dimanche 21 février 2016

Projet Bianca – phrases 93-103

Hacía unas semanas habíamos preparado en el colegio un trabajo grupal sobre mitos e historia de los Chekura, los “amish patagónicos” según uno de los autores. Cuando leí sobre el don y los rituales en los que llevaban piedras al río, me acordé de lo que me había dicho Mailén en mi cumpleaños número once y sobre la noche en la que casi perdí mi virginidad con Sol algunos años después.
Cuando por fin la encontré, Mailén me dijo que si quería saber más sobre el don tendría que acompañarla hasta el río. Mientras caminábamos, me preguntó por mi hermano y creí notar algo en su voz que era más que simple curiosidad.
Llegamos a la orilla del Pedregoso y nos sentamos en un tronco.
¿Ves las piedras? Los ancianos dicen que al comienzo no había ninguna”. Aunque conocía el mito Chekura, la dejé seguir. “En mi pueblo casi todos tenemos el don”. Mailén hizo una pausa y agregó: “El mundo está lleno de dolor, Andrés. Nuestra misión es llevar esa carga y dejarla en el río”.

Traduction temporaire :
Quelques semaines auparavant, pour un cours, nous avions préparé un travail en groupe sur les mythes et l'histoire des Chekura, les « amish de la Patagonie », selon l'un des auteurs. Quand j'avais fait des lectures sur le don et les rituels dans lesquels ils portaient des pierres au fleuve, je m'étais rappelé ce que m'avait appris Mailén le jour de mon anniversaire numéro onze et ce qui s'était passé la nuit où j'avais failli perdre ma virginité avec Sol, quelques années plus tard.
Quand j'avais enfin pu la retrouver, Mailén m'avait expliqué que si je voulais en savoir plus sur le don, il faudrait l'accompagner jusqu'au fleuve. En marchant, elle m'avait demandé des nouvelles de mon frère et j'avais cru percevoir dans sa voix qu'il y avait plus que de la simple curiosité.
Nous étions arrivés au bord du Rocailleux et nous nous étions assis sur un tronc d'arbre. 

« Tu vois les pierres ? Les anciens disent qu'au début, il n'y en avait aucune ». Même si je connaissais le mythe Chekura, je l'avais laissé poursuivre. « Dans mon village, nous possédons presque tous le don ». Mailén avait fait une pause et ajouté : « Le monde est plein de douleur, Andrés. Notre mission est de porter cette charge et la déposer dans le fleuve ».

8 commentaires:

Bianca a dit…

Quelques semaines auparavant, nous avions préparé un travail en groupe sur les mythes et l'histoire des Chekura, les « amish de la Patagonie » selon un des auteurs. Quand je fis des lectures sur le don et les rituels où ils portaient des pierres au fleuve, je me rappelai ce que m'avait dit Mailén le jour de mon anniversaire numéro onze, et ce qui s'était passé la nuit où je faillis perdre ma virginité avec Sol quelques années plus tard.
Quand enfin je pus la retrouver, Mailén m'expliqua que si je voulais en savoir plus sur le don, il faudrait l'accompagner jusqu'au fleuve. En marchant, elle me demanda des nouvelles de mon frère et je crus percevoir dans sa voix qu'il y avait plus que de la simple curiosité.
Nous arrivâmes au bord du Rocailleux et nous nous assîmes sur un tronc d'arbre.
« Tu vois les pierres ? Les anciens disent qu'au début, il n'y en avait aucune ». Même si je connaissais le mythe Chekura, je la laissai poursuivre. « Dans mon village, nous possédons presque tous le don ». Mailén fit une pause et ajouta : « Le monde est plein de douleur, Andrés. Notre mission est de porter cette charge et la déposer dans le fleuve ».

