samedi 20 février 2016

Projet Chloé / Miroslaba – phrases 20-30

Por las noches, entre sueños, se oía al niño tonadear una música. Un día empezó a reproducirla, por sí solo, como si nadie más existiera. La repitió, la repitió. Unas veces muy suave, otras como si irrumpieran muchos instrumentos a su garganta muy lentamente como si descubriera que se podían alargar los sonidos; otras como si le ganara la desesperación por apretarlos, por terminar lo que quedaba velozmente.
Así llegó al cuarto año de vida. Parecía ser que la música era lo único que crecía en él. Se había estancado su evolución. El tío músico que gozaba junto a él le trajo un piano pequeño de juguete. Le mostró cómo producir los sonidos. Fue suficiente. Quizás los genes de muchos abuelos músicos o la alta potencia de un músico encarnado, se apoderaron de sus manos y tocó, enloquecido, extrañas melodías.

Traduction temporaire :
La nuit, quand tout le monde dormait, on entendait l’enfant fredonner un air. Un jour, il commença à la reproduire, pour lui tout seul, comme si personne d’autre n’existait. Il la répéta, et répéta. Tantôt très doucement, tantôt en donnant l'impression que de nombreux instruments envahissaient lentement sa gorge et qu’il découvrait qu’on pouvait amplifier les sons ; d’autres fois, comme s’il était désespéré de devoir les abréger, de terminer rapidement ce qu’il restait à interpréter. Il atteignit alors ses quatre ans. La musique semblait être la seule chose qui grandissait en lui. Sa croissance s’était en effet interrompue. Son oncle musicien, qui se délectait à ses côtés, lui apporta un piano miniature. Il lui montra comment produire les sons. Cela suffit. Les gènes de nombreux aïeux musiciens, ou peut-être le pouvoir intense d’un musicien incarné, prirent possession de ses mains ; il joua d’étranges mélodies, endiablé.

10 commentaires:

Mme B. a dit…

Dur dur cet extrait. Problème principal : " como si " X 4...

Les nuits, quand il rêvait, on entendait l’enfant fredonner une musique. Un jour, il commença à la chanter, pour lui tout seul, comme si personne d’autre n’existait. Il la répéta, et répéta encore. Tantôt très doucement, tantôt comme si de nombreux instruments envahissaient lentement sa gorge et qu’il découvrait qu’on pouvait amplifier les sons ; d’autres fois, comme s’il était désespéré de devoir les abréger, de terminer rapidement ce qu’il restait [à jouer ?]. C’est alors qu’il atteignit sa quatrième année. La musique semblait être la seule chose qui grandissait en lui. Sa croissance s’était interrompue. Son oncle musicien, qui prenait du plaisir à ses côtés, lui apporta un petit piano pour enfant. Il lui montra comment produire les sons. Cela suffit. Les gènes de nombreux aïeux musiciens, ou peut-être le pouvoir intense d’un musicien incarné, prirent possession de ses mains ; il joua d’étranges mélodies, endiablé.

Tradabordo a dit…

Les nuits [singulier ?], quand il [c'est lui ?] rêvait, on [bizarre du coup] entendait l’enfant fredonner une musique.

Faisons progressivement… Le cas échéant, demande à Elena son aide.

Un jour, il commença à la chanter, pour lui tout seul, comme si personne d’autre n’existait. Il la répéta, et répéta encore. Tantôt très doucement, tantôt comme si de nombreux instruments envahissaient lentement sa gorge et qu’il découvrait qu’on pouvait amplifier les sons ; d’autres fois, comme s’il était désespéré de devoir les abréger, de terminer rapidement ce qu’il restait [à jouer ?]. C’est alors qu’il atteignit sa quatrième année. La musique semblait être la seule chose qui grandissait en lui. Sa croissance s’était interrompue. Son oncle musicien, qui prenait du plaisir à ses côtés, lui apporta un petit piano pour enfant. Il lui montra comment produire les sons. Cela suffit. Les gènes de nombreux aïeux musiciens, ou peut-être le pouvoir intense d’un musicien incarné, prirent possession de ses mains ; il joua d’étranges mélodies, endiablé.

Mme B. a dit…

La nuit, quand tout le monde dormait, on entendait l’enfant fredonner une musique.

Faisons progressivement… Le cas échéant, demande à Elena son aide.

