lundi 29 février 2016

Projet Justine 7 – phrases 3-9

Se quedó tranquila, en silencio, a oscuras, apoyada contra el almohadón más grande de la cama. Y escuchó. El ruido no solo seguía allí, abajo, además se movía. No cabía duda, alguien más respiraba en la casa, alguien que caminaba torpe, deambulando entre el living, la cocina y el dormitorio que alguna vez fue de su hijo. Sola en casa y con un extraño acechando. Recordó las veces que su hermana le había ofrecido irse con ella: “alguien malo puede aprovecharse, tu hijo no va a regresar”, fueron sus palabras. Pasos, claro que eran pasos, trancos arrastrados de quien parecía revisar con atención cada uno de los detalles de la vieja geografía del lugar.

Traduction temporaire :
Elle garda son calme, en silence, dans le noir, adossée au plus gros oreiller de son lit. Et elle tendit l'oreille. Le bruit ne se contentait pas de continuer là, en dessous, non, il se déplaçait, aussi. Aucun doute : quelqu'un d'autre respirait dans la maison, quelqu'un à la démarche gauche, qui déambulait entre le living, la cuisine et la chambre qui avait un jour été celle de son fils. Elle se retrouvait seule chez elle, avec un étranger à l'affût. Elle se souvint des fois où sa sœur lui avait proposé de se sauver avec elle : « quelqu'un de mal intentionné pourrait en profiter, ton fils ne reviendra pas » – voilà ses mots exacts. Des pas, évidemment que c'étaient des pas, les misérables foulées de quelqu'un qui semblait examiner attentivement chaque détail de l'ancienne topographie des lieux.

6 commentaires:

Justine a dit…

Elle resta calme, en silence, dans le noir, adossée au plus gros oreiller de son lit. Et elle écouta [« tendit l'oreille » ?]. Le bruit ne se contentait pas de continuer en dessous, il se déplaçait aussi. Aucun doute, quelqu'un d'autre respirait dans la maison, quelqu'un à la démarche gauche, qui déambulait entre le living, la cuisine et la chambre qui avait un jour été celle de son fils. Elle se retrouvait seule chez elle, avec un étranger à l'affût. Elle se souvint des fois où sa sœur lui avait proposé de partir avec elle : « quelqu'un de mal intentionné peut [« pourrait» ?] en profiter, ton fils ne reviendra pas », voilà ses propres mots. Des pas, évidemment que c'étaient des pas, les misérables enjambées de quelqu'un qui semblait examiner attentivement chaque détail de l'ancienne topographie des lieux.

Tradabordo a dit…

Elle resta calme [bof], en silence, dans le noir [texte], adossée au plus gros oreiller de son lit. Et elle écouta [« tendit l'oreille » ? OK]. Le bruit ne se contentait pas de continuer [et le « allí » ?] [virgule] en dessous, il se déplaçait aussi. Aucun doute, [deux points ?] quelqu'un d'autre respirait dans la maison, quelqu'un à la démarche gauche, qui déambulait entre le living, la cuisine et la chambre qui avait un jour été celle de son fils. Elle se retrouvait seule chez elle, avec un étranger à l'affût. Elle se souvint des fois où sa sœur lui avait proposé de partir [bof] avec elle : « quelqu'un de mal intentionné peut [« pourrait» ? OK ; attention de ne pas prendre l'habitude de me proposer plusieurs solutions. À toi de choisir…] en profiter, ton fils ne reviendra pas », voilà ses propres mots [cheville : « exacts » ?]. Des pas, évidemment que c'étaient des pas, les misérables enjambées [sûre ?] de quelqu'un qui semblait examiner attentivement chaque détail de l'ancienne topographie des lieux.

Justine a dit…

Je sais bien que c'est à moi de trancher, mais je voulais que tu saches que j'avais bien lu la V.O., et que si je proposais par exemple « pourrait » au lieu de « peut », ce n'était pas une faute inattention, mais que c'était réfléchi.