Tradabordo a dit…

Quelques semaines auparavant, nous avions préparé un travail en groupe [quand même un oubli ; vous ne dites pas que c'est pour les cours…] sur les mythes et l'histoire des Chekura, les « amish de la Patagonie » [virgule] selon [« l' » ; pas indispensable, mais ça fluidifie]un des auteurs. Quand je fis [temps ?] des lectures sur le don et les rituels où [il y a mieux ici] ils portaient des pierres au fleuve, je me rappelai [temps ?] ce que m'avait dit Mailén le jour de mon anniversaire numéro onze, et ce qui s'était passé la nuit où je faillis [temps ?] perdre ma virginité avec Sol [virgule] quelques années plus tard.
Quand enfin je pus []temps ? la retrouver, Mailén m'expliqua [temps ?] que si je voulais en savoir plus sur le don, il faudrait l'accompagner jusqu'au fleuve. En marchant, elle me demanda [temps ?] des nouvelles de mon frère et je crus [temps ?] percevoir dans sa voix qu'il y avait plus que de la simple curiosité.

Il raconte un événement ayant eu lieu avant le truc de cartes, non ? Si oui, vous devez tout mettre au plus-que-parfait.

Nous arrivâmes [idem] au bord du Rocailleux et nous nous assîmes sur un tronc d'arbre.

Bon, je vous laisse évaluer ça… Du coup, je ne commente pas encore la section d'après pour l'instant.

« Tu vois les pierres ? Les anciens disent qu'au début, il n'y en avait aucune ». Même si je connaissais le mythe Chekura, je la laissai poursuivre. « Dans mon village, nous possédons presque tous le don ». Mailén fit une pause et ajouta : « Le monde est plein de douleur, Andrés. Notre mission est de porter cette charge et la déposer dans le fleuve ».

Bianca a dit…

Quelques semaines auparavant, nous avions préparé en cours, un travail en groupe sur les mythes et l'histoire des Chekura, les « amish de la Patagonie », selon l'un des auteurs. Quand j'avais fait des lectures sur le don et les rituels dans lesquels ils portaient des pierres au fleuve, je m'étais rappelé ce que m'avait dit Mailén le jour de mon anniversaire numéro onze, et ce qui s'était passé la nuit où j'avais failli perdre ma virginité avec Sol, quelques années plus tard.
Quand j'avais enfin pu la retrouver, Mailén m'avait expliqué que si je voulais en savoir plus sur le don, il faudrait l'accompagner jusqu'au fleuve. En marchant, elle m'avait demandé des nouvelles de mon frère et j'avais cru percevoir dans sa voix qu'il y avait plus que de la simple curiosité.

Nous étions arrivés au bord du Rocailleux et nous nous étions assis sur un tronc d'arbre.

« Tu vois les pierres ? Les anciens disent qu'au début, il n'y en avait aucune ». Même si je connaissais le mythe Chekura, je l'avais laissé poursuivre. « Dans mon village, nous possédons presque tous le don ». Mailén avait fait une pause et avait ajouté : « Le monde est plein de douleur, Andrés. Notre mission est de porter cette charge et la déposer dans le fleuve ».

[Oui... le plus-que-parfait est largement plus approprié ici: c'est bien un récit avant le tournoi, j'avais peur de m'éloigner en choisissant cet aspect du passé simple pour tout le texte mais c'est vrai, c'est plus approprié et naturel.]

Tradabordo a dit…

Ça, c'est vraiment un truc auquel il faut faire très attention le jour du concours : la concordance des temps… Et la question n'est pas qu'on s'éloigne ou pas, mais que le passé simple peut aussi être du PQP si ça renvoie à une action antérieure. Or, on peut passer à côté en traduisant passivement par un passé simple… Restez bien sur la brèche – l'histoire –, en n'étant pas que obsédée par les mots eux-mêmes et la grammaire.