Un jour, il commença à la chanter, pour lui tout seul, comme si personne d’autre n’existait. Il la répéta, et répéta encore. Tantôt très doucement, tantôt comme si de nombreux instruments envahissaient lentement sa gorge et qu’il découvrait qu’on pouvait amplifier les sons ; d’autres fois, comme s’il était désespéré de devoir les abréger, de terminer rapidement ce qu’il restait [à jouer ?]. C’est alors qu’il atteignit sa quatrième année. La musique semblait être la seule chose qui grandissait en lui. Sa croissance s’était interrompue. Son oncle musicien, qui prenait du plaisir à ses côtés, lui apporta un petit piano pour enfant. Il lui montra comment produire les sons. Cela suffit. Les gènes de nombreux aïeux musiciens, ou peut-être le pouvoir intense d’un musicien incarné, prirent possession de ses mains ; il joua d’étranges mélodies, endiablé.

Tradabordo a dit…

La nuit, quand tout le monde dormait, on entendait l’enfant fredonner une musique [mal dit]. Un jour, il commença à la chanter [V.O. ?], pour lui tout seul, comme si personne d’autre n’existait. Il la répéta, et répéta encore [nécessaire ?]. Tantôt très doucement, tantôt comme si [« en donnant l'impression que »] de nombreux instruments envahissaient lentement sa gorge et qu’il découvrait qu’on pouvait amplifier les sons ; d’autres fois, comme s’il était désespéré de devoir les abréger, de terminer rapidement ce qu’il restait [à jouer ? OK… dans l'intervalle, j'ai vu que tu l'avais mis à la fin]. C’est alors qu’il atteignit [le début est mal dit + n'oublie pas ce que je t'ai dit sur la maladie du « c'est »] sa quatrième année. La musique semblait être la seule chose qui grandissait en lui. Sa croissance s’était [cheville : « en effet » ?] interrompue. Son oncle musicien, qui prenait du plaisir à ses côtés [ambigu, non ?], lui apporta un petit piano pour enfant [tu l'as déjà plus haut]. Il lui montra comment produire les sons. Cela suffit. Les gènes de nombreux aïeux musiciens, ou peut-être le pouvoir intense d’un musicien incarné, prirent possession de ses mains ; il joua d’étranges mélodies, endiablé.

Mme B. a dit…

La nuit, quand tout le monde dormait, on entendait l’enfant fredonner un air. Un jour, il commença à la reproduire, pour lui tout seul, comme si personne d’autre n’existait. Il la répéta, et répéta. Tantôt très doucement, tantôt en donnant l'impression que de nombreux instruments envahissaient lentement sa gorge et qu’il découvrait qu’on pouvait amplifier les sons ; d’autres fois, comme s’il était désespéré de devoir les abréger, de terminer rapidement ce qu’il restait [à jouer ? OK… dans l'intervalle, j'ai vu que tu l'avais mis à la fin / je ne comprends pas ton commentaire :(]. Il atteignit alors sa quatrième année. La musique semblait être la seule chose qui grandissait en lui. Sa croissance s’était en effet interrompue. Son oncle musicien, qui se délectait à ses côtés, lui apporta un petit piano jouet. Il lui montra comment produire les sons. Cela suffit. Les gènes de nombreux aïeux musiciens, ou peut-être le pouvoir intense d’un musicien incarné, prirent possession de ses mains ; il joua d’étranges mélodies, endiablé.

Tradabordo a dit…

La nuit, quand tout le monde dormait, on entendait l’enfant fredonner un air. Un jour, il commença à la reproduire, pour lui tout seul, comme si personne d’autre n’existait. Il la répéta, et répéta. Tantôt très doucement, tantôt en donnant l'impression que de nombreux instruments envahissaient lentement sa gorge et qu’il découvrait qu’on pouvait amplifier les sons ; d’autres fois, comme s’il était désespéré de devoir les abréger, de terminer rapidement ce qu’il restait [à jouer ? OK… dans l'intervalle, j'ai vu que tu l'avais mis à la fin / je ne comprends pas ton commentaire :( //// j'allais te dire : OK pour jouer, mais je vois que tu l'as déjà à la fin de la section]. Il atteignit alors sa quatrième année [au fait, je me rends compte que ça n'est pas très clair qu'il s'agit de son âge]. La musique semblait être la seule chose qui grandissait en lui. Sa croissance s’était en effet interrompue. Son oncle musicien, qui se délectait à ses côtés, lui apporta un petit piano jouet [ça se dit ?]. Il lui montra comment produire les sons. Cela suffit. Les gènes de nombreux aïeux musiciens, ou peut-être le pouvoir intense d’un musicien incarné, prirent possession de ses mains ; il joua d’étranges mélodies, endiablé.

