jeudi 25 février 2016

Projet Elena 12 – phrases 263-265

El autor de «Tlön, Uqbar, Orbis Tertius» nunca se enteró. Sin embargo, un par de años más tarde, moribundo en su cama de Ginebra, recordó a una mujer de otro mundo, con un revolear amarillo apenas entrevisto en su ceguera y una historia acerca de un asombroso cambio de sexo. Jean Pierre Bernès silenció un detalle que atribuyó a una indecorosa agonía, mientras una lágrima le rodaba mejilla abajo.

Traduction temporaire :

L'auteur de « Tlön, Uqbar, Orbis Tertius » ne l'apprit jamais. Cependant, quelques années plus tard, alors moribond sur son lit, à Genève, il se souvint d'une femme d'un autre monde, d'une espèce de voltigement jaune à peine entraperçu dans sa cécité, et d'un étonnant changement de sexe. Jean Pierre Bernès passa sous silence ce détail qu'il attribua à une agonie indigne, alors qu'une larme coulait sur sa joue.

6 commentaires:

Elena a dit…

L'auteur de « Tlön, Uqbar, Orbis Tertius » ne le sut jamais. Cependant, des années plus tard, agonisant sur son lit à Genève, il se souvint d'une femme d'un autre monde, une espèce de voltigement jaune aperçu de justesse à cause de sa cécité, et de l'histoire d'un étonnant changement de sexe. Jean Pierre Bernès passa sous silence ce détail qu'il attribua à une agonie indigne, alors qu'une larme coulait sur sa joue.

Tradabordo a dit…

L'auteur de « Tlön, Uqbar, Orbis Tertius » ne le sut [« apprit » ?] jamais. Cependant, des [ça donne une impression de durée… est-ce le cas dans la V.O. ?] années plus tard, agonisant [littéral] sur son lit [virgule] à Genève, il se souvint d'une femme d'un autre monde, [« d' »]une espèce de voltigement jaune aperçu de justesse [FS / CS ?] à cause de [texte] sa cécité, et de l'[texte]histoire d'un étonnant changement de sexe. Jean Pierre Bernès passa sous silence ce détail qu'il attribua à une agonie indigne, alors qu'une larme coulait sur sa joue.

Elena a dit…

L'auteur de « Tlön, Uqbar, Orbis Tertius » ne le sut apprit jamais. Cependant, quelques années plus tard, moribond sur son lit, à Genève, il se souvint d'une femme d'un autre monde, d'une espèce de voltigement jaune à peine aperçu dans sa cécité, et d'une histoire d'un étonnant changement de sexe. Jean Pierre Bernès passa sous silence ce détail qu'il attribua à une agonie indigne, alors qu'une larme coulait sur sa joue.

Tradabordo a dit…

L'auteur de « Tlön, Uqbar, Orbis Tertius » ne le sut apprit [relis-toi] jamais. Cependant, quelques années plus tard, [cheville : « alors » ?] moribond sur son lit, à Genève, il se souvint d'une femme d'un autre monde, d'une espèce de voltigement jaune à peine [« entr »]aperçu dans sa cécité, et d'une histoire [nécessaire ?] d'un étonnant changement de sexe. Jean Pierre Bernès passa sous silence ce détail qu'il attribua à une agonie indigne, alors qu'une larme coulait sur sa joue.

Elena a dit…

L'auteur de « Tlön, Uqbar, Orbis Tertius » ne l'apprit jamais. Cependant, quelques années plus tard, alors moribond sur son lit, à Genève, il se souvint d'une femme d'un autre monde, d'une espèce de voltigement jaune à peine entraperçu dans sa cécité, et d'un étonnant changement de sexe. Jean Pierre Bernès passa sous silence ce détail qu'il attribua à une agonie indigne, alors qu'une larme coulait sur sa joue.

Tradabordo a dit…

L'auteur de « Tlön, Uqbar, Orbis Tertius » ne l'apprit jamais. Cependant, quelques années plus tard, alors moribond sur son lit, à Genève, il se souvint d'une femme d'un autre monde, d'une espèce de voltigement jaune à peine entraperçu dans sa cécité, et d'un étonnant changement de sexe. Jean Pierre Bernès passa sous silence ce détail qu'il attribua à une agonie indigne, alors qu'une larme coulait sur sa joue.

OK.

Tu peux relire.