Quelques semaines auparavant, nous avions préparé en [« pour un » + placé avant] cours, un travail en groupe sur les mythes et l'histoire des Chekura, les « amish de la Patagonie », selon l'un des auteurs. Quand j'avais fait des lectures sur le don et les rituels dans lesquels ils portaient des pierres au fleuve, je m'étais rappelé ce que m'avait dit Mailén le jour de mon anniversaire numéro onze [volontaire en V.O., vous croyez ? Parce que c'est quand même bizarre, non ?], et ce qui s'était passé la nuit où j'avais failli perdre ma virginité avec Sol, quelques années plus tard.
Quand j'avais enfin pu la retrouver, Mailén m'avait expliqué que si je voulais en savoir plus sur le don, il faudrait l'accompagner jusqu'au fleuve. En marchant, elle m'avait demandé des nouvelles de mon frère et j'avais cru percevoir dans sa voix qu'il y avait plus que de la simple curiosité.
Nous étions arrivés au bord du Rocailleux et nous nous étions assis sur un tronc d'arbre.
« Tu vois les pierres ? Les anciens disent [vous en avez un plus haut – il faut garder celui-ci, mais changez l'autre] qu'au début, il n'y en avait aucune ». Même si je connaissais [aunque + indicatif] le mythe Chekura, je l'avais laissé poursuivre. « Dans mon village, nous possédons presque tous le don ». Mailén avait fait une pause et avait [supprimez] ajouté : « Le monde est plein de douleur, Andrés. Notre mission est de porter cette charge et la déposer dans le fleuve ».

Bianca a dit…

Quelques semaines auparavant, pour un cours, nous avions préparé un travail en groupe sur les mythes et l'histoire des Chekura, les « amish de la Patagonie », selon l'un des auteurs. Quand j'avais fait des lectures sur le don et les rituels dans lesquels ils portaient des pierres au fleuve, je m'étais rappelé ce que m'avait annoncé Mailén le jour de mon anniversaire numéro onze [oui je le pense, c'est aussi bizarre en espagnol qu'en français], et ce qui s'était passé la nuit où j'avais failli perdre ma virginité avec Sol, quelques années plus tard.
Quand j'avais enfin pu la retrouver, Mailén m'avait expliqué que si je voulais en savoir plus sur le don, il faudrait l'accompagner jusqu'au fleuve. En marchant, elle m'avait demandé des nouvelles de mon frère et j'avais cru percevoir dans sa voix qu'il y avait plus que de la simple curiosité.
Nous étions arrivés au bord du Rocailleux et nous nous étions assis sur un tronc d'arbre.
« Tu vois les pierres ? Les anciens disent qu'au début, il n'y en avait aucune ». Bien que je connaissais [Bon je sais que ça devrait être "bien que + subjonctif" mais vu que le subj.impft n'est pas courant en langue parlée et vu le niveau de langue/narrateur... je pense que l'indicatif est mieux, non? ou il serait vu comme une faute?] le mythe Chekura, je l'avais laissé poursuivre. « Dans mon village, nous possédons presque tous le don ». Mailén avait fait une pause et ajouté : « Le monde est plein de douleur, Andrés. Notre mission est de porter cette charge et la déposer dans le fleuve ».

