait une de ses tantes qui avait trouvé la mort lors d'un carambolage sur la fameuse « Route du désert ». Je sentais une douleur profonde à la poitrine et les larmes me monter aux yeux. Je cachai mon visage et lui demandai de ne pas m'en vouloir, lui expliquant que je n'allais pas bien.

4 commentaires:

Bianca a dit…

Pendant le repas, Sol semblait perdue. Je me levai et rapprochai ma chaise de la sienne, je pris une olive qu'il y avait dans mon assiette et la mordis, laissant un bout sortir de ma bouche. Je lui donnai un baiser et, après un bref jeu de résistance, je lui laissai avoir l'olive. L'astuce eut l'air de marcher, nous commençâmes à nous embrasser à nouveau et je déboutonnai son pantalon pour tenter de glisser ma main dans sa culotte. À ce moment-là, tout surgit en même temps dans mon esprit et je m'éloignai, faisant dangereusement basculer la chaise en arrière.
« Andrés? »
J'essayai de faire le vide dans ma conscience et revenir à la charge; mais à chaque fois que ma peau touchait la sienne, des images jaillissaient, dans lesquelles Sol pleurait une de ses tantes morte lors d'un accident multiple sur la fameuse « Route du désert ». Je sentais une douleur profonde à la poitrine et les larmes monter aux yeux. Je cachai mon visage et lui demandai de ne pas m'en vouloir, lui expliquant que je ne me sentais pas bien.

Tradabordo a dit…

Pendant le repas, Sol semblait perdue. Je me levai et rapprochai ma chaise de la sienne, je pris une olive qu'il y avait [nécessaire ?] dans mon assiette et la mordis [« mordis dedans » ?], laissant un bout sortir [ou : « à l'extérieur » ? J'hésite] de ma bouche. Je lui donnai un baiser et, après un bref jeu de résistance [peu clair pour le lecteur qui n'a pas la V.O. à côté…], je lui laissai avoir [nécessaire ?] l'olive. L'astuce eut l'air de marcher, [deux points ? Comme vous voulez…] nous commençâmes à nous embrasser à nouveau et je déboutonnai son pantalon pour [nécessaire ?] tenter de glisser ma main dans sa culotte. À ce moment-là, tout surgit en même temps dans mon esprit et je m'éloignai [« m'écartai » ? Comme d'habitude, quand il y a un point d'interrogation, il faut comprendre que c'est une proposition de ma part], faisant dangereusement basculer la chaise en arrière.
« Andrés[espace]? »
J'essayai de faire [vous venez de le mettre, dans la phrase d'avant… Débrouillez-vous pour changer l'un des deux] le vide dans ma conscience [pas nécessaire… Je comprends qu'il s'agit d'éviter la répétition ; mais en fait, le plus simple, est effectivement de carrément ne rien mettre… On a le sens sans] et revenir à la charge[espace avant les signes de ponctuation forts]; mais à [nécessaire ? Ça fait partie des petites scories qu'on peut presque tout le temps supprimer] chaque fois que ma peau touchait la sienne, des images jaillissaient, dans lesquelles Sol pleurait une de ses tantes morte [grammaire] lors d'un accident multiple [ça se dit ? Vérifiez] sur la fameuse « Route du désert ». Je sentais [« ressentait » ?] une douleur profonde à [« dans » ? J'hésite…] la poitrine et les larmes [« me »] monter aux yeux. Je cachai mon visage et lui demandai de ne pas m'en vouloir, lui expliquant que je ne me sentais [vous l'avez juste avant] pas bien.

Bianca a dit…

Pendant le repas, Sol semblait perdue. Je me levai et rapprochai ma chaise de la sienne, je pris une olive dans mon assiette et mordis dedans, laissant un bout sortir de ma bouche. Je lui donnai un baiser et, après un bref jeu où chacun tirait puis lâchait l'olive, je lui laissai l'avoir. L'astuce eut l'air de marcher: nous commençâmes à nous embrasser à nouveau et je déboutonnai son pantalon entreprenant de glisser ma main dans sa culotte. À ce moment-là, tout surgit en même temps dans mon esprit et je m'écartai [oui c'est mieux!], faisant dangereusement basculer la chaise en arrière.
« Andrés ? »
J'essayai de faire le vide et revenir à la charge ; chaque fois que ma peau touchait la sienne, des images jaillissaient, dans lesquelles Sol pleurait une de ses tantes qui avait trouvé la mort lors d'un carambolage [Aahh je viens de comprendre de quoi il s'agissait vraiment!] sur la fameuse « Route du désert ». Je sentais [« ressentais » ? Oui, Je me suis posée la question aussi mais je n'ai pas l'impression que ça marche avec les larmes qui montent...] une douleur profonde à la poitrine et les larmes me monter aux yeux. Je cachai mon visage et lui demandai de ne pas m'en vouloir, lui expliquant que je n'allais pas bien.

Tradabordo a dit…

Pendant le repas, Sol semblait perdue. Je me levai et rapprochai ma chaise de la sienne, je pris une olive dans mon assiette et mordis dedans, laissant un bout sortir de ma bouche. Je lui donnai un baiser et, après un bref jeu où chacun tirait dessus puis lâchait, je lui laissai l'avoir. L'astuce eut l'air de marcher : nous commençâmes à nous embrasser à nouveau et je déboutonnai son pantalon entreprenant de glisser ma main dans sa culotte. À ce moment-là, tout surgit en même temps dans mon esprit et je m'écartai, faisant dangereusement basculer la chaise en arrière.
« Andrés ? »
J'essayai de faire le vide et revenir à la charge ; chaque fois que ma peau touchait la sienne, des images jaillissaient, dans lesquelles Sol pleurait une de ses tantes qui avait trouvé la mort lors d'un carambolage sur la fameuse « Route du désert ». Je sentais une douleur profonde à la poitrine et les larmes me monter aux yeux. Je cachai mon visage et lui demandai de ne pas m'en vouloir, lui expliquant que je n'allais pas bien.

J'ai fait quelques modifs – légères ici ou là – et c'est OK.