Elle garda son calme, en silence, dans le noir [texte / ? tu veux dire « sans lumière » ?], adossée au plus gros oreiller de son lit. Et elle tendit l'oreille. Le bruit ne se contentait pas de continuer là, en dessous, il se déplaçait aussi. Aucun doute : quelqu'un d'autre respirait dans la maison, quelqu'un à la démarche gauche, qui déambulait entre le living, la cuisine et la chambre qui avait un jour été celle de son fils. Elle se retrouvait seule chez elle, avec un étranger à l'affût. Elle se souvint des fois où sa sœur lui avait proposé de ficher le camp avec elle : « quelqu'un de mal intentionné pourrait en profiter, ton fils ne reviendra pas », voilà ses mots exacts. Des pas, évidemment que c'étaient des pas, les misérables foulées de quelqu'un qui semblait examiner attentivement chaque détail de l'ancienne topographie des lieux.

Tradabordo a dit…

J'ai compris, mais ça alourdit trop… Mieux vaut que je te demande en cas de doute plutôt que tu te mettes à émailler tes trads de commentaires. Ça me rallonge le temps de lecture et ça brouille mon jugement.

Elle garda son calme, en silence, dans le noir, adossée au plus gros oreiller de son lit. Et elle tendit l'oreille. Le bruit ne se contentait pas de continuer là, en dessous, non, il se déplaçait, aussi. Aucun doute : quelqu'un d'autre respirait dans la maison, quelqu'un à la démarche gauche, qui déambulait entre le living, la cuisine et la chambre qui avait un jour été celle de son fils. Elle se retrouvait seule chez elle, avec un étranger à l'affût. Elle se souvint des fois où sa sœur lui avait proposé de ficher le camp [registre ?] avec elle : « quelqu'un de mal intentionné pourrait en profiter, ton fils ne reviendra pas » – voilà ses mots exacts. Des pas, évidemment que c'étaient des pas, les misérables foulées de quelqu'un qui semblait examiner attentivement chaque détail de l'ancienne topographie des lieux.

Justine a dit…

Je propose « se sauver », parce que j'ai utilisé « s'enfuir » après.

Elle garda son calme, en silence, dans le noir, adossée au plus gros oreiller de son lit. Et elle tendit l'oreille. Le bruit ne se contentait pas de continuer là, en dessous, non, il se déplaçait, aussi. Aucun doute : quelqu'un d'autre respirait dans la maison, quelqu'un à la démarche gauche, qui déambulait entre le living, la cuisine et la chambre qui avait un jour été celle de son fils. Elle se retrouvait seule chez elle, avec un étranger à l'affût. Elle se souvint des fois où sa sœur lui avait proposé de se sauver avec elle : « quelqu'un de mal intentionné pourrait en profiter, ton fils ne reviendra pas » – voilà ses mots exacts. Des pas, évidemment que c'étaient des pas, les misérables foulées de quelqu'un qui semblait examiner attentivement chaque détail de l'ancienne topographie des lieux.


Tradabordo a dit…

Elle garda son calme, en silence, dans le noir, adossée au plus gros oreiller de son lit. Et elle tendit l'oreille. Le bruit ne se contentait pas de continuer là, en dessous, non, il se déplaçait, aussi. Aucun doute : quelqu'un d'autre respirait dans la maison, quelqu'un à la démarche gauche, qui déambulait entre le living, la cuisine et la chambre qui avait un jour été celle de son fils. Elle se retrouvait seule chez elle, avec un étranger à l'affût. Elle se souvint des fois où sa sœur lui avait proposé de se sauver avec elle : « quelqu'un de mal intentionné pourrait en profiter, ton fils ne reviendra pas » – voilà ses mots exacts. Des pas, évidemment que c'étaient des pas, les misérables foulées de quelqu'un qui semblait examiner attentivement chaque détail de l'ancienne topographie des lieux.

OK.