Tradabordo a dit…

Quelques semaines auparavant, pour un cours, nous avions préparé un travail en groupe sur les mythes et l'histoire des Chekura, les « amish de la Patagonie », selon l'un des auteurs. Quand j'avais fait des lectures sur le don et les rituels dans lesquels ils portaient des pierres au fleuve, je m'étais rappelé ce que m'avait annoncé [pas très adapté ici / « appris » ?] Mailén le jour de mon anniversaire numéro onze et ce qui s'était passé la nuit où j'avais failli perdre ma virginité avec Sol, quelques années plus tard.
Quand j'avais enfin pu la retrouver, Mailén m'avait expliqué que si je voulais en savoir plus sur le don, il faudrait l'accompagner jusqu'au fleuve. En marchant, elle m'avait demandé des nouvelles de mon frère et j'avais cru percevoir dans sa voix qu'il y avait plus que de la simple curiosité.
Nous étions arrivés au bord du Rocailleux et nous nous étions assis sur un tronc d'arbre.
« Tu vois les pierres ? Les anciens disent qu'au début, il n'y en avait aucune ». Bien que je connaissais [Bon je sais que ça devrait être "bien que + subjonctif" mais vu que le subj.impft n'est pas courant en langue parlée et vu le niveau de langue/narrateur... je pense que l'indicatif est mieux, non? ou il serait vu comme une faute? Le jour du concours : impossible de faire comme ça… subj, mais n'oubliez pas que vous n'êtes pas obligée de faire la concordance des temps en français… Cela dit, si nous sommes bien d'accord sur le principe, ici, je vous laisse mettre « même si » parce que c'est un texte latino ;-)))))] le mythe Chekura, je l'avais laissé poursuivre. « Dans mon village, nous possédons presque tous le don ». Mailén avait fait une pause et ajouté : « Le monde est plein de douleur, Andrés. Notre mission est de porter cette charge et la déposer dans le fleuve ».

Bianca a dit…

Quelques semaines auparavant, pour un cours, nous avions préparé un travail en groupe sur les mythes et l'histoire des Chekura, les « amish de la Patagonie », selon l'un des auteurs. Quand j'avais fait des lectures sur le don et les rituels dans lesquels ils portaient des pierres au fleuve, je m'étais rappelé ce que m'avait appris Mailén le jour de mon anniversaire numéro onze et ce qui s'était passé la nuit où j'avais failli perdre ma virginité avec Sol, quelques années plus tard.
Quand j'avais enfin pu la retrouver, Mailén m'avait expliqué que si je voulais en savoir plus sur le don, il faudrait l'accompagner jusqu'au fleuve. En marchant, elle m'avait demandé des nouvelles de mon frère et j'avais cru percevoir dans sa voix qu'il y avait plus que de la simple curiosité.
Nous étions arrivés au bord du Rocailleux et nous nous étions assis sur un tronc d'arbre.
« Tu vois les pierres ? Les anciens disent qu'au début, il n'y en avait aucune ». Même si je connaissais [Youpi ! Oui, on est bien d'accord sur le principe ! :) ] le mythe Chekura, je l'avais laissé poursuivre. « Dans mon village, nous possédons presque tous le don ». Mailén avait fait une pause et ajouté : « Le monde est plein de douleur, Andrés. Notre mission est de porter cette charge et la déposer dans le fleuve »

Tradabordo a dit…

Quelques semaines auparavant, pour un cours, nous avions préparé un travail en groupe sur les mythes et l'histoire des Chekura, les « amish de la Patagonie », selon l'un des auteurs. Quand j'avais fait des lectures sur le don et les rituels dans lesquels ils portaient des pierres au fleuve, je m'étais rappelé ce que m'avait appris Mailén le jour de mon anniversaire numéro onze et ce qui s'était passé la nuit où j'avais failli perdre ma virginité avec Sol, quelques années plus tard.
Quand j'avais enfin pu la retrouver, Mailén m'avait expliqué que si je voulais en savoir plus sur le don, il faudrait l'accompagner jusqu'au fleuve. En marchant, elle m'avait demandé des nouvelles de mon frère et j'avais cru percevoir dans sa voix qu'il y avait plus que de la simple curiosité.
Nous étions arrivés au bord du Rocailleux et nous nous étions assis sur un tronc d'arbre.
« Tu vois les pierres ? Les anciens disent qu'au début, il n'y en avait aucune ». Même si je connaissais le mythe Chekura, je l'avais laissé poursuivre. « Dans mon village, nous possédons presque tous le don ». Mailén avait fait une pause et ajouté : « Le monde est plein de douleur, Andrés. Notre mission est de porter cette charge et la déposer dans le fleuve ».