Mme B. a dit…

La nuit, quand tout le monde dormait, on entendait l’enfant fredonner un air. Un jour, il commença à la reproduire, pour lui tout seul, comme si personne d’autre n’existait. Il la répéta, et répéta. Tantôt très doucement, tantôt en donnant l'impression que de nombreux instruments envahissaient lentement sa gorge et qu’il découvrait qu’on pouvait amplifier les sons ; d’autres fois, comme s’il était désespéré de devoir les abréger, de terminer rapidement ce qu’il restait à interpréter. Il atteignit alors ses quatre ans. La musique semblait être la seule chose qui grandissait en lui. Sa croissance s’était en effet interrompue. Son oncle musicien, qui se délectait à ses côtés, lui apporta un petit piano jouet [ça se dit ? / Non, t’as raison… je sèche… j’ai fait une recherche et je n’ai rien à te mettre sous la dent… ou alors on supprime carrément et on garde « petit piano » ?]. Il lui montra comment produire les sons. Cela suffit. Les gènes de nombreux aïeux musiciens, ou peut-être le pouvoir intense d’un musicien incarné, prirent possession de ses mains ; il joua d’étranges mélodies, endiablé.

Tradabordo a dit…

La nuit, quand tout le monde dormait, on entendait l’enfant fredonner un air. Un jour, il commença à la reproduire, pour lui tout seul, comme si personne d’autre n’existait. Il la répéta, et répéta. Tantôt très doucement, tantôt en donnant l'impression que de nombreux instruments envahissaient lentement sa gorge et qu’il découvrait qu’on pouvait amplifier les sons ; d’autres fois, comme s’il était désespéré de devoir les abréger, de terminer rapidement ce qu’il restait à interpréter. Il atteignit alors ses quatre ans. La musique semblait être la seule chose qui grandissait en lui. Sa croissance s’était en effet interrompue. Son oncle musicien, qui se délectait à ses côtés, lui apporta un petit piano jouet [ça se dit ? / Non, t’as raison… je sèche… j’ai fait une recherche et je n’ai rien à te mettre sous la dent… ou alors on supprime carrément et on garde « petit piano » ? //// piano miniature ?]. Il lui montra comment produire les sons. Cela suffit. Les gènes de nombreux aïeux musiciens, ou peut-être le pouvoir intense d’un musicien incarné, prirent possession de ses mains ; il joua d’étranges mélodies, endiablé.

Mme B. a dit…

La nuit, quand tout le monde dormait, on entendait l’enfant fredonner un air. Un jour, il commença à la reproduire, pour lui tout seul, comme si personne d’autre n’existait. Il la répéta, et répéta. Tantôt très doucement, tantôt en donnant l'impression que de nombreux instruments envahissaient lentement sa gorge et qu’il découvrait qu’on pouvait amplifier les sons ; d’autres fois, comme s’il était désespéré de devoir les abréger, de terminer rapidement ce qu’il restait à interpréter. Il atteignit alors ses quatre ans. La musique semblait être la seule chose qui grandissait en lui. Sa croissance s’était en effet interrompue. Son oncle musicien, qui se délectait à ses côtés, lui apporta un piano miniature. Il lui montra comment produire les sons. Cela suffit. Les gènes de nombreux aïeux musiciens, ou peut-être le pouvoir intense d’un musicien incarné, prirent possession de ses mains ; il joua d’étranges mélodies, endiablé.

Tradabordo a dit…

La nuit, quand tout le monde dormait, on entendait l’enfant fredonner un air. Un jour, il commença à la reproduire, pour lui tout seul, comme si personne d’autre n’existait. Il la répéta, et répéta. Tantôt très doucement, tantôt en donnant l'impression que de nombreux instruments envahissaient lentement sa gorge et qu’il découvrait qu’on pouvait amplifier les sons ; d’autres fois, comme s’il était désespéré de devoir les abréger, de terminer rapidement ce qu’il restait à interpréter. Il atteignit alors ses quatre ans. La musique semblait être la seule chose qui grandissait en lui. Sa croissance s’était en effet interrompue. Son oncle musicien, qui se délectait à ses côtés, lui apporta un piano miniature. Il lui montra comment produire les sons. Cela suffit. Les gènes de nombreux aïeux musiciens, ou peut-être le pouvoir intense d’un musicien incarné, prirent possession de ses mains ; il joua d’étranges mélodies, endiablé.

OK.