lundi 29 février 2016

Projet Justine 7 – phrases 15-19

Respiró profundo y agudizó los sentidos, el hombre (porque era un hombre, pesaba como uno) había entrado a la habitación de su hijo y allí se había quedado, tal vez de pie, tal vez sentado en la cama, tal vez solo era un pobre vagabundo que buscaba un lugar para dormir. Estiró su brazo izquierdo hacia el velador y encendió la lámpara de noche: luz y fotografías antiguas la saludaron y le dieron valor. ¿Qué podía ser tan terrible? Llevaba años guerreando contra los que mandaban, se había enfrentado a ejércitos y soldados, todo por el derecho a saber dónde estaba su hijo. Si las botas y fusiles nunca la habían asustado, por qué ahora, un pobre ladronzuelo (eso imaginó que era) la iba a intimidar.

Traduction temporaire :
Elle respira profondément et mit ses sens en alerte, l'homme (parce que c'était forcément un homme ; son pas pesait) était entré dans la chambre de son fils et y était resté, peut-être debout, peut-être assis sur le lit. Probablement un pauvre vagabond à la recherche d'un endroit où dormir. Elle tendit le bras gauche pour atteindre la table de nuit et alluma la lampe de chevet. La lumière et des photos anciennes lui envoyèrent un signe et lui donnèrent du courage. Que pouvait-il arriver de si terrible ? Elle avait passé des années à guerroyer contre les autorités, elle avait affronté l'armée et ses soldats, tout ça pour avoir le droit de savoir où était son fils. Si les bottes et les fusils ne l'avaient jamais effrayée, pourquoi, aujourd'hui, un malheureux petit voleur (c'est comme ça qu'elle l'imaginait) allait-il l'intimider ?

6 commentaires:

Justine a dit…

Elle respira profondément et aiguisa ses sens [j'aurais bien mis « affûter », mais on a déjà « à l'affût »] l'homme (parce que c'était forcément un homme ; son pas était pesant) était entré dans la chambre de son fils et y était resté, peut-être debout, peut-être assis sur le lit, peut-être était-ce un pauvre vagabond qui cherchait un endroit où dormir. Elle allongea son bras gauche pour atteindre [on aura « vers » et « en direction » dans la phrase suivante] la table de nuit et elle alluma la lampe de chevet : la lumière et des photos anciennes lui envoyèrent un signe [bizarre « saluer », ici, non ?] et lui donnèrent du courage. Que pouvait-il arriver de si terrible ? Elle avait passé des années à guerroyer contre les autorités, elle avait affronté l'armée et ses soldats, tout ça, en vertu du droit de savoir où était son fils. Si les bottes et les fusils ne l'avaient jamais effrayée, pourquoi, aujourd'hui, un malheureux petit voleur (c'est comme ça qu'elle l'imaginait) allait-il l'intimider ?

Tradabordo a dit…

Elle respira profondément et aiguisa ses sens [j'aurais bien mis « affûter », mais on a déjà « à l'affût » /// vois si c'est pas mieux avec « mettre ses sens en alerte »] l'homme (parce que c'était forcément un homme ; son pas était pesant) était entré dans la chambre de son fils et y était resté, peut-être debout, peut-être assis sur le lit, [point] peut-être [dans la mesure où ça n'est pas vraiment dans la suite des deux autres peut-être, vois si tu as autre chose en stock] était-ce un pauvre vagabond qui cherchait [ou : « à la recherche » / « cherchant » ? Vois ce qui est mieux entre les 3] un endroit où dormir. Elle allongea [mal dit ; il y a mieux] son bras gauche pour atteindre la table de nuit et elle [nécessaire ?] alluma la lampe de chevet : [point] la lumière et des photos anciennes lui envoyèrent un signe [bizarre « saluer », ici, non ? À toi de voir…] et lui donnèrent du courage. Que pouvait-il arriver de si terrible ? Elle avait passé des années à guerroyer contre les autorités, elle avait affronté l'armée et ses soldats, tout ça, en vertu du [texte ?] droit de savoir où était son fils. Si les bottes et les fusils ne l'avaient jamais effrayée, pourquoi, aujourd'hui, un malheureux petit voleur (c'est comme ça qu'elle l'imaginait) allait-il l'intimider ?

Justine a dit…

Elle respira profondément et mit ses sens en alerte, l'homme (parce que c'était forcément un homme ; son pas était pesant) était entré dans la chambre de son fils et y était resté, peut-être debout, peut-être assis sur le lit. Probablement un pauvre vagabond à la recherche d'un endroit où dormir. Elle tendit son bras gauche pour atteindre la table de nuit et alluma la lampe de chevet. La lumière et des photos anciennes lui envoyèrent un signe et lui donnèrent du courage. Que pouvait-il arriver de si terrible ? Elle avait passé des années à guerroyer contre les autorités, elle avait affronté l'armée et ses soldats, tout ça, pour le droit de savoir où était son fils. Si les bottes et les fusils ne l'avaient jamais effrayée, pourquoi, aujourd'hui, un malheureux petit voleur (c'est comme ça qu'elle l'imaginait) allait-il l'intimider ?

Tradabordo a dit…

Elle respira profondément et mit ses sens en alerte, l'homme (parce que c'était forcément un homme ; son pas était pesant [« pesait », pour éviter le « était », que tu as également après]) était entré dans la chambre de son fils et y était resté, peut-être debout, peut-être assis sur le lit. Probablement un pauvre vagabond à la recherche d'un endroit où dormir. Elle tendit son [« le » ?] bras gauche pour atteindre la table de nuit et alluma la lampe de chevet. La lumière et des photos anciennes lui envoyèrent un signe et lui donnèrent du courage. Que pouvait-il arriver de si terrible ? Elle avait passé des années à guerroyer contre les autorités, elle avait affronté l'armée et ses soldats, tout ça, [la virgule] pour [« avoir » ?] le droit de savoir où était son fils. Si les bottes et les fusils ne l'avaient jamais effrayée, pourquoi, aujourd'hui, un malheureux petit voleur (c'est comme ça qu'elle l'imaginait) allait-il l'intimider ?

Justine a dit…

Elle respira profondément et mit ses sens en alerte, l'homme (parce que c'était forcément un homme ; son pas pesait) était entré dans la chambre de son fils et y était resté, peut-être debout, peut-être assis sur le lit. Probablement un pauvre vagabond à la recherche d'un endroit où dormir. Elle tendit le bras gauche pour atteindre la table de nuit et alluma la lampe de chevet. La lumière et des photos anciennes lui envoyèrent un signe et lui donnèrent du courage. Que pouvait-il arriver de si terrible ? Elle avait passé des années à guerroyer contre les autorités, elle avait affronté l'armée et ses soldats, tout ça pour avoir le droit de savoir où était son fils. Si les bottes et les fusils ne l'avaient jamais effrayée, pourquoi, aujourd'hui, un malheureux petit voleur (c'est comme ça qu'elle l'imaginait) allait-il l'intimider ?

Tradabordo a dit…

Elle respira profondément et mit ses sens en alerte, l'homme (parce que c'était forcément un homme ; son pas pesait) était entré dans la chambre de son fils et y était resté, peut-être debout, peut-être assis sur le lit. Probablement un pauvre vagabond à la recherche d'un endroit où dormir. Elle tendit le bras gauche pour atteindre la table de nuit et alluma la lampe de chevet. La lumière et des photos anciennes lui envoyèrent un signe et lui donnèrent du courage. Que pouvait-il arriver de si terrible ? Elle avait passé des années à guerroyer contre les autorités, elle avait affronté l'armée et ses soldats, tout ça pour avoir le droit de savoir où était son fils. Si les bottes et les fusils ne l'avaient jamais effrayée, pourquoi, aujourd'hui, un malheureux petit voleur (c'est comme ça qu'elle l'imaginait) allait-il l'intimider ?

OK.